L’«agent immobilier» vendait du vent !

Tharbat

💙💚💛
Contributeur
Ce fait divers raconte l’histoire de H.F., promoteur immobilier âgé de 57*ans. Cela fait 9*ans que cet homme exerce cette activité.

Auparavant, il travaillait dans une agence de location de voitures. Sûr de lui, H.F. a toujours été attiré par la vente et le contact avec le client, c’est pourquoi il est si à l’aise avec les métiers où il faut savoir vendre un produit au grand public.Depuis 6*ans, H.F. a lancé sa propre affaire à Casablanca, ville où il a toujours vécu et qu’il connaît par cœur*! Il a rapidement réussi à agrandir son business et ce n’est pas moins de quatre agents qui se sont associés à lui en l’espace de quelques mois.H.F. est en réalité vendeur de terrains sur plan. C’est-à-dire qu’il démarche, grâce à ses agents, des personnes intéressées par ses terrains. Mais ses clients ne voient pas vraiment ces derniers, seulement des photographies et des plans. Et c’est en quelques semaines que ses associés et lui ont vendus nombre de terrains à une trentaine de clients. Les terrains en question se trouvent dans des quartiers en périphérie de Casablanca, c’est à dire pas faciles d’accès.La combineH.K. et ses quatre compères ont réussi à vendre d’immenses lots de terrains à des prix raisonnables. Enfin, c’est ce qu’ont cru ses victimes. Le procédé de l’arnaqueur est simple*: les clients n’ont pas accès au terrain avant d’avoir payé une avance d’environ 30*000 dirhams. Par rapport à la totalité de la somme à payer, cela paraît dérisoire. Par conséquent, les acheteurs n’ont pas eu la puce à l’oreille et n’ont donc pas découvert la magouille. Cependant, voyant que le promoteur ne leur montrait toujours pas les terrains qu’ils venaient soi-disant qu’acquérir, les acheteurs ont commencé à s’impatienter. C’est-à-dire que sur la période de huit mois, H.F. trouvait toujours de bonnes excuses – ou plutôt de bons mensonges – pour ne pas avoir à montrer le terrain objet de la transaction*: «je n’ai toujours pas eu l’autorisation de construire», disait le promoteur ou encore «je suis en déplacement professionnel aujourd’hui, c’est-à-dire que je ne suis pas à Casablanca. Mais dès que je rentre, je vous ferai visiter votre terrain», promettait-il. C’est au bout de neuf mois que les victimes se sont alors regroupées et ont porté plainte contre le promoteur immobilier et ses agents. Mais ce dernier avait déjà pris la fuite. C’est ainsi que commença la longue traque de l’arnaqueur. En effet, les policiers ayant le portrait-robot du voleur ont donc pu se lancer à la recherche de H.F. dans toutes les rues de Casablanca. Et vu que le briguant n’avait pas quitté la ville, la police a fini par l’arrêter quelques semaines après.


http://mobile.lematin.ma/content/1368220599705074200/MatinSociete
nLamiaâ Khalloufi. Le Matin
 

Courir

Tas beau courir, Tu ne me rattrapes pas
VIB
Ce fait divers raconte l’histoire de H.F., promoteur immobilier âgé de 57*ans. Cela fait 9*ans que cet homme exerce cette activité.

Auparavant, il travaillait dans une agence de location de voitures. Sûr de lui, H.F. a toujours été attiré par la vente et le contact avec le client, c’est pourquoi il est si à l’aise avec les métiers où il faut savoir vendre un produit au grand public.Depuis 6*ans, H.F. a lancé sa propre affaire à Casablanca, ville où il a toujours vécu et qu’il connaît par cœur*! Il a rapidement réussi à agrandir son business et ce n’est pas moins de quatre agents qui se sont associés à lui en l’espace de quelques mois.H.F. est en réalité vendeur de terrains sur plan. C’est-à-dire qu’il démarche, grâce à ses agents, des personnes intéressées par ses terrains. Mais ses clients ne voient pas vraiment ces derniers, seulement des photographies et des plans. Et c’est en quelques semaines que ses associés et lui ont vendus nombre de terrains à une trentaine de clients. Les terrains en question se trouvent dans des quartiers en périphérie de Casablanca, c’est à dire pas faciles d’accès.La combineH.K. et ses quatre compères ont réussi à vendre d’immenses lots de terrains à des prix raisonnables. Enfin, c’est ce qu’ont cru ses victimes. Le procédé de l’arnaqueur est simple*: les clients n’ont pas accès au terrain avant d’avoir payé une avance d’environ 30*000 dirhams. Par rapport à la totalité de la somme à payer, cela paraît dérisoire. Par conséquent, les acheteurs n’ont pas eu la puce à l’oreille et n’ont donc pas découvert la magouille. Cependant, voyant que le promoteur ne leur montrait toujours pas les terrains qu’ils venaient soi-disant qu’acquérir, les acheteurs ont commencé à s’impatienter. C’est-à-dire que sur la période de huit mois, H.F. trouvait toujours de bonnes excuses – ou plutôt de bons mensonges – pour ne pas avoir à montrer le terrain objet de la transaction*: «je n’ai toujours pas eu l’autorisation de construire», disait le promoteur ou encore «je suis en déplacement professionnel aujourd’hui, c’est-à-dire que je ne suis pas à Casablanca. Mais dès que je rentre, je vous ferai visiter votre terrain», promettait-il. C’est au bout de neuf mois que les victimes se sont alors regroupées et ont porté plainte contre le promoteur immobilier et ses agents. Mais ce dernier avait déjà pris la fuite. C’est ainsi que commença la longue traque de l’arnaqueur. En effet, les policiers ayant le portrait-robot du voleur ont donc pu se lancer à la recherche de H.F. dans toutes les rues de Casablanca. Et vu que le briguant n’avait pas quitté la ville, la police a fini par l’arrêter quelques semaines après.


