Israël : George Mitchell bute sur la colonisation

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L'émissaire américain pour le Proche-Orient n'est pas parvenu à convaincre Israël de cesser la colonisation en Cisjordanie. George Mitchell va tenter d'organiser un sommet tripartite à New York la semaine prochaine.

L'émissaire américain George Mitchell s'efforçait vendredi, apparemment sans succès, d'arracher aux Israéliens et aux Palestiniens un accord ouvrant la voie à une reprise du dialogue bloqué par le contentieux de la colonisation.

M. Mitchell s'est entretenu en fin de matinée à Jérusalem avec le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou, qu'il doit revoir dans la journée après avoir discuté avec le président palestinien Mahmoud Abbas à Ramallah (Cisjordanie).

Les efforts de M. Mitchell butent jusqu'à présent sur le refus israélien d'un arrêt de la colonisation en Cisjordanie occupée, alors que la partie palestinienne maintient l'exigence d'un gel complet des constructions, arguant que leur poursuite mine toute chance d'accord.

http://www.jeuneafrique.com/Article...George-Mitchell-bute-sur-la-colonisation.html

M. Netanyahou a réaffirmé que son gouvernement n'envisageait pas de "gel" de la colonisation mais un "ralentissement" de la construction limité à plusieurs mois.
 

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petite pensée pour Tanja qui dixit :

Permets moi au passage de dire que prendre prétexte de quatre immeubles ou un quartier de maisons pour ne pas faire la paix... et comme tu disais la haut ... et à mon avis... ridicule.

C'est comme si tu me disais que la Paix entre l'Allemagne et la France n'était pas possible d'être signée au motif que pendant "x" années d'occupation de l'Alsace et la Lorraine... les allemands avaient construit un quartier résidentiel.
:langue:

j'espère que maintenant tu vois le frein que ça en ait pour la paix que tu prones ces quelques immeubles comme tu le dis QUI JE TE PRECISE SONT DES COLONIES
 

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Israël-Palestine, que peut Obama ?
jeudi 24 septembre 2009 - 06h:38

Alain Gresh
Le Monde Diplomatique

« Première poignée de main entre Netanyahou et Abbas », titre LeMonde.fr le 22 septembre. Les deux hommes se sont vus (très brièvement, à peine quinze minutes) à New York ; si l’on en croit commentateurs et éditorialistes, la rencontre n’a rien donné, et marque même une victoire israélienne.

« Les discussions entre Israéliens et Palestiniens se heurtent au refus de M. Netanyahou de stopper complètement la colonisation en Cisjordanie occupée, et à celui de M. Abbas de discuter dans de telles conditions », écrit LeMonde.fr, renvoyant dos à dos les deux protagonistes.

Si tel est le cas, le président Obama reviendrait à la stratégie qui a déjà échoué : celle d’Annapolis, celle d’un processus de paix sans fin à l’abri duquel Israël continue sa politique de conquête et de colonisation.

Ce ne serait pas seulement une catastrophe pour les Palestiniens, mais aussi pour toute la région. Et ramènerait à peu de choses le discours du Caire du président américain, le 4 juin 2009.

Pourtant, un autre choix est possible pour le président américain, y compris dans le cadre de l’alliance existant entre Israël et les Etats-Unis, comme le montrent deux articles récents.

Pierre Razoux, un chercheur au collège de défense de l’OTAN (Rome), fait d’intéressantes suggestions dans le New York Times du 15 septembre (« How to Put Pressure on Netanyahu »).

Confronté aux tactiques dilatoires de Netanyahou, le président Obama ne peut réduire l’aide financière ou militaire à Israël (pour des raisons de politique intérieure). :DL’administration dispose toutefois d’autres moyens de pression :

s’abstenir de soutenir systématiquement Israël au conseil de sécurité de l’ONU ;

réduire graduellement la coopération militaire dans des domaines cruciaux, comme le renseignement, l’espace, les communications, le nucléaire, etc.

demander publiquement qu’Israël participe à la conférence de l’année prochaine sur le traité de non prolifération ;

enfin, il peut réduire ses garanties financières aux prêts donnés à Israël, comme James Baker l’a fait en 1991-1992 pour forcer le premier ministre de droite Itzhak Shamir à rejoindre le processus d’Oslo [l’auteur se trompe, il veut parler du processus ouvert par la conférence de Madrid, le 30 octobre 1991].

