Les intentions de la fed (banque centrale américaine)

mam80

la rose et le réséda
Modérateur
Les marchés n’en savent pas beaucoup plus sur les intentions de la Fed

Les investisseurs redoublaient de prudence avant la publication mercredi soir du compte rendu de la dernière réunion de la banque centrale américaine.

C’était le principal rendez vous de la semaine pour les marchés:
la puissante banque centrale américaine, la Federal Reserve a dévoilé mercredi soir la teneur des débats qui se sont tenus lors de la dernière réunion de son Comité de politique monétaire.

Selon le compte-rendu, les membres de la Fed se sont, à nouveau, montrés préoccupés par la faiblesse de l’inflation et le piètre état de la conjoncture économique mondiale, deux facteurs qui ne plaident pas en faveur d’un tour de vis monétaire.

Ces précisions ont un moment permis à Wall Street d’effacer ses pertes initiales, les investisseurs en ayant tiré la conclusion que la Fed allait se montrer très prudente en matière de relèvement des taux.
Toutefois, les indices, qui avaient presque réussi à revenir en territoire positif, sont retombés en fin de séance. Les investisseurs ont semblé se concentrer sur les éléments moins favorables des «minutes», en premier lieu la mention que les conditions d’une hausse des taux «s’approchaient», en raison essentiellement de la poursuite de l’amélioration du marché du travail aux États-Unis.

Une équation particulièrement complexe
Les investisseurs qui profitent des largesses de la Banque centrale américaine depuis plusieurs années, redoutent cette échéance.

De fait, l’équation est particulièrement complexe pour la présidente de l’institution Janet Yellen. L’annonce d’une première hausse des taux après des années de politique monétaire ultragénéreuse doit en effet être faite avec tact.

La hausse des taux risque en effet de se traduire par une nouvelle flambée du dollar.
Mieux rémunéré et plus rare, le billet vert a en effet toutes les chances de grimper par rapport aux autres devises et en particulier par rapport à l’euro.
Un mouvement qui pèserait immanquablement sur les exportations américaines qui sont l’un des principaux moteurs de la reprise outre-Atlantique et à terme sur la croissance économique. La hausse des taux américains, si elle intervient trop tôt ou s’avère trop brutale pourrait ainsi déclencher une tempête sur les marchés financiers.

D’autant qu’en face, en zone euro, la BCE fait tourner la planche à billets à plein régime, afin de relancer la croissance par le biais du crédit et de tordre le cou au risque de déflation qui pèse sur la devise européenne et stimule les exportations.

La Fed américaine a déjà donné plusieurs coups de frein à sa politique monétaire.
Avec l’arrêt du «quantitative easing», elle a déjà rangé depuis des mois la planche à billets.
Ces politiques divergentes menées des deux cotés de l’Atlantique sont le reflet de conjonctures diamétralement opposées.

Tandis que la zone euro est toujours empêtrée dans la crise et que le chômage flirte avec des records,
aux États-Unis le plein emploi est pratiquement de retour et la croissance culmine à plus de 2,5 %.

Mais, tôt ou tard pour contrer le risque d’inflation et retrouver des marges de manœuvre en cas de rechute de l’économie américaine, la Fed sera contrainte de donner un premier coup de pouce à ses taux directeurs.

Le figaro

mam
 
Les marchés n’en savent pas beaucoup plus sur les intentions de la Fed

Les investisseurs redoublaient de prudence avant la publication mercredi soir du compte rendu de la dernière réunion de la banque centrale américaine.

C’était le principal rendez vous de la semaine pour les marchés:
la puissante banque centrale américaine, la Federal Reserve a dévoilé mercredi soir la teneur des débats qui se sont tenus lors de la dernière réunion de son Comité de politique monétaire.

Selon le compte-rendu, les membres de la Fed se sont, à nouveau, montrés préoccupés par la faiblesse de l’inflation et le piètre état de la conjoncture économique mondiale, deux facteurs qui ne plaident pas en faveur d’un tour de vis monétaire.

Ces précisions ont un moment permis à Wall Street d’effacer ses pertes initiales, les investisseurs en ayant tiré la conclusion que la Fed allait se montrer très prudente en matière de relèvement des taux.
Toutefois, les indices, qui avaient presque réussi à revenir en territoire positif, sont retombés en fin de séance. Les investisseurs ont semblé se concentrer sur les éléments moins favorables des «minutes», en premier lieu la mention que les conditions d’une hausse des taux «s’approchaient», en raison essentiellement de la poursuite de l’amélioration du marché du travail aux États-Unis.

Une équation particulièrement complexe
Les investisseurs qui profitent des largesses de la Banque centrale américaine depuis plusieurs années, redoutent cette échéance.

