Demandeur d’asile en Suisse, un clandestin marocain dont la demande a été déboutée, s’est vu expulser vers le Maroc par un moyen de transport inédit en Suisse : Le bateau.
En effet, le clandestin marocain qui avait été condamné à l’expulsion du territoire suisse vers son pays d’origine, le Maroc, avait réussi à prolonger son séjour en Suisse en prétextant qu’il refuse de voyager en avion, à cause d’une phobie.
Selon l’agence de presse ATS, citée par le site suisse 20minutes, les autorités suisses se retrouvant coincées par le refus deux fois, du requérant marocain de rentrer au royaume par avion, ont réussi finalement à trouver la parade pour déjouer son stratagème : Le renvoyer par bateau.
Or la Suisse pays enclavé n’ayant point d’ouverture maritime, a dû, rapporte la même source, faire appel à l’aide des autorités françaises et marocaines pour arriver à expulser le clandestin en question, qui risquait par son comportement de donner des idées aux autres clandestins en instance d’expulsion.
Ainsi, des policiers suisses ont été chargés d’accompagner le requérant marocain débouté jusqu'au Maroc, en passant par un port français, d’où ils ont pris un navire de ligne vers le Maroc.
Procédé couteux, ce type de renvoi pourrait se répéter à la demande, ont indiqué les autorités suisses, mais devraient rester l'exception.
Adam Sfali
La Suisse trouve la parade pour expulser un clandestin marocain qui 'n’aime pas les avions'
En effet, le clandestin marocain qui avait été condamné à l’expulsion du territoire suisse vers son pays d’origine, le Maroc, avait réussi à prolonger son séjour en Suisse en prétextant qu’il refuse de voyager en avion, à cause d’une phobie.
Selon l’agence de presse ATS, citée par le site suisse 20minutes, les autorités suisses se retrouvant coincées par le refus deux fois, du requérant marocain de rentrer au royaume par avion, ont réussi finalement à trouver la parade pour déjouer son stratagème : Le renvoyer par bateau.
Or la Suisse pays enclavé n’ayant point d’ouverture maritime, a dû, rapporte la même source, faire appel à l’aide des autorités françaises et marocaines pour arriver à expulser le clandestin en question, qui risquait par son comportement de donner des idées aux autres clandestins en instance d’expulsion.
Ainsi, des policiers suisses ont été chargés d’accompagner le requérant marocain débouté jusqu'au Maroc, en passant par un port français, d’où ils ont pris un navire de ligne vers le Maroc.
Procédé couteux, ce type de renvoi pourrait se répéter à la demande, ont indiqué les autorités suisses, mais devraient rester l'exception.
Adam Sfali
La Suisse trouve la parade pour expulser un clandestin marocain qui 'n’aime pas les avions'