« L’administration Obama doit simplement faire comprendre au gouvernement israélien que les intérêts stratégiques des deux pays ne coïncident pas forcément. Elle devrait aussi laisser Israël en dehors de la négociation avec l’Iran, ne l’informant ni du statut de ces discussions ni de leur contenu. »

Cette stratégie indirecte serait d’autant plus efficace, selon l’auteur, qu’elle pourrait difficilement être exploitée par le lobby pro-israélien.

Le journaliste Akiva Eldar, dans Haaretz, « So what if Obama wants to move peace process forward ? » (23 septembre), rappelle le célèbre épisode des pressions de l’administration Bush (père) et de James Baker en 1991-1992, évoqué par Razoux. Mais il note une différence de taille : à l’époque, la droite israélienne faisait face à une réelle opposition menée par Itzhak Rabin. Et les pressions américaines avaient mené à la chute du gouvernement de droite. Il n’existe plus, note Eldar, de camp israélien de la paix. Et la force du Hamas est aussi un élément nouveau.



Selon Helene Cooper et Mark Landler du New York Times (23 septembre), « In Mideast Peace Bid, Obama Pivots in His Demands », le président Obama aurait prévenu ses interlocuteurs palestiniens « qu’il ne pourrait pas obtenir un gel de la colonisation, mais qu’il pousserait Israël à s’engager rapidement dans des négociations sur le statut final ». En d’autres termes, il demande aux Palestiniens d’accepter la reprise des négociations alors que la colonisation continue, même à un rythme ralenti.
 

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Après l¹appel d¹Obama à "restreindre" la colonisation, Ehoud Barak, ministre de la défense (travailliste, ndt) a approuvé la construction de logements supplémentaires dans la colonie de Karnei Shomron, en Cisjordanie.
Shalom Arshav : « Barak est devenu le sous-traitant des colons. »]

Yediot Aharonot, 23 septembre 2009

http://www.ynetnews.com/articles/0,7340,L-3780924,00.html

Barak donne son feu vert à 37 logements supplémentaires en Cisjordanie Efrat Weiss


Traduction : Gérard pour La Paix Maintenant

Au cours des pourparlers à New York avec Benjamin Netanyahou et Mahmoud Abbas, Barack Obama a appelé à « restreindre » la colonisation, et non à la stopper, comme l¹exigeait Washington précédemment.

Quelques semaines auparavant, Barak avait approuvé la construction de 455 logements en Cisjordanie, bien que les leaders des colons aient affirmé que ces constructions avaient déjà été approuvées par l¹ancien gouvernement Olmert.

Ces projets de constructions ont été approuvés malgré la politique tacite de Netanyahou qui consistait à restreindre les nouveaux permis de construire en Cisjordanie.

Le président du conseil municipal de Karnei Shomron, Herzl Ben-Ari, a déclaré que cette décision faisait partie du « grand projet de restructuration », ajoutant que la construction de ce nouveau quartier avait commencé dès 1999 et que « tout ce qu¹il fallait, c¹était de reconduire l¹autorisation ».

/...

Yariv Oppenheimer, secrétaire général de Shalom Arshav (La Paix Maintenant), a lui aussi critiqué la décision de Barak, en disant que le ministre de la défense était devenu « sous-traitant de Yesha » (Yesha : acronyme ce conseil représentatif des colons, ndt).

D¹après Oppenheimer, « le fait des construire des logements à Karnei Shomron (située entre Qalqilya et Naplouse) constitue une erreur historique qui met à mal la vision de deux Etats ». Il a ajouté : « A lui tout seul, le gouvernement israélien annihile toute chance de paix et nuit à nos relations avec les Etats-Unis. »
 

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Les Palestiniens intransigeants sur le gel de la colonisation

