Menu
Accueil
Forums
Nouveaux messages
En ce moment
Nouveaux messages
Nouveaux messages de profil
Connexion
S'inscrire
Quoi de neuf
Nouveaux messages
Menu
Connexion
S'inscrire
Forums
Catégorie Principale
Actualités françaises
L’art au service de la cause des chibanis, « non reconnus à leur juste valeur »
JavaScript est désactivé. Pour une meilleure expérience, veuillez activer JavaScript dans votre navigateur avant de continuer.
Vous utilisez un navigateur obsolète. Il se peut que ce site ou d'autres sites Web ne s'affichent pas correctement.
Vous devez le mettre à jour ou utiliser un
navigateur alternatif
.
Répondre à la discussion
Message
[QUOTE="didadoune, post: 14542447, member: 374519"] [B] Une fresque représentant les chibanis orne un mur de la ville de Malakoff, en région parisienne. Un hommage à ces vieux travailleurs rendu par l'artiste Vince, qui explique le sens donné à son geste à Saphirnews. [/B] [U]La fresque est désormais terminée. L’artiste de street-art Vince a rendu, fin mai, un bel hommage aux chibanis, ces vieux travailleurs immigrés, retraités pour la plupart, qui ont été un pilier de la reconstruction de la France d’après-guerre. Le portrait de l'un d’eux trône sur la façade d’un immeuble situé à Malakoff, dans les Hauts-de-Seine.[/U] Visible du périphérique intérieur, entre la porte de Châtillon et la porte de Vanves, la façade donne à voir un homme d’origine maghrébine, les yeux fermés, ajustant sa cravate. A côté de lui, en plus petit et sur fond bleu, un homme d’origine subsaharienne, un casque de chantier vissé sur la tête. Au-dessus d’eux, le mot « chibani » est inscrit en grandes lettres blanches. Ce tableau de rue est tiré d’un magnifique portrait reproduit à partir d’une photographie de Mohand Dendoune, père de l'écrivain et journaliste Nadir Dendoune, arrivé d’Algérie en 1950 et désormais à la retraite. Quant à l’homme représenté à ses côtés, il s’agit de Messaoud, 61 ans, « celui qui conduisait la nacelle » sans qui la fresque n’aurait pu être réalisée, souligne Vince, précisant que le travail fut « très intensif, avec 12 heures de peinture par jour, qui a permis le bouclage en quatre jours ». [B]« C’est ma façon de rendre hommage aux principales immigrations en France » du XXe siècle au travers « de deux personnes complémentaires, l’un en costume du dimanche, l’autre en bleu de travail », nous indique-t-il plusieurs jours après la fin de son œuvre.[/B] [U][/U] [/QUOTE]
Insérer les messages sélectionnés…
Vérification
Répondre
Forums
Catégorie Principale
Actualités françaises
L’art au service de la cause des chibanis, « non reconnus à leur juste valeur »
Haut