Pensez à Marilyn Monroe, exemple type de la bombe sexuelle qui cachait une profonde dépression derrière une beauté à couper le souffle, à Glenn Close, Angelina Jolie ou toutes les star des temps modernes qui vivent leur vie comme un film, toujours à la recherche de quelqu'un à aimer ou à détester, «simplement parce qu'elle ne peuvent pas se trouver elles-mêmes», explique le Daily Beast.
Les hommes sont fous d'elles, et de ce trouble psychologique qui promet souvent une sexualité torride et passionnelle. Les psychiatres ont un nom pour ce phénomène difficile à identifier car d'apparence finalement assez «normale». Depuis les années 80, ils appellent ces personnalités des personnalités «borderline» («cas limites») car cette pathologie a d'abord été située entre la psychose et la névrose, confondue pendant des années avec le trouble bipolaire.
Les jeunes, et principalement les femmes, sont les plus touchées. Chez ces femme fatales du nouveau millénium, chez ces «femmes-enfant au côté obscur», il faut ainsi penser à diagnostiquer un Borderline Personality Disorder, (BPD) qui présente un certain nombre de symptômes: une vision du monde tout noir/tout blanc, une profonde peur d'abandon, des sautes d'humeurs, des relations instables, une vulnérabilité dévastatrice...
Complexe du héros
Un certain type d'homme succombe à tous les coups. Car être fou des borderline en dit long sur sa propre personnalité. Des hommes qui réussissent bien dans leur vie, ont une tendance à être obsessionnels et à supprimer leurs émotions, peuvent facilement se laisser aller à la passion d'une relation avec une femme bordeline, explique Frank Yeomans, un expert du BPD, car ils se disent «Elles remplissent une intensité qui manque à ma vie».
La fragilité d'une femme borderline attire aussi les hommes atteints d'une sorte de complexe du héros. La femme borderline ayant sans cesse besoin d'être rassurée et mise en confiance, ces hommes se sentent utiles. Ce sont en fait sou... Lire la suite sur Slate.fr
Les hommes sont fous d'elles, et de ce trouble psychologique qui promet souvent une sexualité torride et passionnelle. Les psychiatres ont un nom pour ce phénomène difficile à identifier car d'apparence finalement assez «normale». Depuis les années 80, ils appellent ces personnalités des personnalités «borderline» («cas limites») car cette pathologie a d'abord été située entre la psychose et la névrose, confondue pendant des années avec le trouble bipolaire.
Les jeunes, et principalement les femmes, sont les plus touchées. Chez ces femme fatales du nouveau millénium, chez ces «femmes-enfant au côté obscur», il faut ainsi penser à diagnostiquer un Borderline Personality Disorder, (BPD) qui présente un certain nombre de symptômes: une vision du monde tout noir/tout blanc, une profonde peur d'abandon, des sautes d'humeurs, des relations instables, une vulnérabilité dévastatrice...
Complexe du héros
Un certain type d'homme succombe à tous les coups. Car être fou des borderline en dit long sur sa propre personnalité. Des hommes qui réussissent bien dans leur vie, ont une tendance à être obsessionnels et à supprimer leurs émotions, peuvent facilement se laisser aller à la passion d'une relation avec une femme bordeline, explique Frank Yeomans, un expert du BPD, car ils se disent «Elles remplissent une intensité qui manque à ma vie».
La fragilité d'une femme borderline attire aussi les hommes atteints d'une sorte de complexe du héros. La femme borderline ayant sans cesse besoin d'être rassurée et mise en confiance, ces hommes se sentent utiles. Ce sont en fait sou... Lire la suite sur Slate.fr