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Actualités marocaines
Le Maroc leader du Maghreb en matière des droits politiques et et des libertés civile
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[QUOTE="thitrite, post: 6586268, member: 228473"] LES FAUX DENONCIATEURS DU MAROC:La critique acerbe du Maroc est un business très prisé par les journalistes espagnols et français. Ils y trouvent la bonne matière et souvent ils transgressent les règles simples du journalisme pour exploiter les mines intarissables des «on dit» des «sources qui requièrent l’anonymat», etc. Le Français Jean Pierre Tuquoi est un modèle du genre. Son plaisir le plus intense consiste à faire le bilan des violations des droits de l’homme et de tout ce qui pourrait plaire à ses lecteurs. Journaliste du Monde, il se base pour rédiger ses articles sur des témoignages d’acteurs «directs» sans qu’on puisse savoir lesquels. Ce qui évidemment lui laisse le champ libre pour dire ce qu’il veut. C’est une liberté que le journalisme n’offre pas, mais que des journalistes s’octroient pour se faire une place. Nous sommes dans le domaine des «rumeurs tenaces». Bien entendu tout ce que dit ce journaliste trouve preneur chez certains médias marocains qui veulent vendre leurs journaux et leurs magazines sans toutefois vérifier ce que dit l’auteur. Il les entraîne comme il veut sur un terrain plein de gaffes professionnelles. Pour eux, le fait que ce soit un Français qui offre l’information est déjà une preuve de vérité. Une réminiscence des sentiments des boys des fermiers français qui étaient sous un régime presque esclavagiste à l’époque du protectorat. Certaines publications algériennes y trouvent également matière. Elles ne se privent pas de critiques à force de reprises des passages les plus «croustillants». El Watan par exemple suit à la trace tout ce qui s’écrit sur le Maroc et surtout sur le roi. Lorsque Tuquoi a fait ses «révélations», El Watan a écrit que l’auteur a dévoilé «les aspects les plus cachés de la complicité entre la France et le Maroc, une complicité faite d’argent, de raison d’Etat et de services rendus». C’est que la monarchie marocaine ne laisse pas indifférent. Qu’on en dise du bien ou du mal, l’essentiel c’est qu’on en parle. Les nouveaux communicateurs du Palais savent en tirer profit. Partout à travers le monde, la politique internationale est faite de ce genre de pratiques. Personne ne s’en offusque, sauf les naïfs. Tuquoi intervient même dans les affaires du Sahara, qui reste marocain, jusqu’à ce que sa pertinence apporte la preuve irréfutable du contraire. Pour le lui, le Maroc corrompt les dirigeants du Polisario, les diplomates étrangers et même les dirigeants de l’ONU. On se demande dans ce cas, pourquoi l’ONU n’a pas réglé le problème il y a des décennies. Avec tout l’argent qu’ils ont dû prendre, les diplomates et les Onusiens auraient fait le nécessaire. Mais de telles informations qui n’ont pas de sources, faut-il le rappeler, ont un objectif, celui de perturber le processus entrepris par le Maroc. Tout est bon pour empêcher le conflit de trouver la voie de la résolution. Quant au journaliste qui déclenche ces hostilités, il sait qu’il ne risque rien et que ce qu’il écrit est lu au Maroc. Mais cela sert plutôt qu’il ne nuit au pays. Comme Tuquoi se charge des affaires entre le Maroc et la France, nous avons d’autres journalistes qui s’occupent des relations du Maroc et de l’Espagne. Ils savent sauter sur les occasions : l’affaire de l’îlot Leila par exemple. Ils savent dénicher les informations croustillantes puisées dans des «sources protégées». On le concède donc volontiers, le business de la critique est rémunérateur. Il l’est d’autant plus que ceux qui s’y adonnent ne courent aucun risque grâce justement à la liberté d’expression qu’ils renient au pays. Ils ont l’art et la manière de perturber, sauf que le jeu est actuellement usé jusqu’à la corde. En fait, c’est le business de tous les insatisfaits auxquels manque le fair-play nécessaire pour reconnaître leurs erreurs et leur mauvaise foi. On a parlé et reparlé du livre de l’ancien DG du Journal. Un hebdomadaire s’y est laissé prendre avant de s’apercevoir qu’il s’agit de fausses informations sans fondement aucun. Il a dû par la suite se désavouer lui-même sur toute une page pour se dédouaner. Les ragots font vendre plus. Mais nous ne sommes plus dans le domaine de la presse et de la liberté d’expression. Nous sommes dans n’importe quelle taverne où on dit ce qu’on veut, «la langue de l’ivrogne n’a pas d’os» comme on dit si bien. SUITE sur post suivant ..... [/QUOTE]
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