La «veuve noire de l'isère» condamnée à 30 ans de prison

Tharbat

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- Manuela Gonzalez était poursuivie pour le meurtre de son mari, Daniel Cano, en 2008…
La plaidoirie de l’avocat de la défense, Ronald Gallo, n’y a rien fait. Au terme d’un procès de longue haleine, Manuela Gonzalez, dite «la veuve noire de l’Isère», a été condamnée vendredi à 30 ans de réclusion criminelle pour avoir tué son dernier mari, Daniel Cano, en 2008. Les jurés sont donc allés au-delà de ce que demandait l’avocat général, Pierre-Marie Cuny, qui a requis 25 ans de prison, au regard notamment du passé de l’accusée: «Il y a contre elle, si ce n’est des preuves évidentes, un faisceau d’éléments, un enchaînement de faits, de constatations, qui me permettent de vous demander une décision de culpabilité», a-t-il lancé à l’assemblée.

Pas de preuves matérielles, mais des similitudes troublantes
Faute d’éléments matériels l’incriminant directement, Manuela Gonzalez a pâti d’un passif amoureux sulfureux, émaillé de décès et d’empoisonnements douteux, dont Daniel Cano n’était que le dernier de la liste. Le corps de ce dernier a été retrouvé, le 31 octobre 2008, à l’arrière de son véhicule incendié, non loin de sa maison de Villard-Bonnot (Isère). Rapidement, l’enquête avait conclu à un incendie volontaire et les analyses toxicologiques avaient révélé la présence de trois somnifères différents dans le sang de la victime. Avant lui, quatre anciens compagnons de l’accusée avaient déjà été victimes d’intoxications, et deux d’entre eux étaient morts. Des éléments qui lui avaient valu le surnom de «veuve noire de l’Isère»…
 

Tharbat

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«Il n’y avait pas de bougie dans ma chambre»
Pourtant, tout au long du procès, l’accusée n’a cessé de clamer son innocence, soutenue par ses proches. Sa fille, Virginie Martoïa, âgée de 32 ans, avait notamment défendu sa mère en avançant qu’une femme «intelligente», telle qu’on l’a décrite, n’aurait «pas employé les mêmes modes opératoires pour des homicides», évoquant la mort de ses ex-conjoints.

Le beau-fils, Daniel Cano, a affiché beaucoup plus de réserves quant à l’innocence de sa belle-mère, et fait part de «doutes», apparus en 2009. Le jeune homme, «troublé» par les mensonges de sa belle-mère, s’est souvenu d’un épisode étrange, celui de l’incendie déclaré dans la chambre de son père. Imputé à une bougie, il a raconté avoir entendu son père lancer à sa femme: «Manuela, arrête de me prendre pour un ***, il n’y avait pas de bougie dans ma chambre.»

Des accusations formellement récusées par l’accusée, mais le fils a enfoncé le couteau, en assurant que son père avait prononcé le mot «divorce» en apprenant l’existence d’un prêt de 165.000 euros, contracté à son insu. Un prêt qui aurait pu servir à rembourser les nombreuses dettes de jeu de l’accusée. Le président de la Cour, intrigué, l’a alors longuement interrogé sur ses fréquents déplacements dans des casinos de la région, et sur la perte de 90.000 euros. «C’est un engrenage», lui a-t-elle simplement répondu.
 

popeys

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- Manuela Gonzalez était poursuivie pour le meurtre de son mari, Daniel Cano, en 2008…
La plaidoirie de l’avocat de la défense, Ronald Gallo, n’y a rien fait. Au terme d’un procès de longue haleine, Manuela Gonzalez, dite «la veuve noire de l’Isère», a été condamnée vendredi à 30 ans de réclusion criminelle pour avoir tué son dernier mari, Daniel Cano, en 2008. Les jurés sont donc allés au-delà de ce que demandait l’avocat général, Pierre-Marie Cuny, qui a requis 25 ans de prison, au regard notamment du passé de l’accusée: «Il y a contre elle, si ce n’est des preuves évidentes, un faisceau d’éléments, un enchaînement de faits, de constatations, qui me permettent de vous demander une décision de culpabilité», a-t-il lancé à l’assemblée.

Pas de preuves matérielles, mais des similitudes troublantes
Faute d’éléments matériels l’incriminant directement, Manuela Gonzalez a pâti d’un passif amoureux sulfureux, émaillé de décès et d’empoisonnements douteux, dont Daniel Cano n’était que le dernier de la liste. Le corps de ce dernier a été retrouvé, le 31 octobre 2008, à l’arrière de son véhicule incendié, non loin de sa maison de Villard-Bonnot (Isère). Rapidement, l’enquête avait conclu à un incendie volontaire et les analyses toxicologiques avaient révélé la présence de trois somnifères différents dans le sang de la victime. Avant lui, quatre anciens compagnons de l’accusée avaient déjà été victimes d’intoxications, et deux d’entre eux étaient morts. Des éléments qui lui avaient valu le surnom de «veuve noire de l’Isère»…

celle la il falait qu'elle vive au maroc pour donner la leçon a tous les hommes qui tuent leur femmes et les battent à mort !
 

Tharbat

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celle la il falait qu'elle vive au maroc pour donner la leçon a tous les hommes qui tuent leur femmes et les battent à mort !
mdrrrrrrr..les maris marocains hamdoulillah sont beaucoup mieux que d'autres..seulement les jeunes ils ne sont plus motivés pour le mariage..
 
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