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[QUOTE="jovial, post: 6312599, member: 230181"] Sur le principe, absolument d'accord avec ta position. Mais ne faudrait-il pas instituer des "gardes-fous" afin que cette immigration de retraités ne fasse pas exploser les prix? Il est dit qu'à Tanger (ville touristique par excellenece), il est devenu quasiment impossible pour les citoyens marocains d'acheter un appartement voire même ne serait-ce qu'un terrain pour construire. A Marrakech, la situation est analogue. ____________________________ Marrakech est entourée par une merveille de la nature : l'oasis la plus méridionale du Maroc, à 60 kilomètres des neiges de l'Atlas. Une palmeraie plantée au XIe siècle par la dynastie des Almoravides, fondateurs de la ville. La moitié des 6 000 hectares boisés appartiendraient à l'Etat (dont le ministère des Habous et des Affaires islamiques) et l'autre à des propriétaires privés. «Ce site exceptionnel et emblématique est dilapidé par les grandes multinationales du tourisme », s'énerve Youssef Sfaïri. Cet ingénieur des Eaux et Forêts a fondé en 2001 une petite ONG locale pour défendre la palmeraie et ses habitants. En effet, la pression foncière est croissante : extension des banlieues populaires ou résidences grand standing lovées entre les arbres, comme l'hôtel Palmeraie Golf Beach, le nouveau village du Club Med, ou toutes ces somptueuses villas. Aujourd'hui un hectare se vend jusqu'à 700 000 euros contre environ 5 000, il y a dix ans. Quand on s'écarte un peu de la névralgique place Djamaâ-el-Fna pour s'enfoncer dans le calme des derb - ces maisons traditionnelles assemblées autour d'une impasse -, on ne peut pas se tromper : de plus en plus de portes en bois vernies, de façades ravalées, de terrasses verdoyantes... «C'est le signe que ces anciennes demeures avec patio des grandes familles commerçantes sont passées aux mains d'étrangers», décrypte Khalid Bounouis en déambulant dans les ruelles. Cet ancien courtier marrakchi a ouvert son agence immobilière en 2002. «Il y a encore quelques bonnes affaires, mais les prix ont explosé avec la demande.» Il y a quatre ans, on pouvait trouver un riad d'environ 300 mètres carrés (avant travaux) pour 50 000 euros. Aujourd'hui, il faut débourser cinq fois plus. [/QUOTE]
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