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Actualités marocaines
La faillite de l'enseignement public
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[QUOTE="mamalich, post: 10717919, member: 335669"] wakha a sidi. je n'ai pas été complètement hors sujet car il s'agit bien de discuter de "la faillite de l'enseignement public" et pas seulement de la proposition du ministre, meme si je le reconnais le passage que j'ai cite de toi concernait cette dernière. Pour moi, la base de l'enseignement public est bien les premieres 12 années. Les consequences de la faillite de cette phase, nous les vivons en ce moment : une catastrophe nationale de manque d'éducation (pas seulement académique) et ce qui s'en suit en calamités !!!!! L'enseignement superieur quant a lui, bien que primordial, il ne sert qu'a définir les compétences. Sa faillite produit des chômeurs, des formations inadéquates, des ressources gaspillées...etc. En gros, un manque a gagner pour la productivite (economique, scientifique et culturelle) de la société. Vouloir le reformer est une necessite bien évidement, mais je ne pense pas que l'on doit voir l'un sans l'autre, bien que leurs problemes soient diametralement opposes. Si l'on parle de la faillite de l'enseignement superieur au maroc, on se doit bien de preciser que c'est des facultés que l'on parle et non pas des grandes ecoles d'ingénieurs et les bonnes ecoles de commerce qui font honneur de très bons eleves. La proposition du ministre dans ce sens est completement inadéquate parce qu'elle vise la seul issue "actuelle" pour les marocains, toute categories sociales confondues, d'avoir une bonne éducation. En augmentant les frais de scolarité, on freine un élan bien lancee de la couche moyenne a accéder a des poste qui pas tres longtemps deja etaient reserves a notre valeureuse aristocratie. Sans vouloir douter de la parole du ministre, je ne crois pas une seconde a l'idee de "seulement les riches vont payer", car traditionnellement, ce sont justement les riches qui ne payent jamais au maroc. Les incubateurs a chaumeurs par contre (les universites pour qui ont pas captes) devrait etre le seul point focal de toute idée réformatrice. et la encore, je ne pense pas que l'argent serait garant d'une meilleure qualité d'enseignement dans les universités car dans ma petite tete (de personne qui n'a jamais ete a l'universite), ces endroits ne sont que la prolongation du système des 12 premieres annees, avec tous les problemes que j'ai cite avant, mais avec une nouvelle composante en plus, une masse estudiantise démotivée ou l'etablissement scolaire n'est autre qu'un passe-temps purgatoire en attendant de rejoindre les camarades au chômage. j'avais promis que ca n'allait pas etre que du négatif, mais bon, je garde mes etoiles aux ecoles d'ingenieurs et commerce qui n'ont pas attendu les eternels projet ministeriaux pour trouver la formule adequante pour une bon enseignement supérieur. [/QUOTE]
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