Le journal sénégalais "Le soleil" analyse le match Sénégal-Maroc 0-2

le sélectionneur national voulait une opposition de taille, il a été bien servi par le Maroc qui lui a donné une véritable leçon de football pendant les 45 premières minutes avec à l’arrivée 2 buts de belle facture dans leur conception et dans leur finition. En fait, les attaques placées des Marocains tant redoutées par Amara Traoré lors de sa première conférence de presse lundi dernier ont fait leur effet. Les Sénégalais souffraient-ils de la chaleur ou le retour à la haute compétition avait-il rendu les jambes trop lourdes ? En tout cas dans ce match qui prépare la venue de la Rd Congo le 3 septembre, on a vu des « Lions » empruntés face à des « Lions de l’Atlas » bien en jambes et pleins de vivacité.
Le match a été résumé à moitié et dans les 25 premières minutes par d’abord le capitaine d’équipe Kharja Houssine qui concluait un beau mouvement d’ensemble par un tir lifté qui ne laissait aucune chance à Bouna Coundoul (10e). Les Marocains excellaient dans le travail d’approche avec une bonne monopolisation de la balle contrairement aux sénégalais qui semblaient manquer de rythme et de mobilité dans le jeu. Une situation qui emmenait le second but sur, cette fois-ci, une perte de balle au milieu de Rémy Gomis qui profitait à El Arabi; le puissant avant-centre des « Lions » de l’Atlas envoyait un missile qui se logeait sous la barre de Bouna Coundoul (24e). Les Marocains auraient même pu marquer un troisième but sur cette action à la suite de laquelle Youssouf Hadji se jouait d’Armand Traoré (la seule satisfaction sénégalaise dans ce match) pour envoyer la balle qui percutait le poteau de Bouna Coundoul (45e+1).
A la reprise les sénégalais reviendront avec d’autres arguments, notamment une bonne occupation du terrain, mais cela ne suffisait pas pour ébranler l’arrière-garde marocaine. Les Marocains qui avaient bien pris la mesure de leurs adversaires, se contentaient de gérer une situation favorable aux Sénégalais mais qui ne trouvaient toujours pas le chemin des filets. Par exemple cette passe de Remi Gomis pour Moussa Sow qui déviait de la tête une balle qui trouvait le gardien marocain sur sa trajectoire (57e).
Ensuite cette remise de Papis Demba Cissé pour Moussa Sow encore et dont le tir passait au-dessus (63e) ; enfin un tir filandreux de Souleymane Camara (75e) qui était dévié de justesse en corner. Les « Lions » en voulaient, mais trouvaient en face des « Lions de l’Atlas » sûrs de leurs faits et qui auraient pu marquer un troisième but si le tir de Chinani Mouhamed n’avait pas été détourné en corner par Bouna Coundoul dans les arrêts de jeu (90e+5). Une belle leçon a ainsi été administrée aux « Lions ». Sera-t-elle retenue pour la prochaine sortie ?
 
