salam
Un temps pour méditer ! Cest ce que devrait traduire la célébration de la Journée nationale de la femme marocaine, le 10 octobre de chaque année. Cette date coïncide avec lannonce de la réforme du Code de la famille en 2003. Un tournant décisif dans lhistoire du pays. Depuis, beaucoup deau a coulé sous les ponts.
Dautres lois ont été promulguées notamment la nouvelle Constitution que tout le monde appelait de ses vux et qui prône légalité entre les sexes. Dans la même lignée, le gouvernement marocain a décidé de lever lensemble des réserves émises à la Convention sur lélimination de toutes les formes de discrimination à légard des femmes (CEDAW).
Une bouffée dair, en somme. Lensemble de ces réformes ont suscité une vague denthousiasme. Tout devrait aller donc pour le mieux dans le meilleur des mondes. Il nen est rien en fait. Sans verser dans le pessimisme et refuser de voir la moitié pleine du verre, force est de constater que les droits des femmes sont encore loin dêtre respectés.
Certes les lois sont là, mais elles peinent toujours à être appliquées. Le bilan est somme toute mitigé et tout un monde sépare la théorie de la réalité du terrain.
Deux présences, celle dun gouvernement qui essaie tant bien que mal de mener sa barque et celle de la société civile, des partis politiques voire des syndicats qui veillent à la bonne mise en uvre des diverses lois.
http://www.libe.ma/Journee-national...in-vers-l-egalite-est-encore-long_a31387.html
Un temps pour méditer ! Cest ce que devrait traduire la célébration de la Journée nationale de la femme marocaine, le 10 octobre de chaque année. Cette date coïncide avec lannonce de la réforme du Code de la famille en 2003. Un tournant décisif dans lhistoire du pays. Depuis, beaucoup deau a coulé sous les ponts.
Dautres lois ont été promulguées notamment la nouvelle Constitution que tout le monde appelait de ses vux et qui prône légalité entre les sexes. Dans la même lignée, le gouvernement marocain a décidé de lever lensemble des réserves émises à la Convention sur lélimination de toutes les formes de discrimination à légard des femmes (CEDAW).
Une bouffée dair, en somme. Lensemble de ces réformes ont suscité une vague denthousiasme. Tout devrait aller donc pour le mieux dans le meilleur des mondes. Il nen est rien en fait. Sans verser dans le pessimisme et refuser de voir la moitié pleine du verre, force est de constater que les droits des femmes sont encore loin dêtre respectés.
Certes les lois sont là, mais elles peinent toujours à être appliquées. Le bilan est somme toute mitigé et tout un monde sépare la théorie de la réalité du terrain.
Deux présences, celle dun gouvernement qui essaie tant bien que mal de mener sa barque et celle de la société civile, des partis politiques voire des syndicats qui veillent à la bonne mise en uvre des diverses lois.
http://www.libe.ma/Journee-national...in-vers-l-egalite-est-encore-long_a31387.html