L'Autorité palestinienne s'est montrée mardi intransigeante sur le gel de la colonisation juive avant toute négociation avec Israël, après un sommet à New York marquant une intervention accrue du président américain Barack Obama dans les efforts de paix au Proche-Orient.
"Nous avons insisté (lors du sommet) sur la nécessité du respect par Israël de ses engagements, notamment l'arrêt de la colonisation sous toutes ses formes, y compris la croissance naturelle", a déclaré le président palestinien Mahmoud Abbas peu après la rencontre sans précédent avec M. Obama et le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.
"La reprise des négociations dépend (aussi) de la définition de bases claires pour ce processus. Ces bases doivent être une reconnaissance (israélienne) que le retrait doit se faire selon les frontières du 4 juin 1967", avant la conquête des territoires palestiniens par Israël, a ajouté M. Abbas.
"Notre position avant ce sommet et après reste la même", a-t-il dit.
Obama fait pression
Lors du sommet, dont la tenue est longtemps restée incertaine en raison du refus de M. Netanyahu de geler la colonisation comme le souhaite Washington et l'exige M. Abbas, M. Obama a mis la pression sur les deux dirigeants pour les amener à se serrer la main et les presser de reprendre au plus vite les négociations suspendues fin 2008.
Il leur a aussi demandé d'envoyer leurs négociateurs la semaine prochaine à Washington pour poursuivre les discussions de mardi avec l'émissaire américain George Mitchell, rentré bredouille vendredi de sa dernière mission dans la région.
Le négociateur palestinien en chef Saëb Erakat a précisé que les négociateurs des deux bords auraient à cette occasion des rencontres "séparées" avec M. Mitchell.
"L'arrêt de la colonisation, y compris la croissance naturelle, ne saurait faire l'objet d'un compromis", a insisté M. Erakat.
"Si les Etats-Unis n'arrivent pas à contraindre Israël de geler la colonisation, qui peut croire qu'ils seront capables d'amener Israël à se retirer des territoires occupés ou à résoudre des questions comme le sort de Jérusalem ou des réfugiés", a-t-il ajouté.
"Aucune percée lors du sommet"
Le porte-parole de la présidence palestinienne, Nabil Abou Roudeina, a abondé dans le même sens.
"Nos exigences pour une reprise des négociations n'ont pas changé après ce sommet, à savoir notamment l'arrêt total de la colonisation", a dit M. Abou Roudeina. "Aucune percée n'a été enregistrée lors du sommet", a-t-il ajouté.
M. Mitchell, qui a assisté au sommet, a lui aussi reconnu que des divergences persistaient entre Israéliens et Palestiniens, tout en affirmant que des progrès avaient été accomplis.
"Les deux parties cherchent à relancer les négociations le plus vite possible bien qu'il y ait des divergences sur la manière de procéder", a-t-il dit à la presse.
Sans s'attarder sur le sujet sensible de la colonisation, M. Netanyahu a pour sa part cherché à dresser un tableau moins sombre du sommet.
"Il y a eu un accord général, y compris des Palestiniens, que le processus de paix doit reprendre le plus tôt possible sans conditions préalables", a-t-il dit.
"Il n'y a eu ni vainqueur ni vaincu (...). Une reprise des négociations serait dans l'intérêt de toutes les parties, nous, les Palestiniens et les Etats-Unis, et la cause de la paix", a-t-il ajouté.
M. Netanyahu, qui dirige depuis avril un des gouvernements le plus à droite dans l'histoire d'Israël, avait accepté en juin le principe de la création d'un Etat palestinien au côté d'Israël tout en posant des conditions lui ôtant tous les attributs de souveraineté.:eek: :D

Jeune Afrique
 

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Clinton confirme l’alignement des Etats-Unis sur Israël
samedi 31 octobre 2009 - 23h:58

Al Jazeera

Ses commentaires ont été faits à Jérusalem ce samedi, lors d’une conférence de presse conjointe avec Hillary Clinton, la secrétaire d’Etat des Etats-Unis, au cours de laquelle les deux acolytes ont appelé à la reprise des pourparlers de paix sans conditions préalables.

Netanyahu et Clinton, qui se sont entretenus après la conférence de presse, ont déclaré de concert que le gel de la colonisation, considérée par les Palestiniens comme une condition pour un début de pourparlers, devraient être considérés comme faisant partie des négociations [en définitive, l’occupation et le vol des terres palestiniennes représentent « un détail » qui ne devrait pas être un obstacle à une comédie de nouveaux pourparlers - N.d.T].

« Cela n’a jamais été une condition préalable. Cela a toujours été une question pour les négociations », a dit Clinton, ajoutant qu’Israël faisait des « concessions » sans précédent.

Le dirigeant israélien a déclaré : « C’est effectivement utilisé comme un prétexte ... comme un obstacle qui empêche la reprise des négociations ».

