didadoune
VIB
Au cours des deux dernières décennies, le Maroc a développé ses relations commerciales avec plusieurs pays amis et voisins à travers la conclusion de nombreux accords de libre-échange.
Le Royaume a signé son premier accord d’association en 1996 avec l’Union européenne, entré en vigueur en 2000 et prévoyant un traitement spécifique pour les produits agricoles. En 2004, un accord a été signé avec les USA touchant à tous les secteurs de l’activité économique.
L’accord de libre-échange conclu avec la Turquie, la même année, entrait dans le cadre de la dynamisation du commerce régional en Méditerranée et devait totalement exonérer les produits industriels d’origine marocaine.
Le Maroc a également signé des ALE avec les pays membre de la Ligue Arabe, dans le cadre de l’accord de la grande zone arabe de libre-échange, mais aussi avec la Tunisie, l’Egypte et la Jordanie dans le cadre de l’accord d’Agadir et avec les Emirats arabes unis.
Le Royaume a également pris le soin de développer des relations commerciales avec des regroupements régionaux en Afrique en signant un accord commercial et d’investissement avec l’Union Economique et Monétaire Ouest-Africaine (UEMOA) et la Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale(CEMAC).
Ces accords conclus par le Maroc lui donnent accès à un marché qui compte plus d’un milliard de consommateurs. Cependant, l’offre exportable marocaine reste restreinte.
ALE : opportunités ou danger?
Si dans ces accords le Maroc voyait beaucoup d’opportunités, il faut dire que ces derniers ne lui ont pas tous été favorables. A titre d’exemple, les accords signés avec les Etats-Unis, l’Union européenne et la Turquie, pour ne citer qu’eux, n’ont fait que pénaliser davantage l’économie marocaine, et particulièrement l’industrie et l’agriculture. Le Royaume enregistre un déficit commercial avec la majorité des pays avec qui il a conclu un ALE.
Ces accords qui présentaient des avantages assurés, du moins sur le papier, et devaient booster les exportations du pays, non pas vraiment profité au Maroc et ont fragilisé son économie.
Le Royaume a signé son premier accord d’association en 1996 avec l’Union européenne, entré en vigueur en 2000 et prévoyant un traitement spécifique pour les produits agricoles. En 2004, un accord a été signé avec les USA touchant à tous les secteurs de l’activité économique.
L’accord de libre-échange conclu avec la Turquie, la même année, entrait dans le cadre de la dynamisation du commerce régional en Méditerranée et devait totalement exonérer les produits industriels d’origine marocaine.
Le Maroc a également signé des ALE avec les pays membre de la Ligue Arabe, dans le cadre de l’accord de la grande zone arabe de libre-échange, mais aussi avec la Tunisie, l’Egypte et la Jordanie dans le cadre de l’accord d’Agadir et avec les Emirats arabes unis.
Le Royaume a également pris le soin de développer des relations commerciales avec des regroupements régionaux en Afrique en signant un accord commercial et d’investissement avec l’Union Economique et Monétaire Ouest-Africaine (UEMOA) et la Communauté Economique et Monétaire de l’Afrique Centrale(CEMAC).
Ces accords conclus par le Maroc lui donnent accès à un marché qui compte plus d’un milliard de consommateurs. Cependant, l’offre exportable marocaine reste restreinte.
ALE : opportunités ou danger?
Si dans ces accords le Maroc voyait beaucoup d’opportunités, il faut dire que ces derniers ne lui ont pas tous été favorables. A titre d’exemple, les accords signés avec les Etats-Unis, l’Union européenne et la Turquie, pour ne citer qu’eux, n’ont fait que pénaliser davantage l’économie marocaine, et particulièrement l’industrie et l’agriculture. Le Royaume enregistre un déficit commercial avec la majorité des pays avec qui il a conclu un ALE.
Ces accords qui présentaient des avantages assurés, du moins sur le papier, et devaient booster les exportations du pays, non pas vraiment profité au Maroc et ont fragilisé son économie.
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