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nLamiaâ Khalloufi. Le Matin

Salam
Les clients sont aussi nuls
acheter d'accord mais dans les règles
en passons par le notaire les impôts et payer par virement
le promoteur doit aussi être affilié aux registre de commerce et à jour avec l'administration
les clients aussi ont été attiré par les prix très bas*
 
Ce fait divers raconte l’histoire de H.F., promoteur immobilier âgé de 57*ans. Cela fait 9*ans que cet homme exerce cette activité.

Auparavant, il travaillait dans une agence de location de voitures. Sûr de lui, H.F. a toujours été attiré par la vente et le contact avec le client, c’est pourquoi il est si à l’aise avec les métiers où il faut savoir vendre un produit au grand public.Depuis 6*ans, H.F. a lancé sa propre affaire à Casablanca, ville où il a toujours vécu et qu’il connaît par cœur*! Il a rapidement réussi à agrandir son business et ce n’est pas moins de quatre agents qui se sont associés à lui en l’espace de quelques mois.H.F. est en réalité vendeur de terrains sur plan. C’est-à-dire qu’il démarche, grâce à ses agents, des personnes intéressées par ses terrains. Mais ses clients ne voient pas vraiment ces derniers, seulement des photographies et des plans. Et c’est en quelques semaines que ses associés et lui ont vendus nombre de terrains à une trentaine de clients. Les terrains en question se trouvent dans des quartiers en périphérie de Casablanca, c’est à dire pas faciles d’accès.La combineH.K. et ses quatre compères ont réussi à vendre d’immenses lots de terrains à des prix raisonnables. Enfin, c’est ce qu’ont cru ses victimes. Le procédé de l’arnaqueur est simple*: les clients n’ont pas accès au terrain avant d’avoir payé une avance d’environ 30*000 dirhams. Par rapport à la totalité de la somme à payer, cela paraît dérisoire. Par conséquent, les acheteurs n’ont pas eu la puce à l’oreille et n’ont donc pas découvert la magouille. Cependant, voyant que le promoteur ne leur montrait toujours pas les terrains qu’ils venaient soi-disant qu’acquérir, les acheteurs ont commencé à s’impatienter. C’est-à-dire que sur la période de huit mois, H.F. trouvait toujours de bonnes excuses – ou plutôt de bons mensonges – pour ne pas avoir à montrer le terrain objet de la transaction*: «je n’ai toujours pas eu l’autorisation de construire», disait le promoteur ou encore «je suis en déplacement professionnel aujourd’hui, c’est-à-dire que je ne suis pas à Casablanca. Mais dès que je rentre, je vous ferai visiter votre terrain», promettait-il. C’est au bout de neuf mois que les victimes se sont alors regroupées et ont porté plainte contre le promoteur immobilier et ses agents. Mais ce dernier avait déjà pris la fuite. C’est ainsi que commença la longue traque de l’arnaqueur. En effet, les policiers ayant le portrait-robot du voleur ont donc pu se lancer à la recherche de H.F. dans toutes les rues de Casablanca. Et vu que le briguant n’avait pas quitté la ville, la police a fini par l’arrêter quelques semaines après.


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nLamiaâ Khalloufi. Le Matin
C'est un arnaqueur et il aura ce qu'il mérite mais les clients qui se sont fait arnaquer son vraiment des gros nuls car payer 30 000 dh pour voir un terrain qu'on achètera peut-être pas, il faut vraiment avoir perdu quelques boulons!
 
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