Menu
Accueil
Forums
Nouveaux messages
En ce moment
Nouveaux messages
Nouveaux messages de profil
Connexion
S'inscrire
Quoi de neuf
Nouveaux messages
Menu
Connexion
S'inscrire
Forums
Catégorie Principale
Actualités internationales
L'armée algérienne donne l'assaut, 35 otages et 15 ravisseurs auraient été tués
JavaScript est désactivé. Pour une meilleure expérience, veuillez activer JavaScript dans votre navigateur avant de continuer.
Vous utilisez un navigateur obsolète. Il se peut que ce site ou d'autres sites Web ne s'affichent pas correctement.
Vous devez le mettre à jour ou utiliser un
navigateur alternatif
.
Répondre à la discussion
Message
[QUOTE="rochival, post: 11283938, member: 307903"] De Beslan à In Amenas, comment répondre à une prise d'otages massive Comment répondre à une prise d'otages massive? Depuis une dizaine d'années, les Européens tentent de bâtir une doctrine face au casse-tête des actions du type de Beslan ou de Bombay hier, d'In Amenas aujourd'hui. "Dans ce genre de situation, tu multiplies l'aléatoire par le nombre de terroristes et d'otages", résume un spécialiste de ces opérations. Malgré la prise d'otages de onze Israéliens aux Jeux de Munich en 1972, ou encore la vague des détournements d'avions, le concept de "prise d'otages de masse" (POM) est récent. Sur le même sujet... Celle du théâtre de la Doubrovka à Moscou en 2002, qui s'est soldée par 130 morts sur les 800 personnes retenues par un commando tchétchène, "a été l'élément déclencheur d'une prise de conscience en Europe", explique Frédéric Gallois, l'ancien patron du Groupe d'intervention de la gendarmerie nationale (GIGN) qui intervient en France dans ce genre de situation. Ont suivi en 2004 l'assaut des forces russes sur l'école de Beslan en Ossétie du Nord, où un commando réclamant la fin de la guerre en Tchétchénie détenait plus de 1.000 personnes (331 morts), puis les attaques islamistes de Bombay en 2008 (quelque 170 morts), notamment contre des hôtels, qui serviront de modèle à des exercices en France. C'est notamment pour répondre à ce défi que le GIGN a entamé sa mue en 2007, ses forces passant de 150 à 400 hommes, se souvient Frédéric Gallois. D'autres se sont adaptés, comme les policiers du Raid en France, le GSG-9 allemand (créé après le fiasco de Munich en 1972), les SAS britanniques, les Navy Seals ou les Delta Force américains... Les Européens échangent leur expertise au sein du réseau "Atlas". Trois manettes Dans ce type de crise, selon Frédéric Gallois, les autorités disposent de "trois manettes" à "actionner simultanément": le renseignement, la négociation, la force. Le renseignement est crucial pour évaluer l'adversaire, avec du matériel optique, des écoutes: quel armement, présence ou non d'explosifs, positionnement des otages et des ravisseurs... La cellule de crise se renseigne aussi sur les preneurs d'otages, leur passé, afin notamment d'évaluer leur "détermination suicidaire". Si celle-ci est forte, note un spécialiste, la confrontation sera inévitable et la négociation ne visera qu'à gagner du temps. Mais elle n'en reste pas moins nécessaire, relève un spécialiste convaincu que les Algériens y ont recours même s'ils affirment l'inverse. ...... [/QUOTE]
Insérer les messages sélectionnés…
Vérification
Répondre
Forums
Catégorie Principale
Actualités internationales
L'armée algérienne donne l'assaut, 35 otages et 15 ravisseurs auraient été tués
Haut