L'Algérie, le Maroc et la Libye

Depuis que le souffle révolutionnaire balaya une partie des dictatures arabes, on a l'occasion d'observer les attitudes contradictoires des dictatures restantes.

Sur les côtes de l'Atlantique, la dictature marocaine semble davantage observer une attitude de "peur" vis-à-vis du souffle révolutionnaire. Cette peur s'est manifestée par la reconnaissance immédiate du Conseil de transition national libyen, une manière pour la monarchie de contenter un peuple désireux ,bien que soumis, de voir Kadhafi croupir derrière les barreaux. De plus, cette reconnaissance semble aussi être orientée par l'envie de faire des "nouveaux Libyens" des alliés dans la gestion du conflit du Sahara occidental occupé. Quoi qu'il en soi, la peur régne dans le camp marocain, mais pas tant de voir le CNT troubler les desseins marocains que d'inspirer certains Marocains libres à renverser une monarchie qui n'a que trop durée.

Au centre du Maghreb, le régime algérien, corrompu et incompétent, semble s'obstiner à garder une neutralité de façade. Pire que son homologue marocain, le pouvoir algérien semble trembler de peur de voir le CNT opter vers des ouvertures démocratiques, risquant ainsi de voir la région flirter avec les notions si floues et inconnues de liberté et de justice. Derrière une diplomatie moribonde, l'Algérie tente de jouter la carte de la neutralité, tout en soutenant le régime kadhafiste en sous-main. Mais pour l'heure, personne ne peut préciser la nature de ce soutien. Malgré tout, aujourd'hui la Libye de Kadhafi est bel et bien finie, il reste à savoir comment est-ce que le pouvoir algérien compte gérer la chute du dictateur. Au contraire du Maroc, l'Algérie n'a pas reconnu le CNT, sans ne donner aucune justification. Certes, rien n'oblige les corrompus d'El Mouradia à reconnaître un organe politique étranger, même si celui-ci s'est battu contre un dictateur, parfois dans l'irrespect des traités et conventions internationaux. Quoi qu'il en soi, l'Algérie ne pourra demeurer dans son mutisme et devra prendre au plus vite une décision qui scellera le sort de sa politique. On peut toutefois douter de sa capacité à envisager sereinement l'avenir car une dictature ne vit pas pour organiser mais seulement pour spolier et mourir. Comme pour le régime marocain, le régime algérien n'a que trop vécu.


La Tunisie et l'Egypte, quant à eux, ont reconnu le CNT. Il ne pouvait en être autrement. En effet, la légitimité même de ces deux "nouveaux" États ne pouvait que reposer sur une reconnaissance explicite de leurs frères révolutionnaires. Si Kadhafi était un dictateur, Z. Ben Ali et H. Moubarak l'étaient tout autant.


Au final, si l'Algérie et le Maroc sont guidés par la peur d'une contagion démocratique et tentent à leur manière de répondre aux défis qui les attend, la Tunisie et l'Egypte semblent s'orienter vers l'entérinement des décisions respectant les demandes populaires.

http://reflexionpolitique.blogs.nouvelobs.com/
 

farid_h

<defunct>
Contributeur
Quoi qu'il en soi, la peur régne dans le camp marocain, mais pas tant de voir le CNT troubler les desseins marocains que d'inspirer certains Marocains libres à renverser une monarchie qui n'a que trop durée.

Ewa, bezaf 3alihoum l'maghrib. Pour notre monarchie qui est pourtant millenaire, dire qu'elle n'a que trop duree et la comparer aux dictatures republicaines avoisinnantes (*) crees de toutes pieces par les puissances coloniales le siecle dernier, c'est faire preuve d'ignorance flangrante de notre longue histoire.

(*): Ce n'est pas mon intention de dire du mal de nos voisins que je respecte tout autant qu'ils nous respectent. Je critique uniquement l'auteur de cet article qui fait preuve de myopie historique et contextuelle. ;)
 
Depuis que le souffle révolutionnaire balaya une partie des dictatures arabes, on a l'occasion d'observer les attitudes contradictoires des dictatures restantes.

