La justice referme le dossier ali ziri

Ahava

Bénis soient ceux qui doutent !
VIB
Une vingtaine d'hématomes, dont certains de 17 cm. C'est ce que la plus haute juridiction française, la Cour de Cassation considère comme le résultat de "manoeuvres de contention nécessaires" . L'homme sur qui ces hématomes ont été constatés avait 69 ans, il s'appelait Ali Ziri. Tombé dans le coma en garde à vue , il est décédé le 9 mars 2009 à l'hôpital d'Argenteuil.

La Cour de cassation a refermé définitivement, mardi 16 février, l’enquête sur Ali Ziri, un retraité algérien de 69 ans, mort le 9 juin 2009 après un contrôle policier àArgenteuil (Val-d’Oise). La haute juridiction a rejeté le pourvoi contre l’arrêt de la cour d’appel de Rennes qui avait confirmé, en 2014, le non-lieu prononcé par les juges d’instruction, a révélé Mediapart, mercredi 17 février.

Ali Ziri, un « chibani » arrivé en France dans les années 1950, avait été interpellé avec un ami, Arezki Kerfali, 60 ans, à bord d’un véhicule que ce dernier conduisait. Fortement alcoolisés, les deux hommes avaient été transportés au commissariat d’Argenteuil et placés en garde à vue. Tombé dans le coma, le retraité était mort deux jours plus tard à l’hôpital d’Argenteuil.

http://www.lemonde.fr/police-justic...-suite-d-une-garde-a-vue_4867298_1653578.html

Allah y rahmou
 

nwidiya

Moulate Chagma Lmech9o9a 🤣
Super Modératrice
Une vingtaine d'hématomes, dont certains de 17 cm. C'est ce que la plus haute juridiction française, la Cour de Cassation considère comme le résultat de "manoeuvres de contention nécessaires" . L'homme sur qui ces hématomes ont été constatés avait 69 ans, il s'appelait Ali Ziri. Tombé dans le coma en garde à vue , il est décédé le 9 mars 2009 à l'hôpital d'Argenteuil.

La Cour de cassation a refermé définitivement, mardi 16 février, l’enquête sur Ali Ziri, un retraité algérien de 69 ans, mort le 9 juin 2009 après un contrôle policier àArgenteuil (Val-d’Oise). La haute juridiction a rejeté le pourvoi contre l’arrêt de la cour d’appel de Rennes qui avait confirmé, en 2014, le non-lieu prononcé par les juges d’instruction, a révélé Mediapart, mercredi 17 février.

Ali Ziri, un « chibani » arrivé en France dans les années 1950, avait été interpellé avec un ami, Arezki Kerfali, 60 ans, à bord d’un véhicule que ce dernier conduisait. Fortement alcoolisés, les deux hommes avaient été transportés au commissariat d’Argenteuil et placés en garde à vue. Tombé dans le coma, le retraité était mort deux jours plus tard à l’hôpital d’Argenteuil.

http://www.lemonde.fr/police-justic...-suite-d-une-garde-a-vue_4867298_1653578.html

Allah y rahmou
La justice française :cool:
 
C'est bizarre cette justice.

Un petit exemple :

On a un candidat à la présidentielle, un certain François F... qui déclamait, il y a peu, qu'il avait toute confiance, qu'elle agisse rapidement, etc...

Et d'un coup, il a dit que c'était bizarre et suspect que la justice agisse si rapidement, qu'elle était aux ordres d'officines, etc....

C'est curieux, tout de même, qu'un candidat qui a été aux manettes comme premier ministre ne sache pas si la justice est aux ordres du pouvoir ou pas.
 
Une vingtaine d'hématomes, dont certains de 17 cm. C'est ce que la plus haute juridiction française, la Cour de Cassation considère comme le résultat de "manoeuvres de contention nécessaires" . L'homme sur qui ces hématomes ont été constatés avait 69 ans, il s'appelait Ali Ziri. Tombé dans le coma en garde à vue , il est décédé le 9 mars 2009 à l'hôpital d'Argenteuil.

