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L’art au service de la cause des chibanis, « non reconnus à leur juste valeur »
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[QUOTE="didadoune, post: 14542448, member: 374519"] [B]« Mettre l’art au service d’une cause »[/B] L’artiste de 36 ans, qui avait carte blanche pour la réalisation d'une fresque grâce à la municipalité (PC) de Malakoff, raconte avoir commencé à peindre sans idée très précise quand il s’est rappelé de la photo de Mohand Dendoune. « Les chibanis ne sont pas reconnus à leur juste valeur. Mon tableau est un bon moyen de rendre hommage à ces hommes et de soulever des débats autour de leurs conditions de vie, des inégalités dans leurs pensions de retraite, du droit de vote qu’on ne leur a toujours pas accordé », lance-t-il.[B] De la fresque, « je ne veux pas juste qu’on se contente de dire que "c’est joli" mais qu’on pense à ces vieux qui crèvent de solitude, qui ne peuvent pas faire venir leurs familles, qui ont de plus en plus des problèmes de santé ». « C’est aussi un hommage au monde ouvrier en général », indique Vince, précisant avoir nourri la fresque de « petites références à l’histoire des luttes de l’immigration » comme les grèves de l’industrie automobile dans les années 1980.[/B] Il était donc important pour Vince que le mot « chibani » ait « un impact visuel fort », car il est « vu depuis pas n’importe quel périph : celui qui va vers Versailles. Si cela peut contribuer à faire connaitre la cause à ces populations de quartiers cossus, tant mieux ». Ce n’est pas son premier tableau de rue engagé : ce soutien de la cause palestinienne, qui a 15 ans d’expérience derrière lui dans l’art urbain, fait partie du Dip Social Klub, un collectif d’artistes et de militants politiques au service de l’éducation populaire. Nadir Dendoune, l’auteur de l’ouvrage Un tocard sur le toit du monde, qui raconte son ascension de l'Everest et qui fera l’objet d’un film en 2017, a partagé son émotion sur les réseaux sociaux. [B]« Pensées à tous nos papas qui ont tant œuvré pour la France et à qui on a rarement rendu hommage », [/B]avait-il fait savoir le 27 mai. « Pour moi, ce n’est pas que mon papa, c’est celui de tous les enfants d’immigrés maghrébins, africains ou même européens », confie-t-il à Saphirnews. « Il est une représentation de tous ces pères qui viennent d’ailleurs pour trimer en France. » Une démarche tant artistique que militante qui plait à un grand public. [URL]http://www.saphirnews.com/L-art-au-service-de-la-cause-des-chibanis-non-reconnus-a-leur-juste-valeur_a22535.html[/URL] [/QUOTE]
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