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[QUOTE="Drianke, post: 15984922, member: 174325"] En poésie liturgique, il apprend, à la maison et à la madrasat de son père l’œuvre monumentale de l’illustre compagnon Ka’ab ibnou Zouhayr , « Banat Sou’and », « Madaridjou al ’Ounlat », d’un des shouyoukhs de son maître, dont il lit l’introduction et quelques parties, « Ta’iyatou al Soulouki ila Maliki al Moulouki », « Nafhatou al Wardat fi manhadji al bourda », du célèbre poète et grammairien comorien Bourhane Mkallé et le début de « Salatou al Moudhar ». Avec l’aide de son grand frère Ibrahim le jeune Mohamed Bajrafil va apprendre par cœur la quasi-totalité des poèmes du recueil de l’Imam ash Shafi’i. Lorsque son chemin croise celui de son maître en Tadjweed (Shaykh Swalih Boina, diplômé de l’université de Médine), il apprend les règles de la lecture du Coran, selon la lecture de Hafs et les achève avant l’âge de dix ans. Là aussi son grand frère Ibrahim va jouer un rôle décisif, car il va faire apprendre par cœur à Mohamed un « petit » manuel entier de sciences de lecture du coran (tadjweed) appelé « Al Zahrou al Moufid fi ‘ilmi al tadjweed ». S’étant rendu compte très vite de son penchant pour la récitation des Abdelbasset et autres Moustwafa Isma’il, lecteurs du coran égyptiens de renom, il garde régulièrement le petit Badjarafil dans une chambre afin qu’il écoute en boucle une récitation du Coran, par ces grands lecteurs, comme qui il fallait qu’ il lise, par la suite, en imitant aussi bien leur mélodie que leurs pauses et autres prononciations. Bien que sa formation en tadjweed se soit achevée très tôt, son maître et ses paires n’hésitaient jamais à reprendre le jeune en public, lorsqu’il commettait une faute de tadjweed (sans doute, pour lui enseigner très tôt l’humilité du savoir). A partir de 1988 les premières récitations coraniques du petit Mohamed âgé de 10 ans seront diffusées à la radio nationale. A l’âge de onze ans, Ibrahim l’emmène au Shaykh Abou Bakr Ibn Abdillah, jamal allayl, dont il était déjà l’élève, afin qu’il apprenne les classiques de la grammaire arabe. Il y passe 7 ans, pendant lesquels il a appris et écouté, tous les matins, entre 3h et 4h du matin, les trois volumes de « Nahw Al Wadhih », « Qatrou al Nada » d’Ibnu Hisham et « Al Fiyatou » d’Ibn Malik, que lisait, auprès du Shaykh, Ibrahim et « Shoudhour al Dhahab » d’Ibnu Hisham aussi, que lisait un autre frère appelé Mouhammad Al Badadaoui, jeune azharite, actuellement en thèse de doctorat en lettres arabes, à l’université de Rabat (au Maroc) et déjà l’auteur de nombreux recueils de poèmes liturgiques. Très jeune il a la chance, d’approcher le grand mufti dont il suit, de très loin, les cours d’exégèse, pendant le mois de ramadan, à la grande mosquée de Moroni, comme il suit à la radio, quasiment au même moment, ses cours sur les sagesses d’Ibn Ata’i llah as Sakandari. Dans la même foulée, il va rencontrer et faire la connaissance, par son père, du président du conseil des ulémas des Comores Shaykh Mouhammad Sharif, dont Ibrahim était l’élève, et l’actuel mufti de la diaspora comorienne, Shaykh ‘Ali Mouhammad Qassim, auprès de qui il apprend de nouveau une partie de « Hadiyyatou al Ikhwane », à l’âge de neuf ans et d’autres savants. [/QUOTE]
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