La Cour de cassation a refermé définitivement, mardi 16 février, l’enquête sur Ali Ziri, un retraité algérien de 69 ans, mort le 9 juin 2009 après un contrôle policier àArgenteuil (Val-d’Oise). La haute juridiction a rejeté le pourvoi contre l’arrêt de la cour d’appel de Rennes qui avait confirmé, en 2014, le non-lieu prononcé par les juges d’instruction, a révélé Mediapart, mercredi 17 février.

Ali Ziri, un « chibani » arrivé en France dans les années 1950, avait été interpellé avec un ami, Arezki Kerfali, 60 ans, à bord d’un véhicule que ce dernier conduisait. Fortement alcoolisés, les deux hommes avaient été transportés au commissariat d’Argenteuil et placés en garde à vue. Tombé dans le coma, le retraité était mort deux jours plus tard à l’hôpital d’Argenteuil.

http://www.lemonde.fr/police-justic...-suite-d-une-garde-a-vue_4867298_1653578.html

Allah y rahmou
C'était Michèle Alliot-Marie qui était à l'intérieur elle qui voulait mater le peuple tunisien qui se battait contre le dictateur
ben ali soutenu en France depuis des décenneis et caché en Arabie et c'était
sous sarko avec sa bande contre le peuple libyen et l'affaire de Toulouse et de Montauban .Il a cru pouvoir en 2012 se faire
élire comme en 2007 en surfant sur l'immigration . Les émeutes de 2005 n'étaient pas loin .
Justice à 2 vitesses mais rien est oublié .
Ou sont passées les soi disant assos ? Que de l'arnaque et de la collaboration moyennant des pots de vin .
J'en sais quelque chose sur la "justice" en France sauf que mes ennemis me connaissent et ils "connaissent" l'Autre
qui Lui est le vrai patron . Beaucoup de choses ont avancé depuis 2001 . Quelques personnes peuvent faire avancer
des choses .
 
La justice française ayant clôturé l'affaire , la famille peut -elle faire appel auprès des institutions européennes ?

D'autre part, le chibani , Algérien, nous pouvons attendre à une aide multilatérale de la part des autorités algériennes.

L'affaire est limpide , la victime est décédée des suites des violences de la police; Les deux autopsies bien interprétées sont pour le confirmer.

La première favorable à la police avait retenu une affection cardiaque , une cardiomyopathie à l'origine de l'arrêt cardiaque. L'arabe serait mort d'une maladie . Des gros mots pour influencer un jury dans un prétoire acquis à la police En admettant la cardiomyopathie , le diagnostic n'est pas uniquement visuel ; macroscopique , mais microscopiques - le premier légiste est tenu de fournir les résultats des coupes histologiques du coeur .La famille ne connait pas de maladie cardiaque à son défunt . Le second expert à son tour ignore cette affection .

SI nous retenons l'atteinte cardiaque comme pathologie sous jacente , la défaillance cardiaque est survenue au sein d'autres lâchages d'organes rein , foi sous la violence policière ,en particulier la flexion prolongée du tronc sur les genoux . Cette position comprime tous les vaisseaux thoraco abdominaux et aux niveau des genoux les plicaturent offrant ainsi une forte résistance au flux ejecté par le sang qui aura tendance a stagner engorger le coeur et nuire à son fonctionnement.
Le ventre comprimé avec la tête penchée en avant voit le contenu de l'estomac refluer dans l'oesophag . Selon la quantité du bol alimentaire le sujet fera une fausse fausse route minime ou une inondation bronchique gravissime asphyxique.

La seconde nécropsie plus juste, donne pour cause du décès une asphyxie d'origine mutifactorielles

La victime transportée à l'hôpital dans le coma- une défaillance générale multi organique qui lui a été fatale . Le deuxième légiste qui incrimine la police , m'amène à mon à évoquer la question de la prise en soins du blessé. Comateux , choqué et battu, il aurait du être admis dans un service de réanimation et exploré sous tous les angles. Pour vérifier les organes vitaux qui peuvent être choqués dans son cas. Coeur , poumons, reins , foi. Les examens entrepris pendant les deux jours de réanimation et les syndromes combattus peuvent influer le 3 juge. Le bilan des 2 jours de la réanimation a du servir aux conclusions du second expert. Si ce dernier ne s'en est tenu qu'à une seconde macropsie , seconde ouverture du cours pour écrire ses conclusions , l'expertise est insuffisante . Parole d'expert contre un autre , la justice s'en est tenu aux conclusion du premier .

