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[QUOTE="mam80, post: 14792379, member: 228134"] suite Dans les écoles d’ingénieurs, traditionnellement vouées à enseigner des compétences techniques, la révolution soft skills a déjà eu lieu. « L’ingénieur n’est plus seulement le gestionnaire de la technique, car celle-ci s’est automatisée et numérisée. Il est devenu une interface entre la technique et les fournisseurs, entre les clients et son entreprise », analyse Denis Lemaître, le directeur de la formation de l’Ecole nationale supérieure des techniques avancées (Ensta) Bretagne. Comme le manageur, l’ingénieur doit posséder des compétences en communication. D’autant que la CTI (commission des titres d’ingénieurs) impose désormais un volet « humain » dans son référentiel de compétences. « Nous essayons de ne pas déconnecter ces compétences d’avec les valeurs de notre école – éthique et réflexivité –, qui a été fondée par le philosophe Gaston Berger. Il ne faut pas confondre soft skills et recettes de cuisine », nuance Christophe Odet, directeur adjoint de l’Institut national des sciences appliquées (Insa) de Lyon. Potentielle dérive utilitariste A l’université, les soft skills sont encore largement absentes des cursus, en dehors des filières de gestion, de management et de ressources humaines. Cette année, les universités de Paris-Dauphine et d’Avignon ont, elles, mis en place des « enseignements d’ouverture ». A Dauphine, la participation des étudiants de premier cycle y est obligatoire, mais elle n’est pas notée.« L’idée est de faire émerger des êtres singuliers, pas des super-QI sur pattes. Les “soft skills” que nous essayons de transmettre ne doivent pas être le reflet d’une société savante, mais au centre d’une aventure humaine » Catherine Chouard, ancienne directrice des ressources humaines, a animé le premier module de soft skills dans un amphithéâtre de 800 places, avec des étudiants de première année de licence équipés d’un boîtier digital. Moyenne d’âge : 17,5 ans. « L’idée est de faire émerger des êtres singuliers, pas des super-QI sur pattes, précise-t-elle. Les soft skills que nous essayons de transmettre ne doivent pas être le reflet d’une société savante, mais au centre d’une aventure humaine. »Dominique Steiler, attire l’attention sur une potentielle dérive utilitariste de ces « compétences comportementales » : « Si l’on pense au retour sur investissement de la bienveillance, est-ce encore de la bienveillance ? La gratitude ne doit pas être au service du profit et de l’hyperperformance de l’entreprise. On ne peut pas la quantifier, encore moins avec une barre de niveau sur un CV, ça n’a pas de sens ! » .../... [/QUOTE]
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