L’ingénierie culturelle au maroc?

el jadida

el jadida/mazagan beach
L’ingénierie culturelle est un outil de développement des territoires et des sites à partir de toutes leurs richesses culturelles et patrimoniales.

Les champs d’activités sont très larges : monuments, collections, sites archéologiques, savoir-faire, sites de mémoire, patrimoine industriel… mais aussi : parcs historiques, richesses faunistiques et floristiques, groupes sociaux… et encore : création contemporaine, arts vivants, spectacles, festivals… C’est pourquoi les acteurs de l’ingénierie culturelle doivent disposer d’une forte culture générale et d’une capacité à se mobiliser sur des thématiques très variées allant des patrimoines les plus reconnus jusqu’aux plus secrets ou innovants.

Les missions sont nombreuses et se répartissent en quatre grands secteurs différents :

  • stratégies territoriales : il s’agit d’études qui visent à valoriser des territoires sur des échelles élargies, en se mobilisant sur des thématiques culturelles. Parfois, il s’agit de valoriser l’ensemble du territoire en tenant compte de l’ensemble de ses composantes culturelles et patrimoniales. D’autre fois, ce sont des filières spécifiques qui sont mises en avant: les métiers d’art, un patrimoine spécifique… Le résultat se concrétise essentiellement par des plans ou des schémas de développement territoriaux ;études de projet : études d’opportunité, de définition, de faisabilité, de programmation… des missions de conception puis de préfiguration des projets afin que les commanditaires puissent en réussir la réalisation. Il s’agit d’apporter l’ensemble des connaissances préalables : définition du concept, positionnement marketing, programmation architecturale et muséographique, budgets prévisionnels, mode de gestion, mise en tourisme…accompagnement : ce sont des missions d’aides auprès des commanditaires pour la mise en œuvre concrète des projets, avec principalement des missions de conseils et d’AMO (Assistance à la Maîtrise d’Ouvrage) ;gestion : formation, mise en tourisme, communication, promotion et commercialisation, audit, évaluation…
 

firar

VIB
L’ingénierie culturelle est un outil de développement des territoires et des sites à partir de toutes leurs richesses culturelles et patrimoniales.

Les champs d’activités sont très larges : monuments, collections, sites archéologiques, savoir-faire, sites de mémoire, patrimoine industriel… mais aussi : parcs historiques, richesses faunistiques et floristiques, groupes sociaux… et encore : création contemporaine, arts vivants, spectacles, festivals… C’est pourquoi les acteurs de l’ingénierie culturelle doivent disposer d’une forte culture générale et d’une capacité à se mobiliser sur des thématiques très variées allant des patrimoines les plus reconnus jusqu’aux plus secrets ou innovants.

Les missions sont nombreuses et se répartissent en quatre grands secteurs différents :

  • stratégies territoriales : il s’agit d’études qui visent à valoriser des territoires sur des échelles élargies, en se mobilisant sur des thématiques culturelles. Parfois, il s’agit de valoriser l’ensemble du territoire en tenant compte de l’ensemble de ses composantes culturelles et patrimoniales. D’autre fois, ce sont des filières spécifiques qui sont mises en avant: les métiers d’art, un patrimoine spécifique… Le résultat se concrétise essentiellement par des plans ou des schémas de développement territoriaux ;études de projet : études d’opportunité, de définition, de faisabilité, de programmation… des missions de conception puis de préfiguration des projets afin que les commanditaires puissent en réussir la réalisation. Il s’agit d’apporter l’ensemble des connaissances préalables : définition du concept, positionnement marketing, programmation architecturale et muséographique, budgets prévisionnels, mode de gestion, mise en tourisme…accompagnement : ce sont des missions d’aides auprès des commanditaires pour la mise en œuvre concrète des projets, avec principalement des missions de conseils et d’AMO (Assistance à la Maîtrise d’Ouvrage) ;gestion : formation, mise en tourisme, communication, promotion et commercialisation, audit, évaluation…

Benkirane nous a assuré que le couscous et l'harira était suffisants comme "ingénierie culturelle" pour le développement du Maroc.
Il ne reste plus qu'a mettre en place les stratégies territoriales, faire les études de projets dont les missions de conception, l'accompagnement puis la gestion.
C'est parti, ça roule!!!:wazaa::wazaa:
 
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