Le conseil de sécurité se penche sur l'aide humanitaire en syrie

madalena

Contributeur
Contributeur
salam

Après le vote unanime d'une résolution sur les armes chimiques syriennes, le Conseil de sécurité des Nations unies va examiner cette semaine un projet de déclaration exhortant la Syrie à autoriser des livraisons d'aide transfrontalières et toutes les parties en conflit à accepter des 'trêves humanitaires'.
Un projet de texte en ce sens a été présenté par l'Australie et le Luxembourg aux autres membres du Conseil. Il devait être étudié lundi par les représentants permanents adjoints des Quinze.
Plus de deux millions de Syriens, des femmes et enfants pour l'essentiel, ont fui leur pays depuis le début du soulèvement contre le président Bachar Al Assad en mars 2011, et des millions d'autres sont déplacés à l'intérieur du pays. Seuls douze organisations humanitaires ont aujourd'hui l'aval du gouvernement syrien pour travailler dans le pays.
Des diplomates indiquent que la Russie, alliée de Damas, a fait preuve d'"engagement constructif" sur cette déclaration. Le représentant russe à l'Onu, Vitali Tchourkine, a fait savoir récemment que Moscou ne soutiendrait aucun texte sur l'ouverture de l'aide transfrontalière sans l'accord de Damas. Une déclaration présidentielle, contrairement à un à une résolution, n'est pas contraignante.

http://www.libe.ma/Le-Conseil-de-securite-se-penche-sur-l-aide-humanitaire-en-Syrie_a42647.htmle
 

UNIVERSAL

---lcdcjve---
VIB
salam

Après le vote unanime d'une résolution sur les armes chimiques syriennes, le Conseil de sécurité des Nations unies va examiner cette semaine un projet de déclaration exhortant la Syrie à autoriser des livraisons d'aide transfrontalières et toutes les parties en conflit à accepter des 'trêves humanitaires'.
Un projet de texte en ce sens a été présenté par l'Australie et le Luxembourg aux autres membres du Conseil. Il devait être étudié lundi par les représentants permanents adjoints des Quinze.
Plus de deux millions de Syriens, des femmes et enfants pour l'essentiel, ont fui leur pays depuis le début du soulèvement contre le président Bachar Al Assad en mars 2011, et des millions d'autres sont déplacés à l'intérieur du pays. Seuls douze organisations humanitaires ont aujourd'hui l'aval du gouvernement syrien pour travailler dans le pays.
Des diplomates indiquent que la Russie, alliée de Damas, a fait preuve d'"engagement constructif" sur cette déclaration. Le représentant russe à l'Onu, Vitali Tchourkine, a fait savoir récemment que Moscou ne soutiendrait aucun texte sur l'ouverture de l'aide transfrontalière sans l'accord de Damas. Une déclaration présidentielle, contrairement à un à une résolution, n'est pas contraignante.

http://www.libe.ma/Le-Conseil-de-securite-se-penche-sur-l-aide-humanitaire-en-Syrie_a42647.htmle
Jamais trop tard pour bien faire. Si ils tardent plus, il n'y aura plus grand monde à sauver.
Ce Ban Ki Moon, je le trouve un peu mou, il me rappelle Hollandouille.
 
Haut