La presse française et le maroc, pourquoi ce désamour…

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France 24, Le Monde, FR3, sont des média français qui, visiblement, ne portent guère le Maroc officiel dans leurs cœurs.

La chaîne TV de news en continu, qui fait partie du dispositif d’informations officiel de la France et dont le financement est notamment assuré par le Quai d’Orsay, est très souvent sur une ligne éditoriale franchement hostile au Royaume.

Sa couverture de notre pays est la plupart du temps partiale et partielle, et ses interlocuteurs, lorsqu’une affaire marocaine y est évoquée, sont puisés dans le réservoir (bien mince) des opposants irréductibles, du genre Zakaria Moumni, Réda Benchemsi, le lieutenant défroqué Adib et autre Moulay Hicham…

Le quotidien Le Monde est, lui aussi, dans le camp des adversaires du Maroc et sa récente « mise en valeur » très ciblée des détenteurs marocains de comptes numérotés dans les livres de HSBC à Zurich en 2006-2007, suffit à le prouver amplement…

France 3, chaîne publique française, a également un historique chargé en matière de reportages hostiles aux causes nationales du Maroc. L’expulsion, le week-end dernier, par les autorités marocaines, de deux journalistes en « reportage clandestin » pour le compte de cette chaîne, en est une nouvelle confirmation.

Lorsque une partie de la presse marocaine, écrite ou électronique, évoque les parti-pris systématiques, de certains médias français contre le Royaume, sa classe politique, ses dirigeants, sa cause nationale ou ses actions les plus méritoires, certains les accusent de complotite aigüe.

Pourtant, pour les média cités plus haut, rien de ce qui se passe de positif dans notre pays ne trouve grâce à leurs yeux, visiblement chassieux…


Contre, résolument contre

S’il s’agit de commenter l’actualité dans notre pays, on sollicite systématiquement le témoignage d’un opposant, fut-il le moins crédible, le plus subjectif, le moins représentatif.

S’il s’agit de réaliser un reportage, on contacte exclusivement le quarteron de paléo-gauchistes nationaux qui végète sous des vieux posters de Marx, Engels, Lénine et Mao, et qui croit encore au « grand soir »…

S’il faut analyser les questions liées à la sécurité régionale ou à la préservation de notre unité nationale, alors ce sont les séides du F. Polisario et leurs porteurs de valises qui donnent le La.

Plusieurs grilles d’explications sont avancées pour analyser ce qui constitue une « tendance lourde » chez une partie de la presse hexagonale.

Pour les uns, « l’anti-marocanisme » primaire tire son origine de l’hostilité viscérale éprouvée par certains journalistes et rédacteurs en chef, envers la Monarchie.

Leur héritage jacobin inspire peut-être cette hostilité de principe, mais on remarquera, cependant, qu’ils la développent de façon modulable, réservant à la dynastie régnante marocaine des attaques qu’ils évitent de porter contre d’autres maisons royales, européennes notamment…

D’autres analystes croient que les lignes éditoriales contre le Maroc tirent leur inspiration de l’atavisme gauchiste fortement implanté dans certaines rédactions parisiennes.

C’est sans doute pour la nostalgie d’une gauche anti-impérialiste, anticolonialiste, forte et dynamique dans les dernières décennies du siècle passé en France, aux plus belles heures de la bipolarité Est-Ouest, que les héritiers des thuriféraires de la Tricontinentale préfèrent Alger à Rabat. Et ce, au mépris des réalités, de la vérité et, surtout, de l’honnêteté intellectuelle qui devrait, en principe, guider leur travail de professionnels de l’information.

Mais, comment savoir sur quel fondement théorique, sur quelles idées et quels engagements idéologiques s’appuyer pour expliquer de telles lignes éditoriales ?

Peu importe en vérité, seul le constat de cette désinformation systématique prime !

Cette évidence, d’ailleurs, en suscite immédiatement une seconde qui énonce que la dérive ainsi constatée survient très souvent au moment où les appareils d’Etats, les diplomaties, les responsables publics, en France comme au Maroc, cherchent à stabiliser, pérenniser, développer des partenariats multiformes et mutuellement avantageux.

Comme s’il fallait empêcher à tout prix que Rabat et Paris s’entendent, se comprennent, partagent leurs informations et projets, luttent de concert contre le terrorisme, etc.

In fine, on ne cherchera plus à comprendre pourquoi plusieurs organes d’information français sont ainsi d’une hostilité de principe, absconde et abstruse, envers le Maroc.

On en fera, une fois de plus, le constat et notre pays continuera sa route, royalement, selon le vieil adage de la caravane…


http://lnt.ma/blog/fahd-yata/presse-francaise-maroc-ce-desamour/
 
France 24, Le Monde, FR3, sont des média français qui, visiblement, ne portent guère le Maroc officiel dans leurs cœurs.

