Bonjour à tous,
Cela fait maintenant un moment que jhabite à Taroudant (je suis originaire de France) et je remarque que les jeux sont plutôt limité (babyfoot, foot et fifa dans les salles de PlayStation). Lhistoire de lIslam montre pourtant que le jeu fut pratiqué, et quand je dit jeu, je parle des jeux pour « adulte » (ex : shatranj, un jeu déchec) car lune des réflexions que lon ma souvent dit était « les jeux, cest pour les enfants » donc cette absence ne peut être reporté à lhistoire ou à la religion. De plus, nombre de jeu ne sont pas basé sur le hasard qui est lune des autres explication que lon ma dit sur cette « absence ». Enfin, on ma aussi parlé du prix, il est vrai que la majorité des jeux sont relativement cher (400 dirham, cest sur que ça fait mal pour un simple jeu) mais il existe aussi de très nombreux jeu qui ne coûte rien.
Par exemple je pratiqué en France le Jeu de Rôle
Jeux de rôle : Les joueurs (4 ou 5) interprètent des personnages en vivant une aventure proposée par un autre joueur, le meneur de jeu, qui prépare la trame de lhistoire, puis anime et arbitre la partie. Laventure comporte des énigmes et des obstacles que les personnages doivent résoudre et franchir. Il ny a ni gagnant ni perdant, le but étant pour les joueurs de coopérer pour mener à bien laventure. Joué autour dune table, cest un jeu de dialogue: le meneur de jeu décrit une scène (décors, personnages présents autres que ceux des joueurs), chaque joueur indique ce que fait ou tente de faire son personnage, le meneur de jeu indique le résultat des actions et la suite de la scène, et ainsi de suite. Les règles de jeu fournissent un cadre : des données chiffrées (les caractéristiques) permettent au joueur de choisir les capacités de son personnage, qui servent en cours de jeu à vérifier, par un jet de dés, si chaque action hasardeuse tentée par le personnage réussit ou échoue.
Des papiers, des crayons, des dés, de limagination et 3 à 5H de jeu par séance. On ne peux pas dire que cela coûte beaucoup. Je sais quil y a quelques pratiquants au Maroc (rencontré sur des « tables virtuel ») mais cela semble être de rare exception dispersé dans tout le royaume.
Tout ceci pour en venir à ma question, pourquoi il y a til une absence de cette pratique (les jeux sociaux : plateaux, cartes, jdr, ) au Maroc, ou tout du moins la ou je suis car je ne connais pas les pratiques dans tout le royaume
Cela fait maintenant un moment que jhabite à Taroudant (je suis originaire de France) et je remarque que les jeux sont plutôt limité (babyfoot, foot et fifa dans les salles de PlayStation). Lhistoire de lIslam montre pourtant que le jeu fut pratiqué, et quand je dit jeu, je parle des jeux pour « adulte » (ex : shatranj, un jeu déchec) car lune des réflexions que lon ma souvent dit était « les jeux, cest pour les enfants » donc cette absence ne peut être reporté à lhistoire ou à la religion. De plus, nombre de jeu ne sont pas basé sur le hasard qui est lune des autres explication que lon ma dit sur cette « absence ». Enfin, on ma aussi parlé du prix, il est vrai que la majorité des jeux sont relativement cher (400 dirham, cest sur que ça fait mal pour un simple jeu) mais il existe aussi de très nombreux jeu qui ne coûte rien.
Par exemple je pratiqué en France le Jeu de Rôle
Jeux de rôle : Les joueurs (4 ou 5) interprètent des personnages en vivant une aventure proposée par un autre joueur, le meneur de jeu, qui prépare la trame de lhistoire, puis anime et arbitre la partie. Laventure comporte des énigmes et des obstacles que les personnages doivent résoudre et franchir. Il ny a ni gagnant ni perdant, le but étant pour les joueurs de coopérer pour mener à bien laventure. Joué autour dune table, cest un jeu de dialogue: le meneur de jeu décrit une scène (décors, personnages présents autres que ceux des joueurs), chaque joueur indique ce que fait ou tente de faire son personnage, le meneur de jeu indique le résultat des actions et la suite de la scène, et ainsi de suite. Les règles de jeu fournissent un cadre : des données chiffrées (les caractéristiques) permettent au joueur de choisir les capacités de son personnage, qui servent en cours de jeu à vérifier, par un jet de dés, si chaque action hasardeuse tentée par le personnage réussit ou échoue.
Des papiers, des crayons, des dés, de limagination et 3 à 5H de jeu par séance. On ne peux pas dire que cela coûte beaucoup. Je sais quil y a quelques pratiquants au Maroc (rencontré sur des « tables virtuel ») mais cela semble être de rare exception dispersé dans tout le royaume.
Tout ceci pour en venir à ma question, pourquoi il y a til une absence de cette pratique (les jeux sociaux : plateaux, cartes, jdr, ) au Maroc, ou tout du moins la ou je suis car je ne connais pas les pratiques dans tout le royaume