Le couple c'est le partage, tu devrais l'aider
je suis macho ma place c'est sur le canapé et j'attends qu'elle me sert
La femme et le café
- Initiateur de la discussion fleurisse
- Date de début
je suis macho ma place c'est sur le canapé et j'attends qu'elle me sert
ben oui!J'y pensais mais tel que je le connais il va lui acheter comme cadeau pour son anniversaire, donc bon j'ai voulu être sympa avec sunjii, kingjulian doit prendre certaines responsabilités dans les taches ménagères
c'est pas à la femme de tout faire!! non mais
je suis macho ma place c'est sur le canapé et j'attends qu'elle me sert
Je comprend votre dispute, attention tu vas te faire larguer
Je comprend votre dispute, attention tu vas te faire larguer
ba écoute tan mieux alors !
c'était ma chaussette et maintenant elle est troué donc ......
ba écoute tan mieux alors !
c'était ma chaussette et maintenant elle est troué donc ......
ba écoute tan mieux alors !
c'était ma chaussette et maintenant elle est troué donc ......
Si il voit ces messages, je suis pressée de voir sa revanche, surtout qu'il en a du caractère
bonne nuit à tous
donc elle boude
Bah pas en MP, ici sur ce post pour nous faire partager
les moderateurs nous disent en mp
mais moi ça ne me dérange pas en publique
Non non ils ont raison et je riais, nan franchement des excuses et le tour est joué. surtout que je n'ai jamais vu des disputes entre mecs, en général vous passez au dessus des problèmes et vous prenez pas la tête
pas pour tout le monde apparemment
c'est marrant
une femme c'est comme un ascenseur, tu mets ton doigt ou t'habites.et ça tu en pense quoi ?
Quel est le point commun entre une femme et une chaussette. Une fois qu'elle est trouée on la jette.
"Les femmes sont comme des miroirs, elles réfléchissent mais ne pensent pas. "
ah bon ?
"La femme est, selon la Bible, la dernière chose que Dieu a faite. Il a du la faire le Samedi soir. On sent la fatigue."
Alexandre Dumas fils
Quelle est la différence entre un homme et un sapin ?
Le sapin est un connifère et l'homme il est *** et on peut rien y faire.
Le sapin est un connifère et l'homme il est *** et on peut rien y faire.
Quelle est la différence entre une maghrébine et une otarie : L'une a de la moustache, le ventre graisseux et sent terriblement le poisson et l'autre est un mammifère marin.
Wa selam
Le café
Il est une liqueur, au poëte plus chère,
Qui manquait à Virgile, et qu'adorait Voltaire ;
C'est toi, divin café, dont l'aimable liqueur
Sans altérer la tête épanouit le coeur.
Aussi, quand mon palais est émoussé par l'âge,
Avec plaisir encor je goûte ton breuvage.
Que j'aime à préparer ton nectar précieux !
Nul n'usurpe chez moi ce soin délicieux.
Sur le réchaud brûlant moi seul tournant ta graine,
A l'or de ta couleur fais succéder l'ébène ;
Moi seul contre la noix, qu'arment ses dents de fer,
Je fais, en le broyant, crier ton fruit amer,
Charmé de ton parfum, c'est moi seul qui dans l'onde
Infuse à mon foyer ta poussière féconde ;
Qui, tour à tour calmant, excitant tes bouillons,
Suis d'un oeil attentif tes légers tourbillons.
Enfin, de ta liqueur lentement reposée,
Dans le vase fumant la lie est déposée ;
Ma coupe, ton nectar, le miel américain,
Que du suc des roseaux exprima l'Africain,
Tout est prêt : du Japon l'émail reçoit tes ondes,
Et seul tu réunis les tributs des deux mondes.
Viens donc, divin nectar, viens donc, inspire-moi.
Je ne veux qu'un désert, mon Antigone et toi.
A peine j'ai senti ta vapeur odorante,
Soudain de ton climat la chaleur pénétrante
Réveille tous mes sens ; sans trouble, sans chaos,
Mes pensers plus nombreux accourent à grands flots.
Mon idée était triste, aride, dépouillée ;
Elle rit, elle sort richement habillée,
Et je crois, du génie éprouvant le réveil,
Boire dans chaque goutte un rayon du soleil
Jacques Delille
Le café
Il est une liqueur, au poëte plus chère,
Qui manquait à Virgile, et qu'adorait Voltaire ;
C'est toi, divin café, dont l'aimable liqueur
Sans altérer la tête épanouit le coeur.
Aussi, quand mon palais est émoussé par l'âge,
Avec plaisir encor je goûte ton breuvage.
Que j'aime à préparer ton nectar précieux !
Nul n'usurpe chez moi ce soin délicieux.
Sur le réchaud brûlant moi seul tournant ta graine,
A l'or de ta couleur fais succéder l'ébène ;
Moi seul contre la noix, qu'arment ses dents de fer,
Je fais, en le broyant, crier ton fruit amer,
Charmé de ton parfum, c'est moi seul qui dans l'onde
Infuse à mon foyer ta poussière féconde ;
Qui, tour à tour calmant, excitant tes bouillons,
Suis d'un oeil attentif tes légers tourbillons.
Enfin, de ta liqueur lentement reposée,
Dans le vase fumant la lie est déposée ;
Ma coupe, ton nectar, le miel américain,
Que du suc des roseaux exprima l'Africain,
Tout est prêt : du Japon l'émail reçoit tes ondes,
Et seul tu réunis les tributs des deux mondes.
Viens donc, divin nectar, viens donc, inspire-moi.
Je ne veux qu'un désert, mon Antigone et toi.
A peine j'ai senti ta vapeur odorante,
Soudain de ton climat la chaleur pénétrante
Réveille tous mes sens ; sans trouble, sans chaos,
Mes pensers plus nombreux accourent à grands flots.
Mon idée était triste, aride, dépouillée ;
Elle rit, elle sort richement habillée,
Et je crois, du génie éprouvant le réveil,
Boire dans chaque goutte un rayon du soleil
Jacques Delille
R
Rorschach
Non connecté
J'en dis que le café on en a tant qu'on veux, et il se laisse boire sans protester.
Pour la femme, c'est autre chose...