Sur les côtes de l'Atlantique, la dictature marocaine semble davantage observer une attitude de "peur" vis-à-vis du souffle révolutionnaire. Cette peur s'est manifestée par la reconnaissance immédiate du Conseil de transition national libyen, une manière pour la monarchie de contenter un peuple désireux ,bien que soumis, de voir Kadhafi croupir derrière les barreaux. De plus, cette reconnaissance semble aussi être orientée par l'envie de faire des "nouveaux Libyens" des alliés dans la gestion du conflit du Sahara occidental occupé. Quoi qu'il en soi, la peur régne dans le camp marocain, mais pas tant de voir le CNT troubler les desseins marocains que d'inspirer certains Marocains libres à renverser une monarchie qui n'a que trop durée.

Au centre du Maghreb, le régime algérien, corrompu et incompétent, semble s'obstiner à garder une neutralité de façade. Pire que son homologue marocain, le pouvoir algérien semble trembler de peur de voir le CNT opter vers des ouvertures démocratiques, risquant ainsi de voir la région flirter avec les notions si floues et inconnues de liberté et de justice. Derrière une diplomatie moribonde, l'Algérie tente de jouter la carte de la neutralité, tout en soutenant le régime kadhafiste en sous-main. Mais pour l'heure, personne ne peut préciser la nature de ce soutien. Malgré tout, aujourd'hui la Libye de Kadhafi est bel et bien finie, il reste à savoir comment est-ce que le pouvoir algérien compte gérer la chute du dictateur. Au contraire du Maroc, l'Algérie n'a pas reconnu le CNT, sans ne donner aucune justification. Certes, rien n'oblige les corrompus d'El Mouradia à reconnaître un organe politique étranger, même si celui-ci s'est battu contre un dictateur, parfois dans l'irrespect des traités et conventions internationaux. Quoi qu'il en soi, l'Algérie ne pourra demeurer dans son mutisme et devra prendre au plus vite une décision qui scellera le sort de sa politique. On peut toutefois douter de sa capacité à envisager sereinement l'avenir car une dictature ne vit pas pour organiser mais seulement pour spolier et mourir. Comme pour le régime marocain, le régime algérien n'a que trop vécu.


La Tunisie et l'Egypte, quant à eux, ont reconnu le CNT. Il ne pouvait en être autrement. En effet, la légitimité même de ces deux "nouveaux" États ne pouvait que reposer sur une reconnaissance explicite de leurs frères révolutionnaires. Si Kadhafi était un dictateur, Z. Ben Ali et H. Moubarak l'étaient tout autant.


Au final, si l'Algérie et le Maroc sont guidés par la peur d'une contagion démocratique et tentent à leur manière de répondre aux défis qui les attend, la Tunisie et l'Egypte semblent s'orienter vers l'entérinement des décisions respectant les demandes populaires.

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comment on peut trembler de peur quand le régime algérien se permet de ne pas reconnaitre le CNT ?

si le régime algérien aurait eu peur ils se seraient empresser de fermer la frontière avec la Libye dès le début du conflit et reconnaitre le CNT comme l'a fait le Maroc
 

KINGjulian

Modérateur
Depuis que le souffle révolutionnaire balaya une partie des dictatures arabes, on a l'occasion d'observer les attitudes contradictoires des dictatures restantes.

Sur les côtes de l'Atlantique, la dictature marocaine semble davantage observer une attitude de "peur" vis-à-vis du souffle révolutionnaire. Cette peur s'est manifestée par la reconnaissance immédiate du Conseil de transition national libyen, une manière pour la monarchie de contenter un peuple désireux ,bien que soumis, de voir Kadhafi croupir derrière les barreaux. De plus, cette reconnaissance semble aussi être orientée par l'envie de faire des "nouveaux Libyens" des alliés dans la gestion du conflit du Sahara occidental occupé. Quoi qu'il en soi, la peur régne dans le camp marocain, mais pas tant de voir le CNT troubler les desseins marocains que d'inspirer certains Marocains libres à renverser une monarchie qui n'a que trop durée.

