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Le Coran et les récits apocryphes
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[QUOTE="Prizma, post: 10852472, member: 326371"] ... suite ... Plus loin, il ajoute que: Plus problématique encore pour identifier le passage coranique (18:60-65) aux histoires d'Alexandre est la tendance des spécialistes occidentaux de confondre les informations données dans le Coran et son interprétation dans les commentaires, tout comme les savants confondent le Coran et les commentaires par rapport au passage coranique (18:66-82). Dans le cas de l'épisode du poisson, Wensinck et d'autres n'ont pas prêté assez d'attention tant à la variété parmi les premiers commentaires, qu'au développement des explications du passage coranique (18:60-65) des premiers commentaires jusqu'aux plus tardifs. Par exemple, le passage (18:61) stipule que le poisson s'échappe "saraban ". L'emploi du terme "saraban" a été compris comme désignant l'évasion du poisson en tant que "miracle" dans la plupart des traductions de ce verset. Que le poisson se soit échappé par miracle serait compatible avec cet épisode ayant été tirée du Roman d'Alexandre, où le poisson, déjà mort, est ramené à la vie par l'eau de vie et nage au loin. Cette compréhension de l'évasion du poisson est en contradiction avec celle des commentaires, cependant. [22] Wheeler discute ensuite du commentaire d'At-Tabarî concernant la manière dont le terme "saraban" décrit l'évasion du poisson. At-Tabarî énumère trois explications sur la façon dont le terme "saraban" décrit l'évasion du poisson. La première explication dit que le poisson se fraye un chemin à travers une roche ou un passage d'eau que Moïse découvrit plus tard et qu'il suivit pour parvenir à Al-Khidr. Le second dit que, partout où le poisson nagea l'eau devint solide comme le rock, et Moïse a été en mesure de marcher sur l'eau pour parvenir jusqu'à une île sur laquelle il a rencontré Al-Khidr. La troisième explication précise que le poisson a traversé la terre ferme seulement jusqu'à ce qu'il atteigne l'eau. Dans toutes les trois explications, il est supposé que le mot "saraban" concerne le fait que le poisson s'échappa via la terre ferme. [23] Ainsi, il ya eu diverses interprétations données aux Coran 18:60-65 dans l'exégèse musulmane primitive. Wheeler ajoute que: Il y a aussi une petite indication qui indique que le passage coranique (18:60-65) a été initialement identifié aux histoires d'Alexandre, excepté dans deux rapports qui reflètent une tentative de lier le poisson dans le Coran avec l'épisode du poisson d'après les histoires d'Alexandre .... Cette interprétation dans la mesure où elle s'aligne sur les histoires d'Alexandre, doit être distinguée de l'information donnée dans le Coran lui-même. Le rapport d'Ibn `Abbas n'est ni le seul ni l'interprétation "originale" de ce passage, mais il s'agit plutôt d'une tentative de faire une association entre le Coran avec des récits extra-coraniques. [24] [/QUOTE]
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