le sélectionneur national voulait une opposition de taille, il a été bien servi par le Maroc qui lui a donné une véritable leçon de football pendant les 45 premières minutes avec à l’arrivée 2 buts de belle facture dans leur conception et dans leur finition. En fait, les attaques placées des Marocains tant redoutées par Amara Traoré lors de sa première conférence de presse lundi dernier ont fait leur effet. Les Sénégalais souffraient-ils de la chaleur ou le retour à la haute compétition avait-il rendu les jambes trop lourdes ? En tout cas dans ce match qui prépare la venue de la Rd Congo le 3 septembre, on a vu des « Lions » empruntés face à des « Lions de l’Atlas » bien en jambes et pleins de vivacité.
Le match a été résumé à moitié et dans les 25 premières minutes par d’abord le capitaine d’équipe Kharja Houssine qui concluait un beau mouvement d’ensemble par un tir lifté qui ne laissait aucune chance à Bouna Coundoul (10e). Les Marocains excellaient dans le travail d’approche avec une bonne monopolisation de la balle contrairement aux sénégalais qui semblaient manquer de rythme et de mobilité dans le jeu. Une situation qui emmenait le second but sur, cette fois-ci, une perte de balle au milieu de Rémy Gomis qui profitait à El Arabi; le puissant avant-centre des « Lions » de l’Atlas envoyait un missile qui se logeait sous la barre de Bouna Coundoul (24e). Les Marocains auraient même pu marquer un troisième but sur cette action à la suite de laquelle Youssouf Hadji se jouait d’Armand Traoré (la seule satisfaction sénégalaise dans ce match) pour envoyer la balle qui percutait le poteau de Bouna Coundoul (45e+1).
A la reprise les sénégalais reviendront avec d’autres arguments, notamment une bonne occupation du terrain, mais cela ne suffisait pas pour ébranler l’arrière-garde marocaine. Les Marocains qui avaient bien pris la mesure de leurs adversaires, se contentaient de gérer une situation favorable aux Sénégalais mais qui ne trouvaient toujours pas le chemin des filets. Par exemple cette passe de Remi Gomis pour Moussa Sow qui déviait de la tête une balle qui trouvait le gardien marocain sur sa trajectoire (57e).
Ensuite cette remise de Papis Demba Cissé pour Moussa Sow encore et dont le tir passait au-dessus (63e) ; enfin un tir filandreux de Souleymane Camara (75e) qui était dévié de justesse en corner. Les « Lions » en voulaient, mais trouvaient en face des « Lions de l’Atlas » sûrs de leurs faits et qui auraient pu marquer un troisième but si le tir de Chinani Mouhamed n’avait pas été détourné en corner par Bouna Coundoul dans les arrêts de jeu (90e+5). Une belle leçon a ainsi été administrée aux « Lions ». Sera-t-elle retenue pour la prochaine sortie ?

c'est la qu'on voit la différence de compétence entre les sélectionneurs étrangers et ceux d'Afrique

Gerets se régale face à la tactique proposé par le sélectionneur algérien et sénégalais, c'est un autre monde !

je comprends maintenant pourquoi Gerets est si confiant dans ses déclarations, avant je le trouvais arrogant mais maintenant je m'en rend compte qu'il y a un fossé entre les coach d'Afrique et ceux formés en Europe
 
c'est la qu'on voit la différence de compétence entre les sélectionneurs étrangers et ceux d'Afrique

Gerets se régale face à la tactique proposé par le sélectionneur algérien et sénégalais, c'est un autre monde !

je comprends maintenant pourquoi Gerets est si confiant dans ses déclarations, avant je le trouvais arrogant mais maintenant je m'en rend compte qu'il y a un fossé entre les coach d'Afrique et ceux formés en Europe
tu as raison d une partie mais tort de l autre car bcp d entraineurs nationaux surpassent de competence les etrangers, c est pas une regle generale
mais lors de ce match on a vu 4 ou 5 marocains au milieu contre 2 senegalais et au foot si tu controles le milieu tu gagnes , gerets joue sur ce registre
 
tu as raison d une partie mais tort de l autre car bcp d entraineurs nationaux surpassent de competence les etrangers, c est pas une regle generale
mais lors de ce match on a vu 4 ou 5 marocains au milieu contre 2 senegalais et au foot si tu controles le milieu tu gagnes , gerets joue sur ce registre


cite moi des noms de sélectionneur nationaux qui proposent une identité de jeu

à part Shehata, parce que même lui il le dit il bénéficie de longs regroupements avec ses joueurs puisqu'ils jouent dans le championnat egyptien

Gerets en si peu de temps commence à instaure un fond de jeu au Maroc
 
cite moi des noms de sélectionneur nationaux qui proposent une identité de jeu

à part Shehata, parce que même lui il le dit il bénéficie de longs regroupements avec ses joueurs puisqu'ils jouent dans le championnat egyptien

Gerets en si peu de temps commence à instaure un fond de jeu au Maroc
ne sois pas trop euphorique quant a gerets on n a encore rien réalisé et c est pas deux victoires consecutives qui vont rescusciter un football marocain moribond
zaki et ennaciri en 2004 ont bati une super equipe a partir de rien et les kharja youssef hajji chamakh et autres basser ont eté detectes par zaki et ennaciri donc le coach national n est pas tjrs mauvais
 
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