Au centre du Maghreb, le régime algérien, corrompu et incompétent, semble s'obstiner à garder une neutralité de façade. Pire que son homologue marocain, le pouvoir algérien semble trembler de peur de voir le CNT opter vers des ouvertures démocratiques, risquant ainsi de voir la région flirter avec les notions si floues et inconnues de liberté et de justice. Derrière une diplomatie moribonde, l'Algérie tente de jouter la carte de la neutralité, tout en soutenant le régime kadhafiste en sous-main. Mais pour l'heure, personne ne peut préciser la nature de ce soutien. Malgré tout, aujourd'hui la Libye de Kadhafi est bel et bien finie, il reste à savoir comment est-ce que le pouvoir algérien compte gérer la chute du dictateur. Au contraire du Maroc, l'Algérie n'a pas reconnu le CNT, sans ne donner aucune justification. Certes, rien n'oblige les corrompus d'El Mouradia à reconnaître un organe politique étranger, même si celui-ci s'est battu contre un dictateur, parfois dans l'irrespect des traités et conventions internationaux. Quoi qu'il en soi, l'Algérie ne pourra demeurer dans son mutisme et devra prendre au plus vite une décision qui scellera le sort de sa politique. On peut toutefois douter de sa capacité à envisager sereinement l'avenir car une dictature ne vit pas pour organiser mais seulement pour spolier et mourir. Comme pour le régime marocain, le régime algérien n'a que trop vécu.


La Tunisie et l'Egypte, quant à eux, ont reconnu le CNT. Il ne pouvait en être autrement. En effet, la légitimité même de ces deux "nouveaux" États ne pouvait que reposer sur une reconnaissance explicite de leurs frères révolutionnaires. Si Kadhafi était un dictateur, Z. Ben Ali et H. Moubarak l'étaient tout autant.


Au final, si l'Algérie et le Maroc sont guidés par la peur d'une contagion démocratique et tentent à leur manière de répondre aux défis qui les attend, la Tunisie et l'Egypte semblent s'orienter vers l'entérinement des décisions respectant les demandes populaires.

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Le contenu des blogs des internautes n'engage que leurs auteurs et ne peut en aucun cas être attribué au nouvelobs.com
 

farid_h

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Si le nouvelobs.com les heberge, il cautionne en partie leur contenu. Un disclaimer n'est que cosmetique dans ce contexte. Mais peu importe: meme si ca venait de ce journal, ils ont quand meme le droit d'ecrire ce qu'ils veulent, tout comme nous avons le droit de ne pas etre d'accord avec ce qu'ils ecrivent. ;)
 

KINGjulian

Modérateur
Si le nouvelobs.com les heberge, il cautionne en partie leur contenu. Un disclaimer n'est que cosmetique dans ce contexte. Mais peu importe: meme si ca venait de ce journal, ils ont quand meme le droit d'ecrire ce qu'ils veulent, tout comme nous avons le droit de ne pas etre d'accord avec ce qu'ils ecrivent. ;)

je pense qu'il va pas tardé a éjecter
 
comment on peut trembler de peur quand le régime algérien se permet de ne pas reconnaitre le CNT ?

si le régime algérien aurait eu peur ils se seraient empresser de fermer la frontière avec la Libye dès le début du conflit et reconnaitre le CNT comme l'a fait le Maroc

Le CNT représente un danger potentiel puisqu'il n'acceptera pas de collaborer avec un Etat illégitime.
 
Mais peu importe: meme si ca venait de ce journal, ils ont quand meme le droit d'ecrire ce qu'ils veulent, tout comme nous avons le droit de ne pas etre d'accord avec ce qu'ils ecrivent. ;)

C'est ce qui importe. Mais hier lorsque un certain présent sur ce topic a sorti des poubelles du net un article de oujdacity, peu de personne ont dénoncé l'incompétence des journalistes.
 
