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L'imprudence des sunnites
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[QUOTE="muslim18, post: 8813832, member: 271149"] - Autre version de Bukhari 2, livre des expéditions militaires, chapitre 16, hadith numéro 4039: "Al-Bara ibn al-'Azib dit : Le Prophète (sws) envoya un groupe d'Ansarites à Abou Rafi' le juif (pour le tuer) et désigna à leur tête 'Abdallah ibn 'Atik al-Ansari (qui parlait couramment l'hébreu). Abou Rafi' avait beaucoup nui au Prophète (sws) à dépenser sa fortune à ameuter les tribus arabes pour combattre le Prophète (sws). Il était bien fortifié dans une de ses citadelles au Hijaz. Le groupe arriva dans les parages du fort après le coucher du soleil. Les gens étaient affairés à faire rentrer leur bétail. 'Abdallah ibn 'Atik dit à ses compagnons : "Restez là, je vais tenter d'amadouer le portier, peut-être me laissera-t-il passer!" Il s'approcha du portail du fort, se masqua le visage avec son vêtement, et fit semblant de traîner avec l'air affairé. Déjà tout le monde était passé; le portier l'appela : Ô toi! Si tu veux entrer, fais-le! Je veux fermer la porte! Après avoir passé la porte, je choisis une cachette, dit ibn 'Atik! Une fois que tout le monde fut à l'intérieur, et la porte fermée, le portier accrocha les clefs à un piton. J'allai prendre les clés et j'entrouvris la porte. Cette nuit-là, Abou Rafi' avait des invités. Il était à l'étage supérieur. Quand ses compagnons partirent, j'y suis monté. Chaque fois que j'ouvrais une porte, je la refermais derrière moi de l'intérieur en me disant : s'ils s'aperçoivent de ma présence, ils ne pourront m'atteindre qu'après avoir tué Abou Rafi'. Je finis par arriver jusqu'à lui, dans une chambre où il faisait noir. Il était parmi ses femmes et je ne pouvais pas deviner où il se trouvait! Je l'appelai alors par son nom. "Qui est-ce?" me dit-il. Je courus dans la direction de la voix, et je lui donnai un coup d'épée! J'étais tout essoufflé ; cela ne donna pas le résultat escompté ; il se mit à hurler! Je ressortais sans trop m'éloigner, puis je m'introduisis une deuxième fois dans sa chambre. "Abou Rafi', lui dis-je, c'est quoi ces cris? - Que veux-tu, malheur à ta mère! Un homme est rentré chez moi, il y a un instant, et m'a donné un coup d'épée! répondit-il. Je lui assénai un autre coup d'épée sans arriver à le tuer. Alors je posai la pointe sur son ventre et j'enfonçai l'épée de toutes mes forces jusqu'à atteindre son dos. Ainsi, j'étais sûr de l'avoir tué. Je ressortis en ouvrant porte après porte pour atteindre les escaliers. Je pensais que j'avais atteint le sol! Mais je suis tombé, ma jambe fut contusionnée. La nuit était éclairée par la lune. je me fis un pansement avec mon turban et me postait derrière le portail, me disant : je ne repartirai d'ici qu'après m'être assuré de sa mort! Quand le chant du coq se fit entendre, quelqu'un se mit sur le rempart du fort pour annoncer : pleurez la mort d'Abou Rafi', le négociant de Hijaz. Alors je me levai, pour rejoindre mes compagnons et leur dis : "Sauvons-nous! Dieu nous a débarrassé d'Abou Rafi'!" Je retournai auprès du Prophète (sws) pour lui en rendre compte. Le Prophète (sws) me dit : "Allonge ta jambe!" Je la lui présentai et il passa sa main dessus. C'est comme si jamais je n'avais eu mal à ma jambe!" [/QUOTE]
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