Humanité, j’ai perdu ton nom ! abattoirs et trous noirs, les enfants sont les orphelins des guerres

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DR IDRISSI M. AHMED


Humanité, j’ai perdu ton nom ! Abattoirs et trous noirs, les enfants sont les orphelins des guerres


Psychologie : De toujours et partout, les plus puissants sont des créatures insatiables de richesses et de pouvoirs, sur autrui et sur les leurs. Les enfants sont les grands perdants des clashs entres pays et au sein des couples.


Abattoirs


Guerres et orphelins, les exilés et les meurtres collectifs des civils : Humanité, j’ai perdu ton nom ! J’ai vu comment on égorge les chèvres de la main et comment on en fait des montagnes qui hurlent. J’ai vu comment on égorge les vaches dans des abattoirs industriels, au point de vouloir ne plus boire que de l’eau…Comme vous sur le Web, j’ai vu des humains en cendres et des enfants, les jambes coupées, leurs os déchiquetés ! De notre histoire des civilisations, des religions et des belligérances, des coloniales aux plus grandes conflagrations, que retenir ? Des actualités, où l’on trouve de grands présidents et des penseurs, des philosophes, empêtrés dans les fourberies bellicistes, aux manigances odieuses. Celles-ci usent de l’intox médiatique aux universelles et financières entreprises guerrières. Toutes ces images des guerres me révulsent, au point de vous demander : que reste-t-il de notre humanité ?


Les plus puissants sont des monstres insatiables de richesses et de pouvoirs sur autrui et les leurs. Malgré la civilisation, les cultures, les techniques et leurs humanités, malgré les religions, malgré la morale et les guerres, les hommes n’ont rien appris. Courent-ils vers un désastre pour lequel les quatre cavaliers de l’Apocalypse et le Messie, ne trouveront plus rien à sauver ? En s’épuisant, esprits et corps, les terriens courent-ils vers la fin de leur petite île, avant la déflagration finale. Celle que les physiciens et les astronomes nous prédisent pour cette galaxie et ce soleil? Faute d’aspirer à la démocratie et à l’entraide entre humains, faute de sagesse et d’en appeler à la miséricorde, le sang partout versé et nos méchancetés mondiales, en appellent à la malédiction universelle ! La planète Terre est-elle une porte ouverte sur un trou noir de l’espace-temps ?


Un blessé se confie à un médecin


Divorcé de ma santé, muscles et nerfs effilochés, je suis veuf de mes parents, orphelin de mon petit-fils et de mon fils, qui exilé au loin. Entre obtenir son droit et le demander par équité, voire comme un service ou un acte de pitié, ma foi et la sienne balancent ! Mêmes les larmes fuient de mes yeux asséchés. Les supérieurs n’ont pas le temps d’écouter. Par temps de conflits ou d’alertes générales, ils sont appelés à des tâches autrement plus vitales. Ils n’ont plus le cœur au social. La critique ne fait pas d’amis. Ce n’est pas en critiquant un ennemi qu’on en fait un ami. Les paroles s’en vont, les écrits restent. Entre SMS cruels et injurieux et l’usage forcené de Facebook, dix heures par jour, la pire des assuétudes paralysantes consomme la vie des usagers et troublent leur temps, leurs obligations, leur énergie et leur caractère, jusqu’à la caricature. L’homme devient prisonnier de l’écran. Pour la femme éveillée ou pas, c’est pire. Elle en oublie son travail initial de femme au foyer et son rôle de ménagère au service de ceux qu’elle élève et qu’elle doit chérir et choyer. Si les mots dérapent et enflamment le verbe, les phrases embrasent les rapports.


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