Massacre de Beni Messous 1997 :
Lordre venait du général Toufik
Samedi 31 Juillet 2010 -- Sur la chaîne satellitaire El Hiwar, dans lémission «Biwuduh », lex agent du DRS Karim Moulay, est revenu dans son témoignage sur certains drames qua connu lAlgérie durant le décennie noire. Du massacre de Sidi Youcef à Beni Messous au assassinats de personnes connues ou anonymes, Karim Moulay a dressé un tableau de ce que les citoyens avaient subi des années durant dans lAlgérois.
Le massacre de Beni Messous :
Selon le témoignage de Karim Moulay, lordre de massacrer les populations avait été donné par le général Toufik. Cétait un lieu idéal dinvestissement pour la famille du général qui avait déjà des ateliers dans le quartier et qui avait besoin délargir leur business, surtout après avoir reçu beaucoup dargent des banques et contracté des contrats juteux avec les Saoudiens et les Espagnols. Selon ses déclarations, le neveu du Général Toufik, le dénommé Abdellatif, était déjà installé dans les lieux avec trois ateliers et avait urgemment besoin dextension. « Abdellatif était un ami, je lui rendais visite souvent dans ses ateliers à Sidi Youcef. Mais un jour il mavait dit, au moment ou il soudait les portes de ses ateliers, ne viens pas me voir entre le 2 et le 10 septembre en insistant la dessus », a témoigné lex-agent qui a rajouté que plus de 200 personnes avaient été massacrées la nuit du 5 septembre 1997, à quelques lieux seulement des casernes. Par la suite, le reste des habitants avaient quitté les lieux en vendant leurs biens à des prix vraiment dérisoires.
Mars 1997 sur lautoroute Zeradil :
En mars 1997, sur lautoroute de Zéradil, sept citoyens avaient été assassinés par un groupe terroriste islamiste selon la presse de lépoque. Aujourdhui, Karim Moulay affirme sur le plateau de la chaîne El Hiwar quil était sur les lieux. Avec Abassi dit Abdelkader, son officier traitant, et quatre de ses acolytes, ils revenaient dun bar et ils avaient décidé cette nuit là de dresser un faux barrage. Ils sétaient, excepté lui, déguisés en islamistes, avec des barbes et des « kamisses » afghans, et ils avaient arrêté deux véhicules sur lautoroute. Les sept passagers avaient été mitraillés après les avoir fait descendre de leurs voitures. Selon ses témoignages, leur chef Abassi disait quen poussant la barbarie à lextrême, nous aurons le soutien des occidentaux.
Lordre venait du général Toufik
Samedi 31 Juillet 2010 -- Sur la chaîne satellitaire El Hiwar, dans lémission «Biwuduh », lex agent du DRS Karim Moulay, est revenu dans son témoignage sur certains drames qua connu lAlgérie durant le décennie noire. Du massacre de Sidi Youcef à Beni Messous au assassinats de personnes connues ou anonymes, Karim Moulay a dressé un tableau de ce que les citoyens avaient subi des années durant dans lAlgérois.
Le massacre de Beni Messous :
Selon le témoignage de Karim Moulay, lordre de massacrer les populations avait été donné par le général Toufik. Cétait un lieu idéal dinvestissement pour la famille du général qui avait déjà des ateliers dans le quartier et qui avait besoin délargir leur business, surtout après avoir reçu beaucoup dargent des banques et contracté des contrats juteux avec les Saoudiens et les Espagnols. Selon ses déclarations, le neveu du Général Toufik, le dénommé Abdellatif, était déjà installé dans les lieux avec trois ateliers et avait urgemment besoin dextension. « Abdellatif était un ami, je lui rendais visite souvent dans ses ateliers à Sidi Youcef. Mais un jour il mavait dit, au moment ou il soudait les portes de ses ateliers, ne viens pas me voir entre le 2 et le 10 septembre en insistant la dessus », a témoigné lex-agent qui a rajouté que plus de 200 personnes avaient été massacrées la nuit du 5 septembre 1997, à quelques lieux seulement des casernes. Par la suite, le reste des habitants avaient quitté les lieux en vendant leurs biens à des prix vraiment dérisoires.
Mars 1997 sur lautoroute Zeradil :
En mars 1997, sur lautoroute de Zéradil, sept citoyens avaient été assassinés par un groupe terroriste islamiste selon la presse de lépoque. Aujourdhui, Karim Moulay affirme sur le plateau de la chaîne El Hiwar quil était sur les lieux. Avec Abassi dit Abdelkader, son officier traitant, et quatre de ses acolytes, ils revenaient dun bar et ils avaient décidé cette nuit là de dresser un faux barrage. Ils sétaient, excepté lui, déguisés en islamistes, avec des barbes et des « kamisses » afghans, et ils avaient arrêté deux véhicules sur lautoroute. Les sept passagers avaient été mitraillés après les avoir fait descendre de leurs voitures. Selon ses témoignages, leur chef Abassi disait quen poussant la barbarie à lextrême, nous aurons le soutien des occidentaux.