De fait, l’équation est particulièrement complexe pour la présidente de l’institution Janet Yellen. L’annonce d’une première hausse des taux après des années de politique monétaire ultragénéreuse doit en effet être faite avec tact.

La hausse des taux risque en effet de se traduire par une nouvelle flambée du dollar.
Mieux rémunéré et plus rare, le billet vert a en effet toutes les chances de grimper par rapport aux autres devises et en particulier par rapport à l’euro.
Un mouvement qui pèserait immanquablement sur les exportations américaines qui sont l’un des principaux moteurs de la reprise outre-Atlantique et à terme sur la croissance économique. La hausse des taux américains, si elle intervient trop tôt ou s’avère trop brutale pourrait ainsi déclencher une tempête sur les marchés financiers.

D’autant qu’en face, en zone euro, la BCE fait tourner la planche à billets à plein régime, afin de relancer la croissance par le biais du crédit et de tordre le cou au risque de déflation qui pèse sur la devise européenne et stimule les exportations.

La Fed américaine a déjà donné plusieurs coups de frein à sa politique monétaire.
Avec l’arrêt du «quantitative easing», elle a déjà rangé depuis des mois la planche à billets.
Ces politiques divergentes menées des deux cotés de l’Atlantique sont le reflet de conjonctures diamétralement opposées.

Tandis que la zone euro est toujours empêtrée dans la crise et que le chômage flirte avec des records,
aux États-Unis le plein emploi est pratiquement de retour et la croissance culmine à plus de 2,5 %.

Mais, tôt ou tard pour contrer le risque d’inflation et retrouver des marges de manœuvre en cas de rechute de l’économie américaine, la Fed sera contrainte de donner un premier coup de pouce à ses taux directeurs.

Le figaro

mam
Quel plein emploi aux etatss unis y a 50 millions de SDF sur 300 millions d habitant, n importe quoi, pour l instant il font tous marche la planche a billet comme des **** car ils sont plus de solution, c est la derniere cartouche apres y a plus rien, comme si fabriquer du papier ( electronque) allait relancer quelque chose, franchement même un type qui a un Q.I de 10 sait que c est des conneries ca, au contraire quand tout le monde se met a fabriqué des billets c est que la fin est proche.
 
En plus la BCE qui fabrique des billets le prete au banque a un taux bas et les banque ne le prête pas au gens donc ca sert a rien, les banques vont s amuser a speculé a gauche a droite, comment peut on relancer une economie alors que les banques ne le prêtent au gens ni au societés sauf des garanties exageres, c est du pipo tout ca, d ailleur le chomage en europe augment de jour en jour et donc la preuve que ca marche pas
 

farid_h

<defunct>
Contributeur
Pour l'USD, je suis moderement optimiste: la FED et l'economie US sont sur la bonne voie et se stabilisent. Pour l'EUR, je suis nettement plus pessimiste: ils foncent droit dans le mur.

Quand aux dettes souveraines: tant que l'USD reste la monnaie de reference mondiale -- et elle n'a pas de concurrence serieuse pour l'instant --, les Etats Unis peuvent continuer leur politique financiere actuelle d'austerite-moderee, et il n'y a pas de pression de reduire le deficit. Le reste de la planete paye la facture.

Pour la zone Euro, c'est different: comme l'EUR n'est pas indispensable pour le reste du monde, ces dettes vont finir par exploser et les Etats vont s'en debarasser par inflation, puis par inflation galoppante, et comme le systeme sera instable, il finira par une phase d'hyper-inflation. Dans tous les cas, les epargnants payeront cette dette par perte de leur pouvoir d'achat. A la fin, il y aura un reset et une reforme monetaire (genre: 1 neo-euro pour 1,000,000,000,000,000 euros Draghi-ens actuels).
 
le dollard a perdu 96 pour cents depuis qu il a ete créer ca veut dire ce que ca veut dire, tu dis n importe quoi, tu sais que les ecoles aux etats unis demande aux eleves d apporter leur propre papier de toilette maintenant, que les prêtes étudiant on atteint un point de non retour, les statistiques sont faussé c est tout, l economie est mondial et tout le monde a besoin de tout le monde c est comme un corps humain, avant les etats unis allait chaque année elle allais emprunté aupres de la fed maintenant c est chaque mois d ailleurs elle a meme depasser le plafond qu elle s etait octroyé, dire que leuro va s ecraser et que le dollards s en sort c est des conneries ca, la crise est mondial et non pas local meme la chine ca commence la recession la bas ses exportation commence a chuter grave et les bulles speculatives surtout de l immobilier sont prête a exploser, tout systeme qui fabrique de l argent est systeme en danger, tout ce bazarre devais s ecrouler en 2008 mais on mantient tout ca grace a la planche a billet, on a sauvé les banques pas le peuple, et l economie americaine n est pas bonne du tout,
 
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