L’administration de Barack Obama, le président américain, avait auparavant demandé à Israël de cesser toute construction dans les colonies avant que les négociations puissent reprendre, une prise de position qui avait été applaudie par les Palestiniens mais qui avait mis les Etats-Unis et d’Israël à couteaux tirés.

Les Etats-Unis battent en retraite

Jacky Rowland, correspondante d’Al Jazeera à Jérusalem, nous a dit : « Les Américains n’admettront jamais battre en retraite, mais si on regarde la façon dont le langage a changé et la façon dont la tonalité a changé, c’est tout à fait clair, il y a eu un glissement de la position américaine. »

« Maintenant, nous entendons Hillary Clinton demander une reprise immédiate des négociations - ’se remettre en route’, » dit-elle, ne voulant vraiment pas parler de conditions.

« Nous avons vraiment vu Hillary Clinton s’aligner sur Israël [à la conférence de presse]. »

Ce changement d’attitude est peu susceptible d’être accepté par les Palestiniens.

Mahmoud Abbas, [l’ex-]président palestinien, avait déjà rejeté la demande de Clinton de reprendre les négociations lors de leur rencontre à Abu Dhabi dans les Emirats arabes unis.

Saeb Erakat, négociateur en chef palestinien, a déclaré qu’Abbas avait rejeté l’offre américaine, car l’accord récemment conclu entre George Mitchell - l’envoyé spécial des Etats-Unis au Moyen-Orient - et Israël « n’inclut pas un gel complet des activités de colonisation ».

Erakat a déclaré qu’Israël avait refusé d’arrêter la construction de 3000 maisons actuellement en réalisation en Cisjordanie, ainsi que les constructions à Jérusalem-Est annexée.
 

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Clinton affirme son soutien à la colonisation israélienne
lundi 2 novembre 2009 - 07h:14

Al Jazeera

La chaîne Al Jazeera, a appris de sources palestiniennes bien informées, que la secrétaire d’État Hillary Clinton - lors d’une rencontre avec le président Mahmoud Abbas à Abou Dhabi samedi dernier - a exposé la position finale de l’administration du président Barack Obama sur la question des colonies en Cisjordanie, les considérant comme vitaux pour la sécurité d’Israël.

Les mêmes sources, sous le sceau de l’anonymat, ont rapporté que Clinton a informé Abbas que l’administration américaine n’a pas réussi à assouplir la position israélienne sur les colonies et que les pressions internes du lobby juif les empêchent d’entreprendre un pas en avant.

Ces sources ont souligné que Clinton a surpris M. Abbas lorsqu’elle a déclaré que, l’envoyé spécial américain, George Mitchell, lors de sa tournée en Israël, a constaté l’importance des colonies d’où la nouvelle position des États-Unis qui met à présent l’accent sur « l’importance des colonies pour protéger et assurer la sécurité d’Israël ».

Selon ces sources, la Secrétaire U. S. a dit a Abbas que la plupart des colonies juives construites dans les territoires palestiniens occupés en 1967 ne peuvent pas être démantelées et tout ce qui peut-être fait c’est de donner en contre partie des terres aux Palestiniens selon un accord convenu entre Mitchell et le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.

La sécurité d’Israël

Selon les mêmes sources, Clinton a expliqué que ces implantations sont nécessaires à la sécurité d’Israël et que ni Israël ne peut être convaincus ni les Américains n’accepteront de les évacuer parce que cette évacuation permettra aux organisations terroristes palestiniennes de se rapprocher d’Israël qui sera ainsi soumis à des risques supplémentaires.

Les sources ont indiqué que le Président Abbas semblait extrêmement abattu par les déclarations de Clinton . A l’issue de cette réunion, il a fait part à l’un de ses conseillers que les pressions exercées par l’administration américaine ne peuvent convaincre même le plus petit enfant palestinien.

Ces sources ont confirmé que M. Abbas a insisté que l’arrêt de la colonisation n’est pas une condition pour reprendre les négociations avec Israël, mais c’est une obligation qui doit être tenue par Tel Aviv conformément à la feuille de route respectée par ailleurs par les Palestiniens.

