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L'arabie saoudite veut importer des domestiques algériennes
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[QUOTE="Nouseyba, post: 13992519, member: 380775"] 4- Wikileaks a révélé le vrai visage de l’ultra-conservatisme L'Arabie saoudite offre l'image d'un pays musulman ultraconservateur mais les fêtes privées des puissants dans la ville portuaire de Djeddah peuvent s'accompagner de drogue, de sexe et d'alcool, selon les mémos Wikileaks, disponible dans leur site web. Les fêtes se déroulent dans des maisons privées et les jeunes Saoudiens ne se privent de rien. La vie nocturne de la jeune élite de Djeddah est palpitante. La gamme entière des tentations et des vices est disponible - alcool, drogue et sexe - mais strictement derrière des portes closes. Cette liberté n'est rendue possible que parce que la police religieuse évite les fêtes qui se tiennent en présence ou sous le haut patronage des membres de la famille royale ou des cercles qui lui sont proches. Il existe 10 000 princes en Arabie Saoudite et que les princes saoudiens ont pour habitude de recruter leurs gardes du corps au Nigeria ou dans d’autres pays africains. Il est très fréquent que ces gardes du corps, appelés "khawi", dérivé du mot "akh", grandissent avec les princes ce qui renforcent leur fidélité et loyauté. Un Saoudien a révélé à ce câble à scandale que les riches de la ville invitent des princes pour garder au loin la police religieuse qui veille au respect de la charia, la loi islamique. Le prix exorbitant de l'alcool de contrebande – une bouteille de vodka Smirnoff pouvant coûter l'équivalent de 400 dollars – fait que l'on remplit les bouteilles d'un alcool fabriqué localement, appelé Sadiqi. Le rédacteur du câble précise que s’il ne l’a pas constaté personnellement durant cette fête, le hashish et la cocaïne sont consommés dans ces milieux sociaux et diverses plusieurs occasions. Le trafic de drogue est sanctionné par la peine de mort et la production ou la consommation d'alcool sont sévèrement réprimés par la loi en Arabie saoudite. Mais qui l’applique ? 5- L’Algérie a été pourtant alertée sur la stratégie qatarie et wahhabite à son égard Historiquement, les relations entre Alger et Riyad n’ont jamais été au beau fixe jusqu’à l’arrivée d'Abdelaziz Bouteflika en 1999. Au temps de Houari Boumediene, les Saoudiens qualifient le peuple algérien de peuple athée. Les années 1980, leur offensive pour diminuer les prix du baril du pétrole devait faire un ravage aux pays dont les économies étaient fortement dépendantes des recettes pétrolières. Pour contrecarrer l'apparition des marchés spots (fixation libre du prix au jour le jour) des prix qui dépassent les prix officiels et qui est une conséquence directe du 2e choc pétrolier lié à la révolution iranienne et de la crainte de pénurie de pétrole brut, est instauré en 1985 le principe de la marge fixe par baril vendu aux raffineurs (netback policy), principe pervers qui conduira à l'effondrement des prix ; c'est le contre-choc pétrolier de 1986, qui a mis l’Algérie en particulier à genoux. Le prix du baril était descendu en dessous de 10 dollars, au point où Kasdi Merbah, premier ministre de l’époque a appelé les autorités saoudiennes pour les rappeler "qu'elles étaient en train de nous enlever le pain de la bouche". Plus tard, Ce qui était connu concernant le financement du terrorisme en Algérie, en Syrie et ailleurs par certains pays du Moyen-Orient fait l’objet de témoignages de plus en plus nombreux et de preuves tout aussi irréfutables. Bandar Ben Sultan, ancien patron du renseignement saoudien et financier des groupes jihadistes, selon Squarcini, ancien chef du renseignement français. Cette fois, c’est l’ancien directeur des services de renseignements internes français Bernard Squarini, qui témoigne sur le rôle du Qatar et de l’Arabie saoudite dans le financement du terrorisme. Selon lui, les groupes djihadistes qui ont prêté allégeance à Al Qaïda sont financés principalement par le prince saoudien Bandar Ben Sultan (secrétaire général du Conseil de sécurité nationale et chef des renseignements généraux d’Arabie saoudite) qui adopte une politique régionale indépendante de ses frères et ses cousins. Ce chef des renseignements saoudiens, est derrière le financement des groupes djihadistes en Afghanistan, en Syrie, au Liban, en Egypte, au nord de l’Afrique. Il a noté en outre dans ce