La chaîne TV de news en continu, qui fait partie du dispositif d’informations officiel de la France et dont le financement est notamment assuré par le Quai d’Orsay, est très souvent sur une ligne éditoriale franchement hostile au Royaume.

Sa couverture de notre pays est la plupart du temps partiale et partielle, et ses interlocuteurs, lorsqu’une affaire marocaine y est évoquée, sont puisés dans le réservoir (bien mince) des opposants irréductibles, du genre Zakaria Moumni, Réda Benchemsi, le lieutenant défroqué Adib et autre Moulay Hicham…

Le quotidien Le Monde est, lui aussi, dans le camp des adversaires du Maroc et sa récente « mise en valeur » très ciblée des détenteurs marocains de comptes numérotés dans les livres de HSBC à Zurich en 2006-2007, suffit à le prouver amplement…

France 3, chaîne publique française, a également un historique chargé en matière de reportages hostiles aux causes nationales du Maroc. L’expulsion, le week-end dernier, par les autorités marocaines, de deux journalistes en « reportage clandestin » pour le compte de cette chaîne, en est une nouvelle confirmation.

Lorsque une partie de la presse marocaine, écrite ou électronique, évoque les parti-pris systématiques, de certains médias français contre le Royaume, sa classe politique, ses dirigeants, sa cause nationale ou ses actions les plus méritoires, certains les accusent de complotite aigüe.

Pourtant, pour les média cités plus haut, rien de ce qui se passe de positif dans notre pays ne trouve grâce à leurs yeux, visiblement chassieux…


Contre, résolument contre

S’il s’agit de commenter l’actualité dans notre pays, on sollicite systématiquement le témoignage d’un opposant, fut-il le moins crédible, le plus subjectif, le moins représentatif.

S’il s’agit de réaliser un reportage, on contacte exclusivement le quarteron de paléo-gauchistes nationaux qui végète sous des vieux posters de Marx, Engels, Lénine et Mao, et qui croit encore au « grand soir »…

S’il faut analyser les questions liées à la sécurité régionale ou à la préservation de notre unité nationale, alors ce sont les séides du F. Polisario et leurs porteurs de valises qui donnent le La.

Plusieurs grilles d’explications sont avancées pour analyser ce qui constitue une « tendance lourde » chez une partie de la presse hexagonale.

Pour les uns, « l’anti-marocanisme » primaire tire son origine de l’hostilité viscérale éprouvée par certains journalistes et rédacteurs en chef, envers la Monarchie.

Leur héritage jacobin inspire peut-être cette hostilité de principe, mais on remarquera, cependant, qu’ils la développent de façon modulable, réservant à la dynastie régnante marocaine des attaques qu’ils évitent de porter contre d’autres maisons royales, européennes notamment…

D’autres analystes croient que les lignes éditoriales contre le Maroc tirent leur inspiration de l’atavisme gauchiste fortement implanté dans certaines rédactions parisiennes.

C’est sans doute pour la nostalgie d’une gauche anti-impérialiste, anticolonialiste, forte et dynamique dans les dernières décennies du siècle passé en France, aux plus belles heures de la bipolarité Est-Ouest, que les héritiers des thuriféraires de la Tricontinentale préfèrent Alger à Rabat. Et ce, au mépris des réalités, de la vérité et, surtout, de l’honnêteté intellectuelle qui devrait, en principe, guider leur travail de professionnels de l’information.

Mais, comment savoir sur quel fondement théorique, sur quelles idées et quels engagements idéologiques s’appuyer pour expliquer de telles lignes éditoriales ?

Peu importe en vérité, seul le constat de cette désinformation systématique prime !

Cette évidence, d’ailleurs, en suscite immédiatement une seconde qui énonce que la dérive ainsi constatée survient très souvent au moment où les appareils d’Etats, les diplomaties, les responsables publics, en France comme au Maroc, cherchent à stabiliser, pérenniser, développer des partenariats multiformes et mutuellement avantageux.

Comme s’il fallait empêcher à tout prix que Rabat et Paris s’entendent, se comprennent, partagent leurs informations et projets, luttent de concert contre le terrorisme, etc.

In fine, on ne cherchera plus à comprendre pourquoi plusieurs organes d’information français sont ainsi d’une hostilité de principe, absconde et abstruse, envers le Maroc.

On en fera, une fois de plus, le constat et notre pays continuera sa route, royalement, selon le vieil adage de la caravane…


http://lnt.ma/blog/fahd-yata/presse-francaise-maroc-ce-desamour/
On doit tirer une leçon véritable de tout celà :les gauchistes se montrent démocratiques ,mais ils ne le sont pas et ne le sont jamais car ils se basent sur le mensonge et la haine...
 
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