Jeune Afrique ouvre un bureau à Casablanca

Le directeur délégué de la Rédaction Jeune Afrique, M. Marwane Ben Yahmed, a déclaré que la publication tente de "couvrir toute l'actualité du Maroc : politique, économique ou sociale", rappelant que "le Maroc est un pays qui évolue très vite et que sa société est en perpétuelle évolution".

"Le Maroc a beaucoup d'idées et est souvent un peu en avance par rapport à ses voisins du Maghreb", a-t-il relevé, soulignant qu'"il nous incombe donc de traiter ses évolutions majeures". Il a cité dans ce cadre les cas du code de la famille et de l'Instance Equité et Réconciliation (IER), qu'il a qualifiés"de modèles pour les autres pays du Maghreb".

A lire sur Bladi.net
 

Décès de Béchir Ben Yahmed : la Tunisie, orpheline de « Si Béchir »​


Le président Habib Bourguiba (à g.), Béchir Ben Yahmed, ministre de l’Information (avec des lunettes de soleil) et Ahmed Mestiri, ministre des Finances, à Tunis, en juillet 1957.

Plus jeune ministre de Habib Bourguiba, BBY a contribué aux pourparlers pour l’indépendance de la Tunisie. Devenu patron de presse, ce natif de Djerba continuait à accorder une place spéciale à son pays d’origine dans « Jeune Afrique ». Témoignages.
La nouvelle a fuité dans la matinée du 3 mai mais personne ne croyait au décès de « Si Béchir ». « Attendons d’abord une confirmation », écrivait sur les réseaux sociaux Sonia Ben Frej, ancienne dirigeante de banque. Mais déjà les hommages affluaient. Tandis que Mondher Khanfir, vice président du think tank Tunisian African Business Council (TABC) évoquait « un homme d’exception qui a porté l’Afrique dans son cœur », le journaliste Mondher Chraiet saluait « l’un des plus grands journalistes arabes et africains ».


 
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AncienMembre

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Décès de Béchir Ben Yahmed : la Tunisie, orpheline de « Si Béchir »​


Le président Habib Bourguiba (à g.), Béchir Ben Yahmed, ministre de l’Information (avec des lunettes de soleil) et Ahmed Mestiri, ministre des Finances, à Tunis, en juillet 1957.

Plus jeune ministre de Habib Bourguiba, BBY a contribué aux pourparlers pour l’indépendance de la Tunisie. Devenu patron de presse, ce natif de Djerba continuait à accorder une place spéciale à son pays d’origine dans « Jeune Afrique ». Témoignages.
La nouvelle a fuité dans la matinée du 3 mai mais personne ne croyait au décès de « Si Béchir ». « Attendons d’abord une confirmation », écrivait sur les réseaux sociaux Sonia Ben Frej, ancienne dirigeante de banque. Mais déjà les hommages affluaient. Tandis que Mondher Khanfir, vice président du think tank Tunisian African Business Council (TABC) évoquait « un homme d’exception qui a porté l’Afrique dans son cœur », le journaliste Mondher Chraiet saluait « l’un des plus grands journalistes arabes et africains ».



Allah ire7mo, j'aimais bien lire ses chroniques en début de pages dans Jeune Afrique (c'était il y a super longtemps, quand j'étais ado).

Que Dieu l'accueille dans Sa Miséricorde.
 
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