Hyperinflation: le zimbabwe abandonne sa monnaie et introduit l'us dollar

En Allemagne, durant l'inflation suite au crash de wall street, les habitants se torchaient le *** avec les billets et en faisaient du combustible pour se chauffer...

Je donne des idées au Zimbabwe
 

farid_h

<defunct>
Contributeur
@tomatemozza, d'ou vient la crainte des Allemands vis-a-vis de la politique de la planche a billets de Mario Draghi? L'hyper-inflation est profondement ancree dans la memoire collective.
 
@tomatemozza, d'ou vient la crainte des Allemands vis-a-vis de la politique de la planche a billets de Mario Draghi? L'hyper-inflation est profondement ancree dans la memoire collective.

la planche à billet est synonyme d'inflation et çà les allemands n'en veulent pas et on les comprend (hyperinflation des années 30 qui a amené Hitler au pouvoir), depuis 70 ans ils mènent des politiques de rigueur budgétaire associées à une maîtrise du taux d'inflation, il en va de leur production (ex de l'automobile avec les BMW, les Merco et les Audi qui se vendent comme des petits pains même avec un Euro fort), il en va des retraites des seniors (retraite par capitalisation), il en va des prévisions démographiques à moyen terme qui auront un coût pour l'Allemagne (plus de retraités qu'aujourd'hui), et il en va surtout du pragmatisme allemand qui a fait ses preuves: Merkel voit d'un très mauvais oeil la politique de la BCE et ses recommandations, et elle a raison d'être méfiante: l'Allemagne gère ses priorités de réduction de déficit (la machine est lancée depuis des décennies) et n'est pas enclin à accroître davantage ses investissements pour les beaux yeux d'Etats immatures encore sous perfusion, l'Allemagne passe pour une égoïste, mais en réalité, elle se protège, la crise de 1929 s'est propagé comme une infection virale avec un virus qui a trouvé une porte d'entrée vulnérable en Europe, aujourd'hui pour les allemands, les pays du sud (Grèce, Espagne, portugal) sont les portes d'entrées vulnérables et en particulier la Grèce.
 
Dernière édition:
Haut