pendant que les diplomates français versent leur venin et haine sur l'Algérie à cause de leur perte d'influence en Algérie, les britanniques eux lancent des fleurs à l'Algérie et voit un avenir rose pour la coopération économique algéro-britannique
Selon la présidente du conseil d'affaires algéro-britannique
« LAlgérie est un pays sous-exploré »
« Bien que l'Algérie soit l'un des plus grands pays producteurs de pétrole et de gaz en Afrique, il est toujours considéré par les analystes comme étant sous-exploré. Son industrie des hydrocarbures est très importante pour l'économie. L'Algérie a connu une reprise économique significative ces dernières années, soutenue en partie par dimportantes recettes d'exportation de pétrole et de gaz naturel. Ces derniers qui constituent 98% des exportations algériennes sont le principal moteur de l'économie algérienne », a estimé dans une note remise cette semaine à la presse Lady Olga Maitland, présidente du Conseil d'affaires algéro-britannique.
« Avec la poursuite des investissements réalisés dans le développement du pétrole et du gaz algérien, ces deux secteurs ont un potentiel pour augmenter la capacité de production au cours des prochaines années » , a-t-elle ajouté. Elle a estimé quen plus de sa force en amont, l'Algérie a un secteur solide en aval qui comprend le raffinage, la distribution et la commercialisation, la pétrochimie et les lubrifiants. « L'Algérie est actuellement à la recherche dalternatives à l'économie des hydrocarbures avec un accent sur les énergies renouvelables. Pour arriver à cette fin, le gouvernement sest engagé à investir 60 milliards de dollars dici 2030. Cela concernera en grande partie les centrales géothermiques, les panneaux photovoltaïques et les éoliennes », a-t-elle noté.
Selon elle, le commerce britannique avec l'Algérie était en hausse de 117% en 2010. « L'Algérie est sûre et ouverte aux échanges commerciaux et comme le ministre des Finances, M. Djoudi la dit, l'économie devrait croître de 4,7% en 2012. En plus de cela, il y a une volonté sérieuse de s'engager avec l'expertise et l'investissement britanniques.
« En considérant l'Algérie de manière globale, il convient de noter que ce pays se situe à la croisée des chemins, et est réellement l'entrée du continent africain. Alors que cette année était agitée pour l'Afrique du Nord avec la Tunisie, la Libye et l'Egypte en tant que voisins, l'Algérie est restée stable », a-t-elle souligné. Cela est, daprès elle, de bon augure pour ceux qui sont à la recherche des opportunités d'investissement et de commerce. « Il est légitime et sage pour le gouvernement algérien de vouloir diversifier son économie, cependant, lors de ce processus de diversification, le secteur de l'énergie sera toujours un facteur important pour un pays confiant et en croissance », a-t-elle appuyé.
Elle a relevé quil est de son devoir en tant que présidente du Conseil d'affaires algéro-britannique de présenter les entreprises à l'Algérie et réunir les intérêts communs. « Cela peut prendre la forme de visites effectuées sur mesure ou de visites dorientations en groupe. Elles sont toutes utiles, mais dans mon cas, j'ai une responsabilité personnelle de m'assurer que ceux qui visitent l'Algérie la quittent avec un sens daccomplissement », a-t-elle conclu.
http://www.tsa-algerie.com/economie-et-business/l-algerie-est-un-pays-sous-explore_17360.html
Selon la présidente du conseil d'affaires algéro-britannique
« LAlgérie est un pays sous-exploré »
« Bien que l'Algérie soit l'un des plus grands pays producteurs de pétrole et de gaz en Afrique, il est toujours considéré par les analystes comme étant sous-exploré. Son industrie des hydrocarbures est très importante pour l'économie. L'Algérie a connu une reprise économique significative ces dernières années, soutenue en partie par dimportantes recettes d'exportation de pétrole et de gaz naturel. Ces derniers qui constituent 98% des exportations algériennes sont le principal moteur de l'économie algérienne », a estimé dans une note remise cette semaine à la presse Lady Olga Maitland, présidente du Conseil d'affaires algéro-britannique.
« Avec la poursuite des investissements réalisés dans le développement du pétrole et du gaz algérien, ces deux secteurs ont un potentiel pour augmenter la capacité de production au cours des prochaines années » , a-t-elle ajouté. Elle a estimé quen plus de sa force en amont, l'Algérie a un secteur solide en aval qui comprend le raffinage, la distribution et la commercialisation, la pétrochimie et les lubrifiants. « L'Algérie est actuellement à la recherche dalternatives à l'économie des hydrocarbures avec un accent sur les énergies renouvelables. Pour arriver à cette fin, le gouvernement sest engagé à investir 60 milliards de dollars dici 2030. Cela concernera en grande partie les centrales géothermiques, les panneaux photovoltaïques et les éoliennes », a-t-elle noté.
Selon elle, le commerce britannique avec l'Algérie était en hausse de 117% en 2010. « L'Algérie est sûre et ouverte aux échanges commerciaux et comme le ministre des Finances, M. Djoudi la dit, l'économie devrait croître de 4,7% en 2012. En plus de cela, il y a une volonté sérieuse de s'engager avec l'expertise et l'investissement britanniques.
« En considérant l'Algérie de manière globale, il convient de noter que ce pays se situe à la croisée des chemins, et est réellement l'entrée du continent africain. Alors que cette année était agitée pour l'Afrique du Nord avec la Tunisie, la Libye et l'Egypte en tant que voisins, l'Algérie est restée stable », a-t-elle souligné. Cela est, daprès elle, de bon augure pour ceux qui sont à la recherche des opportunités d'investissement et de commerce. « Il est légitime et sage pour le gouvernement algérien de vouloir diversifier son économie, cependant, lors de ce processus de diversification, le secteur de l'énergie sera toujours un facteur important pour un pays confiant et en croissance », a-t-elle appuyé.
Elle a relevé quil est de son devoir en tant que présidente du Conseil d'affaires algéro-britannique de présenter les entreprises à l'Algérie et réunir les intérêts communs. « Cela peut prendre la forme de visites effectuées sur mesure ou de visites dorientations en groupe. Elles sont toutes utiles, mais dans mon cas, j'ai une responsabilité personnelle de m'assurer que ceux qui visitent l'Algérie la quittent avec un sens daccomplissement », a-t-elle conclu.
http://www.tsa-algerie.com/economie-et-business/l-algerie-est-un-pays-sous-explore_17360.html