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La France remporte le bras de fer contre lAlgérie
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[QUOTE="Angad1, post: 8974841, member: 245611"] Lehwa f tiyo, gallek nif...Chekam yeg3ed refad del ou Lbayd :D Les mémoires africaines de Jacques Chirac L’ancien président français tire à boulets rouges sur Gbagbo, salue Bouteflika et encense Mandela. Il revient sur les attentats de 1995 en France. Mais il «oublie» Wade et Ouattara, et passe sous silence le soutien donné jusqu’au bout à Mobutu. Bouteflika «habile et pragmatique» Si la crise ivoirienne fut douloureuse pour Chirac, il consacre six pages très positives à l’Algérie d’Abdelaziz Bouteflika, dont «l’œuvre de concorde civile» a été «salutaire» après une longue guerre civile (1991-2002). «Charmeur, habile et pragmatique», Bouteflika, élu en 1999, était selon lui «porteur d’un souffle nouveau pour l’Algérie et d’une plus grande exigence démocratique». «L’Algérie avait rarement connu dirigeant aussi ouvert et désireux de bien faire» et «nous nous sommes spontanément très bien entendus». Chirac effectue en mars 2003 la première visite d’Etat d’un président français en Algérie depuis l’indépendance. Il décrit longuement l’accueil reçu par «près d’un million de personnes» à Alger venus scander son «nom avec une ferveur et un enthousiasme bouleversants». Mais le traité d’amitié entre les deux pays ne sera pas signé. Alger exige que Paris reconnaisse sa culpabilité durant la période coloniale. Chirac ne l’a «naturellement pas accepté». Tout comme, il n’est pas «davantage question de célébrer le bilan positif» de l’héritage colonial. L’ex-président français reste pourtant philosophe: «l’amitié franco-algérienne se passerait donc de traité. Ce qui est peut-être pour elle la meilleure façon de se poursuivre». Les attentats de juillet 1995 en plein cœur de Paris sont considérés comme les premières attaques islamistes dans l’hexagone. Ils sont attribués au groupe algérien GIA. L’ex-président revient sur ces douloureux événements, qui ont marqué le début de son septennat: «bien qu’ils fussent revendiqués par les groupes islamistes, l’implication de la Sécurité militaire algérienne était aussi parfois évoquée. […] Alger, qui accusait Paris d’ingérence quand nous appelions son régime à plus de démocratie, s’irritait dans le même temps de notre refus de prendre parti dans la tragédie qui se jouait sur son sol», rappelle-t-il. Quelques jours plus tôt, le 11 juillet 1995, le Cheikh Sahraoui, cofondateur du Front islamique du salut (FIS), était assassiné à Paris. Chirac souligne que les «véritables commanditaires» ne sont pas identifiés. Est-ce l’«œuvre du GIA»? «Ou celle de la Sécurité militaire [algérienne], à l’heure où les tentatives de reprise du dialogue entre le FIS et le gouvernement sont loin de faire l’unanimité dans les rangs de l’armée algérienne? La première piste paraît la plus probable», écrit l’ancien chef de l’Etat français. Avant de poursuivre: «Mais il est difficile d’évacuer la seconde, dans la mesure où les groupes armés sont souvent infiltrés et manipulés par cette même Sécurité militaire afin de discréditer les islamistes aux yeux de la population et de la communauté internationale». [/QUOTE]
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