L’affaire de la sextape impliquant Karim Benzema et Mathieu Valbuena semble s’être déplacée sur le terrain politique.
Après l'intervention du Premier ministre français, Manuel Valls, mardi 1er décembre, c'est au tour de Nicolas Sarkozy de revenir sur la polémique.
Karim Benzema sortira du silence mercredi 2/12/2015 soir lors du JT de 20 heures de TF1, mais il crée déjà la polémique autour de lui.
En réponse à la déclaration du Premier ministre, Manuel Valls, qui avait estimé à propos de Karim Benzema qu’un «grand sportif doit être exemplaire. S’il ne l’est pas, il n’a pas sa place en équipe de France», Nicolas Sarkozy a en effet déclaré ce mercredi matin: «Je ne suis pas sélectionneur de l’équipe de France, Monsieur Valls non plus. Je n’aime pas ces gens qui donnent des leçons d’exemplarité», a pesté l’ancien président de la République sur les ondes d’Europe 1.
"Cette actualité est épouvantable. On accuse, on dénonce, on démolit, on reproche. C’est le contraire de ce que devrait être une démocratie apaisée", a ajouté Sarko.
Nul doute que ce pugilat entre hommes politiques, par médias interposés, ne devrait pas en rester là.
Ecoutez Nicolas Sarkozy ici :
Abderrahmane Fizazi
http://sport.le360.ma/france/video-nicolas-sarkozy-repond-manuel-valls-sur-laffaire-benzema-1845
Après l'intervention du Premier ministre français, Manuel Valls, mardi 1er décembre, c'est au tour de Nicolas Sarkozy de revenir sur la polémique.
Karim Benzema sortira du silence mercredi 2/12/2015 soir lors du JT de 20 heures de TF1, mais il crée déjà la polémique autour de lui.
En réponse à la déclaration du Premier ministre, Manuel Valls, qui avait estimé à propos de Karim Benzema qu’un «grand sportif doit être exemplaire. S’il ne l’est pas, il n’a pas sa place en équipe de France», Nicolas Sarkozy a en effet déclaré ce mercredi matin: «Je ne suis pas sélectionneur de l’équipe de France, Monsieur Valls non plus. Je n’aime pas ces gens qui donnent des leçons d’exemplarité», a pesté l’ancien président de la République sur les ondes d’Europe 1.
"Cette actualité est épouvantable. On accuse, on dénonce, on démolit, on reproche. C’est le contraire de ce que devrait être une démocratie apaisée", a ajouté Sarko.
Nul doute que ce pugilat entre hommes politiques, par médias interposés, ne devrait pas en rester là.
Ecoutez Nicolas Sarkozy ici :
Abderrahmane Fizazi
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