Ariane doit mettre en orbite quatre satellites Galileo afin de lancers les premiers services - notamment la géolocalisation sur smartphone - du tout nouveau GPS européen, d'ici à la fin de l'année.
Compte à rebours enclenché pour Galileo, le GPS européen. Ariane 5 doit s'élancer aujourd'hui, à 10h06 (14h06 à Paris) depuis son pas de tir de Kourou en Guyane pour un vol historique.
La fusée européenne emporte sous sa coiffe quatre satellites Galileo qu'elle doit placer en orbite, à 23.000 km de la Terre. Cette mission est cruciale pour l'Europe. Pour Ariane 5 d'abord qui battrait, avec ce 75e tir réussi d'affilé, le record établi par Ariane 4.
Pour les industriels et le Centre national d'études spatiales (CNES) ensuite, qui ont réussi à placer quatre satellites au lieu de deux habituellement sous la coiffe d'Ariane 5, en utilisant une version du lanceur développée à l'origine pour l'ATV, le cargo spatial.
Pour l'indépendance de l'Europe enfin qui, avec Galileo, s'affranchit du GPS américain. Avec ces quatre satellites supplémentaires, le GPS européen devient en effet opérationnel.
Ce qui permet de lancer les premiers services, notamment la géolocalisation sur smartphones et dans les voitures.
L'intégralité des services proposés par Galileo seront ensuite déployés progressivement jusqu'en 2020.
À cet horizon, Galileo s'appuiera sur une flotte de 30 satellites et de 20 stations terrestres répartis autour de la planète.
la suite sur http://www.lefigaro.fr/societes/2016/11/17/20005-20161117ARTFIG00006-jour-j-pour-galileo-le-gps-europeen.php
mam
Compte à rebours enclenché pour Galileo, le GPS européen. Ariane 5 doit s'élancer aujourd'hui, à 10h06 (14h06 à Paris) depuis son pas de tir de Kourou en Guyane pour un vol historique.
La fusée européenne emporte sous sa coiffe quatre satellites Galileo qu'elle doit placer en orbite, à 23.000 km de la Terre. Cette mission est cruciale pour l'Europe. Pour Ariane 5 d'abord qui battrait, avec ce 75e tir réussi d'affilé, le record établi par Ariane 4.
Pour les industriels et le Centre national d'études spatiales (CNES) ensuite, qui ont réussi à placer quatre satellites au lieu de deux habituellement sous la coiffe d'Ariane 5, en utilisant une version du lanceur développée à l'origine pour l'ATV, le cargo spatial.
Pour l'indépendance de l'Europe enfin qui, avec Galileo, s'affranchit du GPS américain. Avec ces quatre satellites supplémentaires, le GPS européen devient en effet opérationnel.
Ce qui permet de lancer les premiers services, notamment la géolocalisation sur smartphones et dans les voitures.
L'intégralité des services proposés par Galileo seront ensuite déployés progressivement jusqu'en 2020.
À cet horizon, Galileo s'appuiera sur une flotte de 30 satellites et de 20 stations terrestres répartis autour de la planète.
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