S’il y a un homme omniprésent dans la vie des habitants d’Essaouira, c’est bien Miloud Chaabi. Assis sur une fortune estimée à plus de 40 milliards de
dirhams, le patron de Ynna Holding a bâti son influence en investissant 5 milliards de dirhams dans sa région natale. Cette somme est répartie entre projets économiques portés par ses sociétés intervenant dans l’immobilier, la grande distribution et le tourisme, et projets sociaux se matérialisant sous la forme d’une douzaine de mosquées, une université et une dizaine de maisons de l’étudiant pour loger les élèves sans ressources.
Un richissime bienfaiteur Aujourd’hui, L’haj Miloud, en plus d’être le premier employeur de la région, est aussi présent à chaque échelon de la vie quotidienne des Souiris, de la prière du vendredi aux courses du week-end au supermarché, en passant par l’habitat via sa ville nouvelle d’Essaouira-Al Jadida, bâtie à la sortie de l’ancienne Mogador. La nouvelle cité, avec ses 11 000 logements, est la grande fierté du milliardaire, qui rappelle souvent que la “banlieue” Essaouira-Al Jadida compte autant, sinon plus, d’infrastructures et d’équipements socio-éducatifs que sa grande soeur, la ville des Alizés. Arc-bouté sur son pouvoir d’entrepreneur,il a consolidé son image d’enfant de la région aux petits soins pour l’économie locale en y inaugurant (pour le symbole)son premier hôtel sans alcool en 1999, ainsi qu’un Aswak Assalam en 2010, un autre exemple de sa “sollicitude”. L’haj Miloud s’est aussi bâti l’image d’un bienfaiteur jamais avare de ses deniers. Il accorde une pension mensuelle de 200 dirhams à 4000 démunis et construit, à l’heure actuelle, un centre de dialyse qui assurera gratuitement ses prestations.
http://www.telquel-online.com/441/images/puissants.pdf
dirhams, le patron de Ynna Holding a bâti son influence en investissant 5 milliards de dirhams dans sa région natale. Cette somme est répartie entre projets économiques portés par ses sociétés intervenant dans l’immobilier, la grande distribution et le tourisme, et projets sociaux se matérialisant sous la forme d’une douzaine de mosquées, une université et une dizaine de maisons de l’étudiant pour loger les élèves sans ressources.
Un richissime bienfaiteur Aujourd’hui, L’haj Miloud, en plus d’être le premier employeur de la région, est aussi présent à chaque échelon de la vie quotidienne des Souiris, de la prière du vendredi aux courses du week-end au supermarché, en passant par l’habitat via sa ville nouvelle d’Essaouira-Al Jadida, bâtie à la sortie de l’ancienne Mogador. La nouvelle cité, avec ses 11 000 logements, est la grande fierté du milliardaire, qui rappelle souvent que la “banlieue” Essaouira-Al Jadida compte autant, sinon plus, d’infrastructures et d’équipements socio-éducatifs que sa grande soeur, la ville des Alizés. Arc-bouté sur son pouvoir d’entrepreneur,il a consolidé son image d’enfant de la région aux petits soins pour l’économie locale en y inaugurant (pour le symbole)son premier hôtel sans alcool en 1999, ainsi qu’un Aswak Assalam en 2010, un autre exemple de sa “sollicitude”. L’haj Miloud s’est aussi bâti l’image d’un bienfaiteur jamais avare de ses deniers. Il accorde une pension mensuelle de 200 dirhams à 4000 démunis et construit, à l’heure actuelle, un centre de dialyse qui assurera gratuitement ses prestations.
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