Gainsbourg, l’homme à tête de chou qui séduisit les plus belles femmes du monde, avait pour habitude de dire : “La laideur a ceci de supérieur à la beauté, c’est qu’elle dure”. Bon, évidemment, il défendait son beefsteak. Rivant le clou à la beauté factice, tout en faisant dans la promotion de ses oreilles décollées.
Quant à nous, de manière instinctive, on a nettement plus envie de changer de trottoir quand on se fait draguer par un disgracié, au visage tenant de la peinture cubiste, que lorsqu’on croise le clone de Ricky Martin. C’est un fait, l’harmonie esthétique qui se dégage de la bogossitude masculine nous fait battre des cils et flatte par ricochet notre propre ego, devant les autres.
Néanmoins, si on se fait un arrêt sur image… parfaite, on peut aussi tomber, à la fois, sur son nez et sur un os : l’homme beau mais creux comme une superbe vasque qui a définitivement enterré sa propension à cultiver ses autres qualités ! Le charme, ce savoir-faire qui se travaille, passe ainsi à la trappe, jugé accessoire inutile. Beauté et vibrations nulles, l’ennui guette… C’est presque l’histoire de la petite fille riche, qui a tout mais échangerait bien tout l’or du monde contre de la conversation ! Belle gueule sans consistance ou laid avec petit supplément d’âme, Célibattante se pose donc moult questions.
En effet, Quasimodo rivalise tellement d’humour et d’esprit de répartie qu’elle a du mal à tenir à distance ce tenace qui revient à l’assaut pour la séduire, avec une patience infinie. Car, à cause ou plutôt grâce à son physique disgracieux, notre chauve bedonnant est un homme averti qui a fini par en connaître un rayon sur les mystères de l’âme féminine. Quand Adonis se considère comme un cadeau ambulant, Ahmed, digne représentant de la catégorie pas gâtés, apprend à compenser sa “tare” en la noyant sous d’autres attributs développés au fil du temps (confident de bonnes copines, poète romantique, magicien de l’instant etc….
Eh bien, oui, outre que l’homme laid nous fait sentir très femme et très belle (et pas uniquement à cause de la dissonnance physique), il nous révèle aussi des vérités qu’on a tendance à oublier : “la beauté ne se mange pas en salade !”. En d’autres termes, l’apparence n’est pas tout et, en dépit du fait qu’on vive dans un monde qui la plébiscite, on peut aussi nager à contre courant, en se plaçant sur un registre plus profond.
Où King Kong, gringalet et tous les mecs inimaginables auraient leur place. Qu’on se le dise : le laideron est une valeur sûre qui vieillit bien. Sans jamais prendre des allures de vieux beau pathétique sur le retour.
Et si vous craquez complètement pour sa cervelle d’or, ses caresses exquises, sa fidélité sans faille et son sourire tordu, faites taire le concert de mauvaises langues, en affichant votre bonheur. Il y a tout à parier que vous lancerez la mode des couples version “la Belle et la Bête” !
Sources : Femmes du Maroc
Quant à nous, de manière instinctive, on a nettement plus envie de changer de trottoir quand on se fait draguer par un disgracié, au visage tenant de la peinture cubiste, que lorsqu’on croise le clone de Ricky Martin. C’est un fait, l’harmonie esthétique qui se dégage de la bogossitude masculine nous fait battre des cils et flatte par ricochet notre propre ego, devant les autres.
Néanmoins, si on se fait un arrêt sur image… parfaite, on peut aussi tomber, à la fois, sur son nez et sur un os : l’homme beau mais creux comme une superbe vasque qui a définitivement enterré sa propension à cultiver ses autres qualités ! Le charme, ce savoir-faire qui se travaille, passe ainsi à la trappe, jugé accessoire inutile. Beauté et vibrations nulles, l’ennui guette… C’est presque l’histoire de la petite fille riche, qui a tout mais échangerait bien tout l’or du monde contre de la conversation ! Belle gueule sans consistance ou laid avec petit supplément d’âme, Célibattante se pose donc moult questions.
En effet, Quasimodo rivalise tellement d’humour et d’esprit de répartie qu’elle a du mal à tenir à distance ce tenace qui revient à l’assaut pour la séduire, avec une patience infinie. Car, à cause ou plutôt grâce à son physique disgracieux, notre chauve bedonnant est un homme averti qui a fini par en connaître un rayon sur les mystères de l’âme féminine. Quand Adonis se considère comme un cadeau ambulant, Ahmed, digne représentant de la catégorie pas gâtés, apprend à compenser sa “tare” en la noyant sous d’autres attributs développés au fil du temps (confident de bonnes copines, poète romantique, magicien de l’instant etc….
Eh bien, oui, outre que l’homme laid nous fait sentir très femme et très belle (et pas uniquement à cause de la dissonnance physique), il nous révèle aussi des vérités qu’on a tendance à oublier : “la beauté ne se mange pas en salade !”. En d’autres termes, l’apparence n’est pas tout et, en dépit du fait qu’on vive dans un monde qui la plébiscite, on peut aussi nager à contre courant, en se plaçant sur un registre plus profond.
Où King Kong, gringalet et tous les mecs inimaginables auraient leur place. Qu’on se le dise : le laideron est une valeur sûre qui vieillit bien. Sans jamais prendre des allures de vieux beau pathétique sur le retour.
Et si vous craquez complètement pour sa cervelle d’or, ses caresses exquises, sa fidélité sans faille et son sourire tordu, faites taire le concert de mauvaises langues, en affichant votre bonheur. Il y a tout à parier que vous lancerez la mode des couples version “la Belle et la Bête” !
Sources : Femmes du Maroc