L'avenir de Renault se joue au Maroc

Bladi Robot

Je suis un vrai robot!
Selon le magazine économique français l'Expansion, l'avenir de Renault se joue à Tanger. Le constructeur au losange est en train d'y construire une usine qui devrait être opérationnelle en 2012. Dans une déclaration à l'Expansion, Jacques Chauvet, le leader du Comité de Management de la Région Euromed, explique que Renault ne peut pas retarder le démarrage de son usine tangéroise car son unité basée en Roumanie a atteint sa capacité maximale de production. L'Expansion qui brosse un tableau du partenariat (...)-Economie / Implantation, Renault, Tanger, Presse, Automobile

L'avenir de Renault se joue au Maroc...
 
L'avenir de Renault est assuré.

Ils ont des usines dans plusieurs pays dont le Brésil. Ils en construisent d'autres, notamment au Maroc.
N'ont-ils pas prévu de construire une usine en Algérie aussi?
 
L'avenir de Renault est assuré.

Ils ont des usines dans plusieurs pays dont le Brésil. Ils en construisent d'autres, notamment au Maroc.
N'ont-ils pas prévu de construire une usine en Algérie aussi?

apparemment c'est en cours de negociation pour l'Algerie (50000 vehicules par an)
 
En Roumanie Renault produit sa Logan.
C'est une voiture simple (sans électronique) mais avec tout le reste possible: ABS, air bags, climatisation....

Tentant!
 

zigotino

FluCtuAt NeC MeRgitUr
VIB
Comment l'avenir industriel d'une si grande entreprise se jouerait dans un pays où sont marché n'est pas important ?

Il ne s'agit pas du Maroc en soit mais aussi et surtout de la plateforme logistique qui est stratégique pour la zone MENA (Middle East North Africa) voire Afrique sub-saharienne qui est intéressante pour Renault. Le Maroc qui désormais est au 9ème rang des économies arabes, en 61ème position sur le plan mondial et un taux de croissance de 5% en 2009.

Carlos Ghosn aurait été approché par B. Obama pour prendre la tête de GM en pleine tempête financière. Le mythique groupe US a réinvesti la Bourse de NYC d'ailleurs. Ghosn, celui que l'on appelait cost killer veut étendre l'influence du groupe français en s'implantant dans les pays émergents (Brésil, Russie, Inde, Chine) par le biai de joint venture (société à capital mixte). Après avoir redressé Nissan, il multiplie les accords stratégiques avec Daimler sur les berlines et la motorisation et n'exclue pas un rapprochement avec GM en déclarant resté "ouvert à un rapprochement avec GM" (cf. article)
 
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