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L'effarant témoignage d'enseignants confrontés à la misère de leurs élèves
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[QUOTE="Docours, post: 13736967, member: 369717"] Imposer à des profs de travailler sur place c'est en faire des fonctionnaires dans le mauvais sens du terme. A 16h (ou 17h), on ferme les bureaux et plus personne n'est là. Il n'est pas rare (du tout) que je reste sur place jusque 2h du mat'. Quand je postais hier, j'étais encore sur place à bidouiller mes serveurs et postais durant les temps morts où je ne pouvais plus intervenir. Pas rare de donner rendez-vous à un parent à 21h parce qu'il travaille tard et de rester jusque 22-23h pour parler de son môme. Pas rare de rester jusqu'à ces heures pour lancer des projets avec les collègues concernant une nouvelle salle d'info, un nouveau projet pédagogique pour souder les élèves et élargir leurs horizons, etc... Alors des profs feignants, oui, ça existe. Mais il faut absolument cesser avec cette légende des 20h/semaine, ça n'existe tout simplement pas. Même chez les feignants. Les manuels qualifiés gagnent aujourd'hui plus que moi. Question d'offre et de demande. Par contre, en terme d'investissements, effectivement il vaut "moins" qu'un master. Au prix des études et des 5 ans de salaire perdu à frotter son séant sur les bancs des unifs. En terme humain, je reconnais parfaitement toutes les qualités qu'il peut avoir (comme partout, il y a des couillons sans vraies qualifications). Le fameux "corporatisme" qui est tel que lorsque je me suis fait braqué en cours avec une arme à feu, pour la deuxième fois, je n'ai pas eu grand monde pour me soutenir... Tu énonces un fait alors que dans le vécu des profs, c'est souvent le contraire qui en ressort : on se sent terriblement seul et délaissé devant nos classes. Comme un acrobate sans filet qui entre en scène. D'apèrs certains collègues français, il est totalement impossible dans le système actuel de pouvoir être muté dans la région que l'on a choisi. En gros le prof est un nomade balladé au gré des envies de son employeur. [/QUOTE]
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