Sur les côtes de l'Atlantique, la dictature marocaine semble davantage observer une attitude de "peur" vis-à-vis du souffle révolutionnaire. Cette peur s'est manifestée par la reconnaissance immédiate du Conseil de transition national libyen, une manière pour la monarchie de contenter un peuple désireux ,bien que soumis, de voir Kadhafi croupir derrière les barreaux. De plus, cette reconnaissance semble aussi être orientée par l'envie de faire des "nouveaux Libyens" des alliés dans la gestion du conflit du Sahara occidental occupé. Quoi qu'il en soi, la peur régne dans le camp marocain, mais pas tant de voir le CNT troubler les desseins marocains que d'inspirer certains Marocains libres à renverser une monarchie qui n'a que trop durée.

On voit la couleur ca sent l'algerien a plein nez sur la partie marocaine.

Peur de rien du tout, nos ennemis finissent toujours dans les poubelles de l'histoire, Kadhafi en fait partie.

VIVE LE CNT VIVE LE PEUPLE LYBIEN LIBRE

Les algeriens comme d'habitude sont dans le camps des perdants ;)
 
Non mais tu le pousse à se réfugier derrière l'alcool. C'est tout bénef pour les dirigeants: par ce biais, ils mattent une éventuelle rébellion sans aucune effusion de sang.

Ah ok, une société d’alcoolo est une société libre? Et tu penses qu'au Maghreb il n y a pas assez d'alcool? En tout cas, en Algérie le marché de l'alcool est malheureusement très développé, même si officieux.
 

kouskous

اللهم أنزل الرحمة في قلوب الناس
Modérateur
Non mais tu le pousse à se réfugier derrière l'alcool. C'est tout bénef pour les dirigeants: par ce biais, ils mattent une éventuelle rébellion sans aucune effusion de sang.
wache nta hollandi, pour dire que les coffes shop sont la solution miracle pour la hollande afin que le peuple ne reagit pas à la politique.:D
 

kouskous

اللهم أنزل الرحمة في قلوب الناس
Modérateur
Ah ok, une société d’alcoolo est une société libre? Et tu penses qu'au Maghreb il n y a pas assez d'alcool? En tout cas, en Algérie le marché de l'alcool est malheureusement très développé, même si officieux.

bien sure,

Gerard depardieux a des vignes en algerie
 
bien sure,

Gerard depardieux a des vignes en algerie

Les vignes font partie de l'héritage colonial. Elles étaient entretenues par les européens pieds-noirs, puis elles ont été en partie détruites sous le règne de H. Boumediène au nom d'un islam d’État socialiste et révolutionnaire :D. Il ne faut pas le nier, beaucoup d'arabes aiment l'alcool. Mais ce n'est pas le sujet.
 

kouskous

اللهم أنزل الرحمة في قلوب الناس
Modérateur
Les vignes font partie de l'héritage colonial. Elles étaient entretenues par les européens pieds-noirs, puis elles ont été en partie détruites sous le règne de H. Boumediène au nom d'un islam d’État socialiste et révolutionnaire :D. Il ne faut pas le nier, beaucoup d'arabes aiment l'alcool. Mais ce n'est pas le sujet.
tout à fait ce n'est pas le sujet,mais ya rien à faire, il faut que certains font un virage de 90° dans le debat. alors il qu'on leur éclaircir leurs besognes de l'histoire.
de ce fait il n'y que des spéculations dans le vide, et la masse média fait le reste.
 
Ah ok, une société d’alcoolo est une société libre? Et tu penses qu'au Maghreb il n y a pas assez d'alcool? En tout cas, en Algérie le marché de l'alcool est malheureusement très développé, même si officieux.

Ceux qui veulent perdre contact avec la dure réalité peuvent cultiver du cannabis.

Il peut même tenter d'en exporter pour se faire des $$$$$....