Concession Palestinienne

Ces sources ont aussi indiqué que Clinton a déclaré à Abbas que l’administration américaine ne peut pas continuer à jouer le rôle de médiateur et elle veut que Abbas fasse un pas supplémentaire en avant et renonce à la condition de l’arrêt de la colonisation comme préalable pour la reprise des négociations.

Ces sources ont rapporté à Al Jazeera que Abbas a informé la secrétaire d’état que tout recul de sa position signifie la destruction de l’avenir de l’autorité, et que la concession faite à Israël devrait être compensée par quelque chose de concret sur le terrain et non des déclarations dans les médias ou sur papier.

Le Président Abbas a enjoint la Secrétaire S. U. de contraindre Israël à respecter ce qui a été convenu sous l’ère de l’ancien Premier ministre Ehud Olmert, mais Clinton a rétorqué que ce qui était précédemment convenu, "ne veut rien dire pour l’administration américaine actuelle".

Al- Jazeera a appris que Clinton a fait part à Abbas d’un message verbal du président Barack Obama lui demandant de ne pas mettre d’obstacles sur la voie des négociations avec Israël. Elle l’a mis en garde que s’il maintient ses exigences, il serait désigné comme le responsable principal du blocage du processus de paix dans la région.
 

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Des pierres contre un ordre d’expulsion à Jérusalem

Il est bien plus difficile d’expulser des squatteurs arabes d’une propriété juive, à l’issue de 17 ans de lutte légale, que d’évacuer des Juifs de la Maison de la Paix à Hévron avec la bénédiction du ministre de la Défense Ehoud Barak.

C’est ce qu’a déjà pu remarquer plusieurs fois le propriétaire, âgé de 78 ans, d’un terrain de Jérusalem, qui lui a été volé par un clan arabe palestinien. La tentative du vieil homme, résident lui-même de Kiryat Arba-Hévron (drôle de coïncidence s’il en est), de présenter l’ordre d’expulsion du tribunal aux squatteurs arabes de sa propriété acquise à Jérusalem il y a vingt ans s’est en effet soldée vendredi de façon désagréable pour Herskovitz et ses amis :

Deux Juifs blessés par une volée de pierres, jetées par des Arabes, l’un à la tête et l’autre à la poitrine.
Un homme de 63 ans qui a passé Shabbat en prison après avoir tiré en l’air pour se protéger lui et ses compagnons.
La presse israélienne qui s’est empressée vendredi de parler d’escarmouche avec des Israéliens qui avaient tiré sur des Arabes, en blessant quatre (ce qui est faux).
Un report (encore un) de l’expulsion des squatteurs arabes, après 17 ans que le vieil homme attend de prendre possession de sa maison.

http://www.actu.co.il/2009/11/des-pierres-contre-un-ordre-dexpulsion-a-jerusalem/
 

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Les ventes de logements neufs ont progressé de 8% de Janvier à Septembre

De janvier à septembre 2009, ce sont 13.781 logements neufs qui ont été vendus en Israël; il s’agit d’une progression de 8% par rapport à la même période de l’année passée.

Selon les chiffres de l’Institut israélien de la Statistique, près de 62% des ventes ont été réalisées à Tel Aviv et dans le Centre du pays, les autres à Haïfa et dans le Nord (12%), dans le Sud (12%), à Jérusalem (10%), et en Cisjordanie (4%).

La ville la plus attractive pour l’acquéreur d’immobilier reste Petah Tikva qui a enregistré un record de 1.313 logements vendus de janvier à septembre. Viennent ensuite les villes de Jérusalem (1.014 ventes), de Netanya (929 ventes) et de Modiin (591 ventes).

Néanmoins, la pénurie d’immobilier s’accentue et les ventes reculent. On constate que la forte progression des ventes enregistrée depuis le début de l’année semble s’atténuer: septembre a été le troisième mois consécutif de baisse des ventes d’immobilier neuf. Il faut dire que le rythme actuel des constructions ne suit pas celui de la demande. A la fin du mois de septembre 2009, les stocks disponibles avaient chuté de 27% par rapport à leur niveau du mois de septembre 2008. Selon les calculs de l’Institut de la Statistique, il ne restait à la fin du mois de septembre que 7.650 logements neufs à vendre dans le pays, soit de quoi satisfaire à la demande des 6 prochains mois seulement.

http://www.actu.co.il/2009/11/les-v...fs-ont-progresse-de-8-de-janvier-a-septembre/

