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[QUOTE="zigotino, post: 14034738, member: 22835"] Les belles familles marocaines ont encore cet espèce d’archaïsme civilisationnel. On entend régulièrement des propos pseudo bon enfant comme "nta weldi" ou "nta benti" auxquels beaucoup déchantent; rattrapés qu'ils sont par les réalités de l'homme "animale social". La belle famille marocaine de base est trop présente généralement. Intrusive à souhait souvent bien que cela dépende, il est vrai, de la configuration. Dans des cas, bien que vous cherchez à les éviter, eux c'est tout le contraire, ils cherchent votre amitié et vous kiffent. Vous comprendrez plus loin pourquoi ! Fuis moi je te suis. Suis moi je te fuis :D ! Comme entre certains mecs et certaines nanas. Le paradoxe des Hommes dans leur bêtise subite. Moi je dis, un principe de base. La distance est thérapeutique car très vite, tu chasses le naturel il revient au galop et la connerie humaine, déjà très présente entre un homme et une femme lambda se surajoute ne facilitant pas les choses parce qu'ensuite, cela créé des situations inextricables ou l'un ou l'autre ou les deux ont le Q entre deux chaises. Elle sa famille (dont son frère ou sa soeur tête à claque). Lui, sa mère sacrée et son père adulé (sauf cas soc). J'ai vu des cas où la belle famille a carrément provoqué la séparation des deux tourtereaux. La belle mère s’immisçant dans les affaires du couple. Tantôt c pour donner un avis sur la déco de la maisonnée fraichement ornée de quincaillerie marocainesque (tajine, verres claqués clinquants, thé à la menthe, briouates et autres maroquineries) . Tantôt en demandant tjrs plus et ce, tout en respectant un sacro saint principe capitaliste moderne qui consacre l'individualisme feint en amour épris "Socialisation des pertes et privatisation des gains". Sans compter les bisbilles pour fêter les anniversaires tantôt chez une famille tantôt chez une autre. Et tous les cérémoniaux couscoussaux y passent. Aid sghir, aid kebir, ftour ramadanesques, coupage de zgueg, etc... De quoi pourrir le cerveau lol d'un couple sensé vivre d'amour et d'eau fraîche de Sidi Harazem. La fille aimant toujours aller chez maman. L'amitié entre femme est un fantasme mais la relation se transforme aisément an alliance quand il s'agit de fourrer le mari qui finit parfois en slip lol face à une belle famille médusée face à ce qu'ils n'avaient vu venir. La flagornerie. Forcément, elle s'y sent mieux. Femme et belle mère, je vous raconte pas. Si en plus il y a un gap générationnel. Entre la belle mère d'un autre temps et la belle fille émancipée (comprenez je m'enfoutiste et en mode "j'ai ma dime ferme la chérie) ya souvent de la TNT dans l'air :D voire du SEMTEX D'ailleurs, à cet égard, généralement, les Marocaines sont assez immatures en la matière. Couper le noeud gordien, elles savent pas ce que c'est. Le mariage, dans la structure bledarde de base de milieux sociaux svt modestes signifie "extension du domaine de la lutte". La femme d'auj attend ce que l'homme soit en mode homme à l'ancienne "rajel". Et la femme, en mode moderne. Comprenez moins j'en fous et mieux je me porte. Ce qui nous mène tout logiquement vers l'homme émasculé chez à Zemmour. concept fort intriguant. Cet homme qui n'obtient pas la garde des enfants quand ça part en quenouille entre les deux anciens amants aimés. Le code civil a gardé la notion de "bon père de famille". Cet homme qui doit torcher les enfants et s'en émerveiller au nom de la parité foireuse, passer la serpillère d'un air Madame Doubtfire (c'est sexy disent les sottes) et tout le tralala moderniste nihiliste que tous les hommes pigeons qui ont renoncé au patriarcat connaissent (généralement, ceux là finissent avec les filles de joie pour se consoler ou une fille du bled descendue de son arrière pays même si, dit on, elles apprennent vite, les tenants de la gynocratie désormais installée jusque dans les maisonnée marocaine. En somme, pour résumer. Chacun chez soi et les chiens sont bien gardés. Seule la mort vous soulagera hihihi (de votre belle mère). Bon courage aux mariés et vive la mariée puisque c'est l'homme qui se fait fourrer dans la société post patri linéaire ! Vous aurez remarqué que l'on ne parle que de la belle mère. Le beau père, il vit sa vie. Comme tout homme respectable, ce qui l'importe, c'est le bled et finir sa vie paisiblement en mangeant ce qui reste de gastronomie marocaine (Chichawa ? SOS Poulet ?). Qu'il aime a rejoindre sans doute pour secouer une donzelle plus jeune aux sons de Khaled (pour les buveurs de liqueur) ou Demsiriya (pour les chleuh) voire Bourgone (bou-grone ?). [/QUOTE]
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