Le traditionnel sandwich jambon-beurre, consommé plus d'un milliard de fois en France en 2015 mais talonné par le burger, a vu ses ventes reculer mais son prix s'envoler, selon un indice publié mardi.
Il s'est vendu 1,23 milliard de jambon-beurre en 2015, soit 55% de tous les sandwichs (contre 58% l'année précédente).
Sa consommation a ainsi chuté, pour la deuxième année consécutive, de 3,22%.
Les Français ont dans le même temps englouti 1,19 milliard de burgers, soit 11,21% de plus qu'au cours de l'année précédente.
Le burger tire son épingle du jeu. "La burger mania ne s'arrête pas. On se maintient à une croissance à deux chiffres. Si ça continue comme ça, on peut imaginer que dans deux ans il va se vendre autant de jambon-beurre que de burger", estime Bernard Boutboul, directeur du cabinet Gira Conseil, interrogé par l'AFP et qui publie chaque année cet indice.
Selon lui, "le burger s'envole grâce au service à table", c'est-à-dire à son développement dans des restaurants plus traditionnels de restauration dite "à table", par opposition à la restauration rapide. "Le poids de McDonald's, Quick et Burger King est dérisoire puisqu'il ne représente qu'un tiers (34%) des 1,19 milliard de burgers vendus en 2015".
Aujourd'hui, "75% des restaurateurs ont un burger à leur carte et 80% d'entre eux nous disent qu'il est devenu le leader de leurs ventes", souligne M. Boutboul.
leparisien
Il s'est vendu 1,23 milliard de jambon-beurre en 2015, soit 55% de tous les sandwichs (contre 58% l'année précédente).
Sa consommation a ainsi chuté, pour la deuxième année consécutive, de 3,22%.
Les Français ont dans le même temps englouti 1,19 milliard de burgers, soit 11,21% de plus qu'au cours de l'année précédente.
Le burger tire son épingle du jeu. "La burger mania ne s'arrête pas. On se maintient à une croissance à deux chiffres. Si ça continue comme ça, on peut imaginer que dans deux ans il va se vendre autant de jambon-beurre que de burger", estime Bernard Boutboul, directeur du cabinet Gira Conseil, interrogé par l'AFP et qui publie chaque année cet indice.
Selon lui, "le burger s'envole grâce au service à table", c'est-à-dire à son développement dans des restaurants plus traditionnels de restauration dite "à table", par opposition à la restauration rapide. "Le poids de McDonald's, Quick et Burger King est dérisoire puisqu'il ne représente qu'un tiers (34%) des 1,19 milliard de burgers vendus en 2015".
Aujourd'hui, "75% des restaurateurs ont un burger à leur carte et 80% d'entre eux nous disent qu'il est devenu le leader de leurs ventes", souligne M. Boutboul.
leparisien