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[QUOTE="Ancien-Membre, post: 7017530, member: 364996"] Le trésor de guerre de Mohammed Rachid L’histoire du compte à partir duquel Arafat et son fidèle conseiller financier Mohammed Rachid ont procédé à des investissements à tout va illustre l’ambivalence. Au milieu des années 90, Mohammed Rachid, un Kurde, ouvre un compte à la banque Leumi, à Tel-Aviv. Les autorités israéliennes en sont informées : Israël collecte une partie des taxes sur les marchandises importées vendues en Palestine, et en rétrocède le montant. L’argent devait atterrir dans les mains de l’Autorité palestinienne. Au lieu de cela, il atterrit sur ce compte, et devient à partir de 1997 le trésor de guerre de Mohammed Rachid et d’une série d’intermédiaires. Une partie des fonds est envoyée en Suisse puis investie. Collecte de la TVA mais aussi de la taxe à la consommation sur des biens courants, mise à profit du monopole sur la vente du ciment et de l’essence : les détournements sont variés. Rachid et son équipe investissent aussi sur place dans une usine d’embouteillage de Coca-Cola à Ramallah ou dans le casino de Jéricho. Depuis, Fayyad a contraint Arafat à regrouper des actifs éparpillés, dans un compte unique du Trésor. Le FMI, joint hier, assure qu’une partie des placements est revenue dans le giron collectif des Palestiniens, sous l’autorité de Fayyad. Appelé « the radical bean counter » par le New York Times * le comptable à la mentalité d’épicier *, celui-ci continue coûte que coûte d’essayer de mettre de l’orthodoxie dans les affaires palestiniennes. Il a interdit le paiement en cash des 53 000 officiers de sécurité, contraint les caciques à se servir de virements et de chèques. Mais une partie des bénéfices tirés de ces investissements a, semble-t-il, disparu. Il est difficile d’évaluer la fortune d’Arafat à 300 millions de dollars, comme l’a fait le magazine Forbes l’année dernière, en lui imputant la propriété de ces investissements. Il est tout autant difficile de suivre les affirmations tempétueuses des services secrets israéliens, qui, voici deux ans, avançaient le chiffre de 1,3 milliard de dollars devant les députés de la Knesset. Le mystère reste entier. Enquête et blanchiment Les mésaventures de Souha Arafat n’ont guère permis de progresser. En 2003, le parquet de Paris, saisi par Tracfin, le gendarme des opérations indélicates, ouvrait une enquête préliminaire pour « blanchiment » : deux comptes, de 9 millions d’euros au total, au nom de Souha Arafat ont été découverts à Paris, au sein de la BNP et de l’Arab Bank. L’enquête, confiée à l’Office de répression de la grande délinquance financière, n’aurait « rien donné pour l’instant », selon une source judiciaire. Restent que les comptes de madame Arafat étaient régulièrement alimentés. Ils figureront en bonne place des disputes d’héritage [/QUOTE]
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