Deux hommes reconnus coupables d'adultère ont été exécutés par lapidation dans le nord-est de l'Iran le mois dernier mais un troisième condamné a réussi à s'échapper, a annoncé un porte-parole de la justice iranienne, mardi
Ali Reza Jamshidi a précisé que ces lapidations ont eu lieu à Mashhad à la fin décembre mais n'a pas donné le nom des condamnés.
Selon la loi islamique, l'adultère est passible de la lapidation mais de telles sentences sont rares. Les organisations internationales de défense des droits de l'homme critiquent depuis longtemps la pratique en Iran de la lapidation en tant que mode de punition cruel.
Jamshidi n'a donné aucune précision sur la manière dont ce sont déroulées ces lapidations. Toutefois, selon les pratiques en vigueur en Iran, le condamné est enterré jusqu'à la taille. Si c'est une femme, elle est enterrée jusqu'au cou. Puis ceux qui sont chargés d'appliquer la sentence jettent des pierres sur les condamnés jusqu'à ce que mort s'ensuive.
Si un condamné parvient à sortir du trou, la loi islamique le considère alors libre.
Les lapidations étaient une pratique courante immédiatement après la révolution islamique en 1979 mais sont devenues plus rares par la suite. La dernière fois que les autorités iraniennes ont fait état d'une lapidation remonte à juillet 2007 quand un homme condamné pour adultère a été lapidé à mort dans un village du nord du pays. AP
Ali Reza Jamshidi a précisé que ces lapidations ont eu lieu à Mashhad à la fin décembre mais n'a pas donné le nom des condamnés.
Selon la loi islamique, l'adultère est passible de la lapidation mais de telles sentences sont rares. Les organisations internationales de défense des droits de l'homme critiquent depuis longtemps la pratique en Iran de la lapidation en tant que mode de punition cruel.
Jamshidi n'a donné aucune précision sur la manière dont ce sont déroulées ces lapidations. Toutefois, selon les pratiques en vigueur en Iran, le condamné est enterré jusqu'à la taille. Si c'est une femme, elle est enterrée jusqu'au cou. Puis ceux qui sont chargés d'appliquer la sentence jettent des pierres sur les condamnés jusqu'à ce que mort s'ensuive.
Si un condamné parvient à sortir du trou, la loi islamique le considère alors libre.
Les lapidations étaient une pratique courante immédiatement après la révolution islamique en 1979 mais sont devenues plus rares par la suite. La dernière fois que les autorités iraniennes ont fait état d'une lapidation remonte à juillet 2007 quand un homme condamné pour adultère a été lapidé à mort dans un village du nord du pays. AP