Menu
Accueil
Forums
Nouveaux messages
En ce moment
Nouveaux messages
Nouveaux messages de profil
Connexion
S'inscrire
Quoi de neuf
Nouveaux messages
Menu
Connexion
S'inscrire
Forums
Société
Bien-être et Santé
Le cerveau d'hugo : film documentaire sur l'autisme
JavaScript est désactivé. Pour une meilleure expérience, veuillez activer JavaScript dans votre navigateur avant de continuer.
Vous utilisez un navigateur obsolète. Il se peut que ce site ou d'autres sites Web ne s'affichent pas correctement.
Vous devez le mettre à jour ou utiliser un
navigateur alternatif
.
Répondre à la discussion
Message
[QUOTE="mam80, post: 13658629, member: 228134"] Autisme : "L'État a une obligation de résultat" À l'occasion de la Journée mondiale de sensibilisation à l'autisme, dix familles attaquent l'État français pour faire reconnaître leurs droits. Entretien. Chaque année, environ 8 000 enfants naissent avec une forme d'autisme, soit un enfant sur cent. Et 650 000 personnes seraient touchées par des troubles du spectre autistique (TSA) en France. Seulement 20 % de ces enfants seraient scolarisés et 77 % d'entre eux n'auraient pas accès à un diagnostic précoce et à l'accompagnement adapté, une situation déjà dénoncée par le Conseil de l'Europe. Pis, d'après une enquête réalisée en 2014 par le collectif autisme, près de 44 % des personnes autistes ont été confrontées à des mauvais traitements ou des carences en matière de soins. La Journée mondiale de sensibilisation à ces troubles du développement est donc l'occasion, pour de nombreuses familles, d'exprimer leur colère. Une dizaine ont décidé d'attaquer l'État pour demander réparation de leurs préjudices et... faire bouger les lignes. Leur avocate, Me Sophie Janois, spécialisée dans la défense des personnes autistes, répond aux questions du Point.fr. [B]Le Point.fr : Quel est l'objectif du recours déposé par dix familles contre l'État en cette Journée mondiale de sensibilisation à l'autisme ?[/B] [B]Sophie Janois :[/B] Obtenir une indemnisation pour défaut de prise en charge adaptée de leur enfant autiste et, à travers cela, dénoncer le fait que, en dépit des droits spécifiques qui leur sont garantis, les personnes autistes sont constamment confrontées à leur non-respect, ce qui entraîne des situations catastrophiques, voire indignes de notre pays. [B]C'est-à-dire ?[/B] On a longtemps cru qu'en matière d'autisme on ne pouvait rien faire. Mais les choses ont changé depuis que la Haute Autorité de santé (HAS) a rendu ses recommandations en mars 2012. Elle a préconisé d'utiliser des méthodes éducatives, cognitivo-comportementales et développementales. Dès le plus jeune âge de l'enfant, on lui apprend à communiquer à l'aide de jeux ou de pictogrammes. Ces méthodes nous viennent essentiellement des États-Unis et du Canada (A.B.A., T.E.A.C.C.H., P.E.C.S.). Jusqu'alors, les psychiatres d'obédience psychanalytique en charge de l'autisme attribuaient à la mère la responsabilité des troubles de leur enfant, alors qu'il est maintenant établi qu'il s'agit d'un trouble neuro-développemental. .../.. [/QUOTE]
Insérer les messages sélectionnés…
Vérification
Répondre
Forums
Société
Bien-être et Santé
Le cerveau d'hugo : film documentaire sur l'autisme
Haut