Un homme a ouvert le feu dans un bar de Tel-Aviv (Israël) ce vendredi, faisant au moins deux morts. Une chasse à l'homme a été lancée pour retrouver l'auteur de cette fusillade.
Une fusillade a eu lieu ce vendredi en début d'après-midi à Tel-Aviv, en Israël. Pour des raisons inconnues, un homme a pris pour cible un bar de la rue Dizengoff, une grande artère commerçante de la ville. Selon l'AFP et les médias israéliens, deux personnes ont été tuées, sept autres ont été blessées et deux d'entre elles se trouvent dans un état critique. Pour le journaliste Charles Enderlin, le nombre de blessés s'élève même à dix, dont trois graves.
Jointe par l'AFP, la patronne d'un salon de coiffure voisin, Osnat David, a raconté avoir entendu une série de coups de feu, des cris et des pleurs. «Mes clients et moi nous sommes cachés dans la réserve sans faire de bruit. Nous n'avons même pas eu le temps de fermer le magasin. Nous nous sommes couchés au sol pour que le terrroriste ne nous voit pas. Tout cela a duré une vingtaine de minutes. Nous tremblions, nous nous serrions les uns contre les autres», a-t-elle décrit.
Le Parisien
Une fusillade a eu lieu ce vendredi en début d'après-midi à Tel-Aviv, en Israël. Pour des raisons inconnues, un homme a pris pour cible un bar de la rue Dizengoff, une grande artère commerçante de la ville. Selon l'AFP et les médias israéliens, deux personnes ont été tuées, sept autres ont été blessées et deux d'entre elles se trouvent dans un état critique. Pour le journaliste Charles Enderlin, le nombre de blessés s'élève même à dix, dont trois graves.
Jointe par l'AFP, la patronne d'un salon de coiffure voisin, Osnat David, a raconté avoir entendu une série de coups de feu, des cris et des pleurs. «Mes clients et moi nous sommes cachés dans la réserve sans faire de bruit. Nous n'avons même pas eu le temps de fermer le magasin. Nous nous sommes couchés au sol pour que le terrroriste ne nous voit pas. Tout cela a duré une vingtaine de minutes. Nous tremblions, nous nous serrions les uns contre les autres», a-t-elle décrit.
Le Parisien