Menu
Accueil
Forums
Nouveaux messages
En ce moment
Nouveaux messages
Nouveaux messages de profil
Connexion
S'inscrire
Quoi de neuf
Nouveaux messages
Menu
Connexion
S'inscrire
Forums
Catégorie Principale
Actualités françaises
L'enquête sur le scandale IGS menée avec rigueur, dit le parquet
JavaScript est désactivé. Pour une meilleure expérience, veuillez activer JavaScript dans votre navigateur avant de continuer.
Vous utilisez un navigateur obsolète. Il se peut que ce site ou d'autres sites Web ne s'affichent pas correctement.
Vous devez le mettre à jour ou utiliser un
navigateur alternatif
.
Répondre à la discussion
Message
[QUOTE="nkin00, post: 9835305, member: 317102"] Or, selon LePoint.fr, Jean-Pierre Delcher a affirmé lors de son audition avoir été trahi par son propre service, dont l'un des membres aurait imité sa signature sur le faux procès-verbal présumé qui met en cause Yannick Blanc, l'ex-directeur de la police générale à la préfecture de police, marqué à gauche. "Si l'on a décidé de mettre mon nom à mon insu sur un procès-verbal, en imitant mon visa, pour y porter des accusations infondées ou mensongères à l'encontre d'un fonctionnaire de haut rang, c'est que le ou les auteurs connaissaient parfaitement l'état de santé physique et psychique qui était le mien", dit-il dans un extrait de son audition publié par le site de l'hebdomadaire. Selon Jean-Pierre Delcher, l'auteur du faux pensait qu'il aurait succombé tôt ou tard à la grave maladie qui le touchait, ce qui n'aurait jamais permis de découvrir la manipulation. La signature d'un autre officier du service aurait été usurpée, ajoute LePoint.fr. L'instruction en cours doit déterminer qui a monté ce "chantier", en jargon policier, et qui pensait pouvoir en bénéficier. Les trois fonctionnaires injustement accusés de corruption et mis en examen dans un premier temps ont bénéficié d'un non-lieu les 1er juin 2010 et 4 janvier 2011, confirme le parquet. Une autre enquête pour violation du secret de l'instruction a été ouverte après une plainte de Bruno Triquenaux, qui travaillait pour Yannick Blanc. Dans cette enquête, le préfet de police de Paris, Michel Gaudin, a été entendu comme témoin assisté en tant que signataire de la lettre de suspension de ce fonctionnaire, rappelle le parquet. Dans Le Monde, Michel Gaudin se défend à nouveau d'avoir eu connaissance d'éléments judiciaires visant Bruno Triquenaux. Il "s'honore" d'être un ami de Nicolas Sarkozy mais ajoute : "J'ai servi tous les gouvernements successifs avec loyauté, parce que c'est comme ça que je conçois mon métier". [/QUOTE]
Insérer les messages sélectionnés…
Vérification
Répondre
Forums
Catégorie Principale
Actualités françaises
L'enquête sur le scandale IGS menée avec rigueur, dit le parquet
Haut