livre que le Qatar, grand partenaire commercial et politique de la France, est impliqué par le financement, voire l’armement des groupes islamistes combattant en Afrique contre l’armée française. Pour camoufler et faire passer le soutien logistique et entraîner les groupes djihadistes. L’Arabie saoudite a un rôle dans le financement et l’entraînement des groupes extrémistes, particulièrement au nord de l’Afrique, voire en Algérie. Anna Marie Lisa, présidente honoraire du Sénat belge, accuse, quant à elle, ouvertement l’Arabie Saoudite «d’œuvrer à déstabiliser volontairement les frontières sud de l’Algérie à travers, notamment, le financement des salafistes et djihadistes". "L’Algérie, et par le rapt de ses diplomates à Gao, paye pour avoir combattu le terrorisme durant les années 1990», selon elle. "Les auteurs du rapt se sont, en particulier, attaqués au symbole de l’Algérie, en la personne des diplomates enlevés», explique-t-elle. Eric Denussy, directeur du Centre français de recherches sur le terrorisme, et ancien officier des services secrets, tire la sonnette d’alarme : "La situation est très grave. L’Algérie est considérée par le Qatar et l’Arabie Saoudite, et par l’alliance entre les USA et les Frères musulmans, comme le domino qui n’est pas tombé et qui doit tomber, coûte que coûte." Il accuse l’Otan d’avoir reconfiguré le terrorisme dans la région du Sahel, avec l’intervention militaire engagée dans ce pays. 6- La diplomatie algérienne semble frileuse face à cette ingérence Pendant que cette monarchie attise le feu à Ghardaïa et le Qatar chasse dans les parts du marché gazier de l’Algérie en Italie, la diplomatie algérienne fait comme si de rien n’était. Ainsi le 26 février dernier le président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah et l'ambassadeur du Royaume d'Arabie saoudite à Alger, Mahmoud Ben Hussein Kattane qui lui a rendu une visite de courtoisie au siège du Conseil, ont souligné la nécessité de consolider les relations de coopération bilatérales dans divers domaines. Les deux parties ont salué le niveau des relations politiques entre les deux pays frères exprimant le souhait que la dynamique de la coopération économique et commerciale puisse traduire le niveau de leurs relations politiques confirme un communiqué du Conseil de la nation. Plusieurs questions d'intérêt commun ont été évoquées, à cette occasion, notamment le rôle des deux pays dans le contexte des évènements survenus dans la région arabe et l'instabilité qui y règne ainsi que la nécessaire coordination des efforts des deux pays, de par leur importance et leur influence et ce en faveur de la stabilité de la cohésion de la région arabe. Plus grave, alors que l'Algérie était en ébullition durant la période électorale, avec le chaos provoqué par la nouvelle candidature de Bouteflika, les dirigeants du Koweït estiment que, néanmoins, Alger reste le meilleur intermédiaire pour tenter de désamorcer la guéguerre qui oppose Riyad et Doha. L’Algérie a été sollicitée pour user de ses bons offices en vue de régler le différend inter-monarchiques qui oppose le Qatar à trois autres pays du Golfe, l’Arabie saoudite, Bahreïn et les Emirats Arabes Unis. Une demande en ce sens a été adressée par le Koweït, Président en exercice du Conseil de Coopération du Golfe, lors d’une visite d’un émissaire koweitien qui a rencontré le premier ministre algérien Abdelmalek Sellal. Il semble que le choix s’est porté sur l’Algérie en raison du fait que ce pays entretient de bonnes relations avec l’ensemble du Conseil de Coopération du Golfe, y compris le Qatar. Par ailleurs l’Algérie est reconnue pour sa capacité à conduire ce genre de diplomatie dans la plus grande discrétion. Rappelons que L’Arabie saoudite, les Emirats Arabes Unis et le Bahreïn ont rappelé leurs ambassadeurs de Doha, début mars, en guise de protestation contre le soutien apporté par le Qatar aux Frères Musulmans. Puis le Royaume saoudien a inscrit la Confrérie sur la liste des organisations terroristes; une décision qui apparaît comme une grande opération de blanchissement des turpitudes saoudiennes. Pour Riyad, dans la perspective d’une réconciliation avec Barack Obama, il s’agit de se dédouaner d’un soutien si indéfectiblement accordé à la nébuleuse du djihadisme erratique. Cela depuis son apparition dans la décennie 1980 lors de la guerre anti-soviétique d’Afghanistan. [/QUOTE]
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