Le vin marocain ne fait pas tourner la tête. :)
 

Greedy

I like it
wache nta hollandi, pour dire que les coffes shop sont la solution miracle pour la hollande afin que le peuple ne reagit pas à la politique.:D

Tu n'es pas au courant du projet de loi qu'est entrain de nous concocter le gouvernement pour cette rentrée ? Pourtant, ça avait fait débat sur ce forum :)

Les Fassi entre autres....

Fantasme pas trop sur les fassis. C'est fini ces passes droit gratos basés uniquement sur le nom. Aujourd'hui, si tu as l'argent, tu as le pouvoir, que tu sois ould bennani ou non...
 
Depuis que le souffle révolutionnaire balaya une partie des dictatures arabes, on a l'occasion d'observer les attitudes contradictoires des dictatures restantes.

Sur les côtes de l'Atlantique, la dictature marocaine semble davantage observer une attitude de "peur" vis-à-vis du souffle révolutionnaire. Cette peur s'est manifestée par la reconnaissance immédiate du Conseil de transition national libyen, une manière pour la monarchie de contenter un peuple désireux ,bien que soumis, de voir Kadhafi croupir derrière les barreaux. De plus, cette reconnaissance semble aussi être orientée par l'envie de faire des "nouveaux Libyens" des alliés dans la gestion du conflit du Sahara occidental occupé. Quoi qu'il en soi, la peur régne dans le camp marocain, mais pas tant de voir le CNT troubler les desseins marocains que d'inspirer certains Marocains libres à renverser une monarchie qui n'a que trop durée.

Au centre du Maghreb, le régime algérien, corrompu et incompétent, semble s'obstiner à garder une neutralité de façade. Pire que son homologue marocain, le pouvoir algérien semble trembler de peur de voir le CNT opter vers des ouvertures démocratiques, risquant ainsi de voir la région flirter avec les notions si floues et inconnues de liberté et de justice. Derrière une diplomatie moribonde, l'Algérie tente de jouter la carte de la neutralité, tout en soutenant le régime kadhafiste en sous-main. Mais pour l'heure, personne ne peut préciser la nature de ce soutien. Malgré tout, aujourd'hui la Libye de Kadhafi est bel et bien finie, il reste à savoir comment est-ce que le pouvoir algérien compte gérer la chute du dictateur. Au contraire du Maroc, l'Algérie n'a pas reconnu le CNT, sans ne donner aucune justification. Certes, rien n'oblige les corrompus d'El Mouradia à reconnaître un organe politique étranger, même si celui-ci s'est battu contre un dictateur, parfois dans l'irrespect des traités et conventions internationaux. Quoi qu'il en soi, l'Algérie ne pourra demeurer dans son mutisme et devra prendre au plus vite une décision qui scellera le sort de sa politique. On peut toutefois douter de sa capacité à envisager sereinement l'avenir car une dictature ne vit pas pour organiser mais seulement pour spolier et mourir. Comme pour le régime marocain, le régime algérien n'a que trop vécu.


La Tunisie et l'Egypte, quant à eux, ont reconnu le CNT. Il ne pouvait en être autrement. En effet, la légitimité même de ces deux "nouveaux" États ne pouvait que reposer sur une reconnaissance explicite de leurs frères révolutionnaires. Si Kadhafi était un dictateur, Z. Ben Ali et H. Moubarak l'étaient tout autant.


Au final, si l'Algérie et le Maroc sont guidés par la peur d'une contagion démocratique et tentent à leur manière de répondre aux défis qui les attend, la Tunisie et l'Egypte semblent s'orienter vers l'entérinement des décisions respectant les demandes populaires.

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LA SEULE RÉPONSE PAR RAPPORT A CE CONFLIT EST L OUVERTURE DES FRONTIÈRES ENTRE L ALGERIE ET LE MAROC. L UNION DU MAROC ET DE L ALGÉRIE NOUS PRÉSERVERA DE CE QUI SE PASSE DANS EN LIBYE. CAR ne nous leurrons pas ! ce ne sont pas les "révolutionnaires" qui ont chassé Kadhafi mais bien l OTAN (surtout la France) et les islamistes locaux...
 
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