Apparemment, François Hollande se rendra le 3 avril au Maroc. Au programme notamment, parmi les réjouissances, l'inauguration d'une station d'épuration (il était temps !!!!) à Casablanca appartenant Lydec (ex Lyonnaise des eaux de Casablanca appartenant à GDF Suez).
Hier, sur le plateau de France 2, interrogé par David Pujadas, co auteur d'un livre à sensation sur l'Islam avec le controversé imam de Drancy, plusieurs interventions ont marqué. L'Intervention a été jugée réussie. Hollande s'est présenté en "chef de guerre" en ordre de "bataille" contre la crise et la montée du chômage.
Par contre, là où clairement il va agacer une partie de l'électorat "musulman" c'est sur l'affaire de la crèche Babyloup. Bien que se disant attaché à l'indépendance de la justice, qui est une chimère puisque le parquet est aux ordres de la Garde des Sceaux, notamment sur la mise en examen de son ennemi juré Nicolas Sarkozy, il a passé son devoir de réserve tout en critiquant Manuel Valls, regrettant la décision de la Cour de Cassation sur l'annulation du licenciement.
Sur le reste, crédit impôt compétitivité, couacs gouvernementaux, démission de Cahuzac, rien de neuf sous le soleil. Aucun cap clair sur cinq ans n'a été ne serait qu'esquissé si ce n'est sa volonté de voir la courbe du chômage s'invertir.
Hier, sur le plateau de France 2, interrogé par David Pujadas, co auteur d'un livre à sensation sur l'Islam avec le controversé imam de Drancy, plusieurs interventions ont marqué. L'Intervention a été jugée réussie. Hollande s'est présenté en "chef de guerre" en ordre de "bataille" contre la crise et la montée du chômage.
Par contre, là où clairement il va agacer une partie de l'électorat "musulman" c'est sur l'affaire de la crèche Babyloup. Bien que se disant attaché à l'indépendance de la justice, qui est une chimère puisque le parquet est aux ordres de la Garde des Sceaux, notamment sur la mise en examen de son ennemi juré Nicolas Sarkozy, il a passé son devoir de réserve tout en critiquant Manuel Valls, regrettant la décision de la Cour de Cassation sur l'annulation du licenciement.
Sur le reste, crédit impôt compétitivité, couacs gouvernementaux, démission de Cahuzac, rien de neuf sous le soleil. Aucun cap clair sur cinq ans n'a été ne serait qu'esquissé si ce n'est sa volonté de voir la courbe du chômage s'invertir.