C'est dire que si un renvoi devant, la Cour Européenne est justifié , une troisième expertise confirmera la mort secondaire aux violences subies . L'étude du dossier médical des soins dispensés est capitale.
Le chibani violenté nous pouvons apprendre qu'en outre il n'a pas bénéficié des soins adéquats. Voire laissé dans sur un chariot dans le couloir des urgences , le temps de trépasser.
 

Ahava

Bénis soient ceux qui doutent !
VIB
Argenteuil : un dernier espoir pour la famille d’Ali Ziri

Après six années de procédure, la Cour de cassation a validé il y a un an le non-lieu prononcé par la cour d’appel de Rennes en décembre 2014 à l’encontre des policiers mis en cause. Mais l’affaire pourrait désormais rebondir devant la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH). C’est en tout cas l’espoir de Stéphane Maugendre, l’avocat de la famille, qui a saisi la juridiction à l’été 2016, considérant que « l’Etat français n’a pas instruit correctement le dossier ». « La CEDH a transmis la requête à l’Etat français qui vient de répondre ne pas être favorable à un règlement amiable de cette affaire, explique le conseil. Je dois désormais transmettre mes observations. On devrait être convoqué pour une audience. »

Et l’avocat d’énumérer, selon lui, les manquements dans l’instruction. « J’avais demandé que les juges entendent eux-mêmes les policiers, qu’une reconstitution en présence des experts et des policiers ait lieu et que la bande-vidéo de l’arrivée au commissariat soit visionnée. Rien n’a été fait. La France a déjà été condamnée pour mauvaise instruction dans une affaire similaire. » Stéphane Maugendre espère ainsi que la cour s’appuiera « sur l’avis du dernier expert ». « Il avait déclaré qu’Ali Ziri était décédé suite à un arrêt cardiaque dû à un phénomène d’asphyxie causé par la technique du pliage (NDLR : qui consiste à faire pression sur le haut des cuisses afin que la tête soit sur les genoux) pratiquée par les policiers, rappelle-t-il. La cour exige une instruction impeccable lorsqu’une personne décède alors qu’il est entre les mains de la police. »

http://www.leparisien.fr/argenteuil...-la-famille-d-ali-ziri-22-02-2017-6702444.php
 
. « Il avait déclaré qu’Ali Ziri était décédé suite à un arrêt cardiaque dû à un phénomène d’asphyxie causé par la technique du pliage (NDLR : qui consiste à faire pression sur le haut des cuisses afin que la tête soit sur les genoux) pratiquée par les policiers, rappelle-t-il. La cour exige une instruction impeccable lorsqu’une personne décède alors qu’il est entre les mains de la police. »

http://www.leparisien.fr/argenteuil...-la-famille-d-ali-ziri-22-02-2017-6702444.php


La technique du pliage consiste , à maintenir le sujet assis , le corps "plié" la tête en avant; le thorax le plus près des genoux. Les policiers dans les cas qui ont causé la mort, ont selon les affaires , exercé en plus pendant longtemps une force pour maintenir leur victime dans cette position , voire recouvert d'une couverte tout en l'écrasant.

Ce qui est rapporté dans le post, repris d'un article de presse n'a pas de sens physiologique . En appuyant sur le haut des cuisses on ne provoque pas un réflexe de pliage. La pression des cuisses se réalise lorsque un sujet assis , le policier pour le plier , se place derrière lui . Il prend appui latéralement sur ses cuisses et fléchissant son corps thorax contre dos du prisonnier il appuie de toute ses forces et de son poids , alors que des collègues accompagnent le mouvement en appliquant leur mains sur la nuque de leur victime.
 
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