:rolleyes:ewa baz
 

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Rencontre Netanyahou-Mitchell à Jérusalem

[Lundi 02/11/2009 13:33]

Le Premier ministre Binyamin Netanyahou a entamé, dans ses bureaux de Jérusalem, son entretien avec l’émissaire américain au Proche-Orient George Mitchell. Les deux hommes débattent des efforts entrepris ces derniers temps pour relancer le processus diplomatique dans la région. Netanyahou doit se rendre la semaine prochaine aux États-Unis.

par Claire Dana-Picard
 

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Hillary Clinton : l’avocat du diable
jeudi 5 novembre 2009 - 07h:44

Bari Al Atwan
Un gel total des colonies avait déjà été fixé comme une condition préalable aux pourparlers de paix, mais Clinton a annoncé qu’à son avis, les prétendues « concessions » de Netanyahou étaient suffisantes pour que les Palestiniens reviennent à la table des négociations.

En public, les ministres arabes ont fait connaître leur déception avec le changement de ton des Etats-Unis qu’ils présentent comme une atteinte au processus de paix.

Mais nous ne savons pas ce qu’ils ont dit à Clinton en secret lors des réunions à huis clos, d’autant que la secrétaire d’Etat américaine a réitéré sa demande préalable, à savoir que les pays arabes dits modérés prennent des mesures allant dans le sens de la normalisation avec le gouvernement israélien actuel. Cela, dit-t-elle, afin d’encourager les Israéliens à faire avancer le processus de paix.

Nous craignons fort que les ministres arabes des affaires étrangères ne souscrivent à la nouvelle position américaine sur les colonies et ne fassent pression sur l’Autorité [nationale] palestinienne pour qu’elle renonce à vouloir imposer une gel total des activités de colonisation en Cisjordanie et à Jérusalem comme préalable non-négociable à une reprise des pourparlers.

Plusieurs pays arabes ont déjà pris contact avec l’ex-président Abbas, lui demandant d’accepter l’invitation du président Barack Obama à une réunion tripartite avec Netanyahou, en marge de la session de l’Assemblée générale des Nations unies à New York. Le prince héritier de l’un des émirats du Golfe arabe a même dit au président palestinien de ne provoquer par ses hésitations la colère du président des Etats-Unis (qui lui semblait le mieux disposé de tous les dirigeants américains à l’égard de la cause arabe et le plus désireux de négocier un accord de paix...).

L’ex-président palestinien devrait s’en tenir à sa position qui est de ne pas reprendre les négociations avec ce gouvernement israélien extrémiste qui a pour seul but d’annexer les terres palestiniennes, de judaïser Jérusalem occupée, de mettre en morceaux la mosquée Al-Aqsa et de construire une synagogue à sa place.

Il est hors de question de reprendre des négociations face à de telles provocations, sauf si l’objectif est de blanchir Netanyahu et son gouvernement et de mettre fin à l’isolement international qu’ils subissent, lui et son gouvernement, en raison de leurs attitudes extrémistes.

L’administration du président Obama a perdu sa crédibilité dans les mondes arabe et islamique, avec ses volte-face qui ternissent son ancienne opposition aux activités de colonisation. Cette administration semble maintenant peu différente de celle de George Bush, si elle n’est encore pire.

L’attitude pro-israélienne du président Obama, jointe à sa poursuite des guerres sanglantes en Irak et en Afghanistan, aura un impact négatif sur son image dans le monde islamique où il est de plus en plus perçu comme un homme faible et hésitant, cédant aux pressions du lobby israélien tout en espérant sauver une popularité qui s’effondre.
 
Grand MERCI petitbijou
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أمس اتصلت بالأمل ..

قلت له هل ممكن ؟
ان يخرج العطر لنا
من الفسيخ والبصل ؟

قال : أجل**.

قلت : وهل يمكن أن
تشعَل نار بالبلل ؟

قال أجل .

قلت : وهل من حنظل
يمكن تقطير العسل ؟

قال : نعم .

قلت : وهل
يمكن وضع الأرض
في جيب زحل ؟

قال : نعم ,بلا , أجل
فكل شيء محتمل .

قلت إذن عربنا
سيشعرون بالخجل ؟

قال : تعال ابصق على وجهي
إذا هذا حصل


أحمد مطر
 
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