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La situation économique de l'algérie s'aggrave
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[QUOTE="krouk, post: 13645954, member: 374977"] Suite : ......... Une chute des cours qui s’est conjuguée à une baisse de 1,74% des volumes exportés, ce qui a induit une diminution des revenus à 58,34 milliards de dollars, avec une contraction de près de 24% au seul 4e trimestre. En parallèle, les importations ont continué à augmenter pour flirter avec les 60 milliards de dollars, il en résulte une très forte chute de l’excédent de la balance commerciale, lequel est passé de 9,73 milliards de dollars à 590 millions de dollars. Une situation aggravée par le déficit de la balance des services. Ainsi, la note de conjoncture évoque un déficit du poste «services hors revenus des facteurs» de 8,13 milliards de dollars, dû notamment à la hausse des importations de services techniques et ceux liés au bâtiment et aux travaux publics. Un facteur ayant principalement contribué au creusement de la balance des paiements extérieurs . S’efforçant de ménager la chèvre et le chou, Mohamed Laksaci a estimé que le niveau des réserves de change reste adéquat dans un contexte d’endettement externe historiquement bas, notamment le faible endettement du secteur des hydrocarbures et des banques qui contribue à atténuer l’effet du choc externe. Il avertit cependant que si le choc externe venait à perdurer, la résilience de l’Algérie risque de s’éroder. D’autant plus que le niveau des importations, estime encore M. Laksaci, «est non soutenable et constitue un risque additionnel pour la balance des paiements extérieurs sur le moyen terme». A ce titre, justement, le gouverneur de la Banque d’Algérie, qui a interpellé les banques sur le rôle à jouer afin de réduire la facture à l’import, a estimé que la mission de contrôle des changes en amont est déléguée à celles-ci. Cependant, au-delà de la mission de contrôle de la conformité des opérations de commerce extérieur à la réglementation, chacun à un rôle et une responsabilité afin d’endiguer la montée des importations. Et d’ajouter qu’il serait faux de ne pas admettre que l’expansion des crédits à l’économie a contribué à l’emballement des importations. Le crédit contribue à la hausse des importations M. Laksaci a, en ce sens, exhorté les banques à revoir leurs ratios en la matière pour donner plus de place au financement de l’entreprise et de l’investissement, ce que font déjà certaines, a-t-il déclaré. Aussi, au-delà de la problématique des importations, c’est la question des ressources des banques, appelées à contribuer au financement de projets d’équipement publics, qui risque de se poser. Si le gouverneur de la Banque d’Algérie a considéré que le marché est encore en situation de surliquidités bancaires, il a averti les banques que leurs ressources n’ont pas été encore affectées, grâce notamment à la hausse des dépôts à vue du secteur hydrocarbures. [/QUOTE]
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