Et non ce n'est en aucun cas les forces de l'ordre ou les autorités qui sont devant le juges... mais les ceux qui ceux qui se sont fait massacrés!
Sidi Ifni : chronique dune répression dEtat
En solidarité avec Brahim Bara, Hassan Agharbi, Mohamed Ouahadani, Khadija Ziane et tous les acteurs du mouvement social de Sidi Ifni.
Scandale sur la web sphère. Ce douze février, souvre au Maroc, lun des procès les plus kafkaïens de ces dernières années. Des chômeurs de la ville portuaire de Sidi Ifni, qui manifestèrent lan dernier, contre la pauvreté et la misère imposées par le régime en place, furent sévèrement réprimés par les forces de lordre. De nombreuses exactions commises par les soldats de Sa Majesté, ont été relevées par les associations de défense des droits de lhomme telles que lAssociation marocaine des droits humains (AMDH) ou Attac Maroc.
« Jeudi prochain, le 12 février, souvre devant le Tribunal dAgadir le procès de Brahim Bara, Hassan Agharbi, Mohamed Ouahadani, Khadija Ziane et dix-huit autres militants du mouvement social de Sidi Ifni, une petite ville de 20 000 habitants au sud du Maroc, sur la côte Atlantique. Douze dentre eux attendent ce procès depuis plus de six mois dans la prison surpeuplée dInezgane tandis que dix autres sont en liberté provisoire.
La situation à Ifni et cet invraisemblable procès illustrent une nouvelle fois jusquà la caricature la manière très particulière quont les autorités marocaines de répondre au profond malaise de populations marginalisées depuis des décennies et qui, en désespoir de cause et devant des promesses jamais tenues, ont fini, en mai dernier, par bloquer laccès du port pour exiger lexamen de leurs revendications et propositions. » (source Bakchich.info).
Rappelons ce quil sest passé, ce jour là, ou la chronique trop habituelle dune répression mahzénienne, dans la plus pure tradition du despotisme détat.
Le week-end du 7 juin 2008, « la ville portuaire de Sidi Ifni, au Maroc, a été le terrain daffrontements entre les forces de lordre et des chômeurs. Là où les autorités parlent dune escarmouche, les internautes décrivent une véritable émeute suivie dune répression violente.
suite et fin : http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=51540
Sidi Ifni : chronique dune répression dEtat
En solidarité avec Brahim Bara, Hassan Agharbi, Mohamed Ouahadani, Khadija Ziane et tous les acteurs du mouvement social de Sidi Ifni.
Scandale sur la web sphère. Ce douze février, souvre au Maroc, lun des procès les plus kafkaïens de ces dernières années. Des chômeurs de la ville portuaire de Sidi Ifni, qui manifestèrent lan dernier, contre la pauvreté et la misère imposées par le régime en place, furent sévèrement réprimés par les forces de lordre. De nombreuses exactions commises par les soldats de Sa Majesté, ont été relevées par les associations de défense des droits de lhomme telles que lAssociation marocaine des droits humains (AMDH) ou Attac Maroc.
« Jeudi prochain, le 12 février, souvre devant le Tribunal dAgadir le procès de Brahim Bara, Hassan Agharbi, Mohamed Ouahadani, Khadija Ziane et dix-huit autres militants du mouvement social de Sidi Ifni, une petite ville de 20 000 habitants au sud du Maroc, sur la côte Atlantique. Douze dentre eux attendent ce procès depuis plus de six mois dans la prison surpeuplée dInezgane tandis que dix autres sont en liberté provisoire.
La situation à Ifni et cet invraisemblable procès illustrent une nouvelle fois jusquà la caricature la manière très particulière quont les autorités marocaines de répondre au profond malaise de populations marginalisées depuis des décennies et qui, en désespoir de cause et devant des promesses jamais tenues, ont fini, en mai dernier, par bloquer laccès du port pour exiger lexamen de leurs revendications et propositions. » (source Bakchich.info).
Rappelons ce quil sest passé, ce jour là, ou la chronique trop habituelle dune répression mahzénienne, dans la plus pure tradition du despotisme détat.
Le week-end du 7 juin 2008, « la ville portuaire de Sidi Ifni, au Maroc, a été le terrain daffrontements entre les forces de lordre et des chômeurs. Là où les autorités parlent dune escarmouche, les internautes décrivent une véritable émeute suivie dune répression violente.
suite et fin : http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=51540