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La Mère des croyants 'Aishâ
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[QUOTE="albahar, post: 7028889, member: 218965"] 24:13: Pourquoi n'ont-ils pas produit [à l'appui de leurs accusations] quatre témoins? S'ils ne produisent pas de témoins, alors ce sont eux, auprès d'Allah, les menteurs. tafsir : Pourquoi [les auteurs de la calomnie] n'avaient-ils pas amené quatre témoins. Ils n'ont pas produit ces quatre témoins, parce que ce sont des menteurs d'après le jugement de Dieu.(1) (1) 'Aicha -que Dieu l'agrée- a rapporté: Quand le Messager de Dieu (Que Dieu lui accorde Sa grâce et Sa paix) voulait partir en expédition, il procédait au tirage au sort entre ses femmes, et celle dont le sort désignait, l'accompagnait. Dans une de ses expéditions il fit un tirage au sort et c'était moi qui devais partir avec lui. Je partis donc avec lui après que le verset relatif au voile eut été révélé, et on me fit installer dans un palanquin. Une fois l'expédition terminée, nous retournâmes et nous fûmes près de Médine. La nuit, le Messager de Dieu (Que Dieu lui accorde Sa grâce et Sa paix) ordonna de nous mettre en route. Après que cet ordre fut donné, je me levai pour aller satisfaire un besoin en dépassant le lieu de campement. En retournant, je m'aperçus que mon collier de verroteries fait à Azfar (au Yemen) fut détaché. Je rebroussai chemin vers le lieu où j'étais afin de le rechercher et je fus retenue sur place pour le retrouver. Les hommes qui étaient chargés de ma monture portèrent le palanquin et le mirent sur le chameau croyant que j'étais dedans. A savoir que les femmes à cette époque étaient légères et loin de l'obésité, car elles se contentaient de peu de nourriture. Les hommes, en soulevant le palanquin, ne firent point attention à sa légèreté. J'étais, à cette époque, une femme très jeune; ils firent lever le chameau et partirent, et, à mon retour, je trouvai mon collier, qui était sous l'animal, alors que l'armée avait déjà quitté le camp. Quand je trouvai mon collier, en revenant au lieu de campement, il n'y avait personne, alors je décidai de rester là où j'étais croyant que, quand ils s'apercevront de mon absence, ils reviendront sûrement me chercher. Etant ainsi, le sommeil me gagna. Çafwan Ben Al-Mou'attal, qui occupait l'arrière de la troupe, arriva à l'endroit où je me trouvais et vit une silhouette d'une personne endormie. Il me reconnut car il m'avait déjà vue avant que le verset du voile fut révélé. Je m'éveillai en l'entendant dire: «Nous sommes à Dieu et c'est vers Lui que nous retournerons». Alors je me calfeutrai de mon manteau en couvrant le visage. Par Dieu, il ne m'adressa aucune parole et je n'entendis de lui que celle qu'il venait de dire. Il fit agenouiller sa monture pour me porter sur elle, nous nous mîmes en route en la conduisant jusqu'à ce que nous atteignîmes la troupe qui faisait la sieste au moment de la canicule du midi. C'était Abdullah Ben Oubay Ben Saloul qui avait répandu la calomnie. Nous arrivâmes à Médine et je tombai malade pendant un mois. Les gens à ce moment parlèrent longuement de cette calomnie sans que je m'en aperçoive. Une fois presque guérie, je sortis avec Oum Mistah à notre lieu d'aisance à «Al-Manaçé». Oum Mistah fit un faux pas en marchant sur le pan de son vêtement, et dit: «Malheur à Mistah». Je lui répondis: «Tuas mal dit en injuriant un homme qui a assisté à la bataille de Badr. -O ma chère, répliqua-t-elle, n'es-tu pas au courant de ce qu'il a raconté? -Qu-est-ce qu'il raconté? demandai-je.» Elle me rapporta alors ce que les gens disent, et ma maladie s'aggrava. Quand le Messager de Dieu (Que Dieu lui accorde Sa grâce et Sa paix) rentra chez moi, je lui dis: «Permets-moi d'aller chez mes parents», voulant par cette demande entendre de leurs bouches ce que les gens racontent. Il m'accorda cette autorisation. En arrivant chez mes parents, je dis à ma mère: «Mère, que racontent les gens? -O ma fille, répondit-elle, ne donne pas trop d'importance à leurs propos. Par Dieu, il est rare à une femme quelconque, jolie, pure, aimée de son mari et ayant des co-épouses, sans qu'on lui lance pareilles invectives. -Gloire à Dieu! m'exclamai-je, les gens ont-ils donc eut de tels propos?» Et je passai toute la nuit à pleurer et sans goûter un moment de sommeil. Le lendemain matin, le Messager de Dieu (Que Dieu lui accorde Sa grâce et Sa paix) manda Ali Ben Abi Taleb et Oussama Ben Zayd, quand il s'aperçut que la révélation tardait à venir. Les consultant au sujet de notre séparation, Oussama, qui était au courant de l'affection pour ses femmes, lui répondit: «On ne connaît de tes femmes que du bien». Quant à 'Ali, il dit: «O Messager de Dieu, Dieu ne veut pas que tu sois peiné, il y a beaucoup d'autres femmes. Interroge la servante, elle te dira la vérité». [/QUOTE]
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